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Green Guerrilla #2 : fabriquer des bombes de graines

Green Guerrilla #2 : fabriquer des bombes de graines
Nous vous en parlions lors du premier volet de ce petit dossier, les bombes de graines, ou “seed bombs” ou “seed grenades” ont été utilisées (et nommées) la première fois par Liz Christy en 1973 quand on commencé à NYC les premières actions de Green Guerrilla destinées à re-végétaliser les espaces urbains inhospitaliers. Au tout début, ces armes de refleurissement massives étaient fabriquées à partir de préservatifs, de graines de fleurs sauvages et d’un mélange d’eau + engrais (ci dessous, la première recette des seeds bombs). Depuis , du chemin a été parcouru, et les seed bombs utilisées aujourd’hui s’inspirent d’une technique empruntée au japonais Masanobu Fukuoka (décédé en 2008) et père de l’agriculture du “non-agir”, encore appelée agriculture naturelle ou permaculture (nous y reviendrons dans le 3è volet de ce dossier). Toute bonne seed bomb est composée : d’un mix de grainesd’1/3 de lombricompostde 2/3 d’argile Etape 1 : mélangez le 2/3 - 1/3 d’argile et de lombricompost

All That Is Interesting - The First Zombie-Proof House Somehow, ritual drunk-conversation concerning team captains for the apocalypse has become a major part of the lives of 20-somethings. Having been matured in the Grandaddy-crowned masterpiece film (put “A.M. 180” on and forget that you have a job) 28 Days Later and the best-selling Zombie Survival Guide, we’re all a little too ready to deal with the 2012 zombie apocalypse of our dreams. “The Safe House,” designed by KWK Promes, starts to get eerily close to something I could work with, if say 200 bludgeoned members of the undead army came over to eat their way into borrowing some sugar. “The most essential item for our clients was acquiring the feeling of maximum security,” begins the designers’ website in the summary of the structure. The house, with its movable walls, has only one entrance, which is located on the second floor after crossing a drawbridge.

Guerrilla Gardening Paris Le déclic vert de Redon ? La mairie de Redon ambitionne de créer un éco-quartier dont une partie de la population redoute qu'il dénature la ville Ville arrivée de la troisième étape du Tour de France hier, Redon (Ille-et-Vilaine), dix mille habitants et une ZAC (zone d’aménagement concertée) du Châtel Haut Pâtis que la municipalité a voulue green. Situé au nord de la ville – « entre la route de Rennes et les Villages de Cotard et La Gaudinaie », précise la mairie sur son site Internet – , ce nouveau quartier dont les bases ont été jetées en 2005 est le projet pour la décennie à venir. Son aménagement s’effectuera en trois grandes phases distinctes, chacune obéissant à la même logique : « permettre à chacun de se loger selon ses ressources » dans une ZAC moderne, durable et au sein de laquelle les modes de transports doux ont vocation à régner en maîtres. Les perspectives d’avenir sont fort heureusement moins sombres aujourd’hui. Crédits photos : flickr - sylaf

La recette de Incredible Edible pour booster l'économie locale Donner plutôt que vendre : tel est le crédo du mouvement Incredible Edible (Les incroyables comestibles en français). Né en 2008 en Angleterre, cette organisation développe des potagers en libre-service qui font des émules partout dans le monde, la France y compris. Comment ça marche ? Quel est l’impact pour l’économie locale, les maraîchers locaux, et les marchands de légumes? Voici les explications de François Rouillay, coordinateur et animateur du mouvement en France. Article originalement publié sur le site de Incredible Edible. En fait, la réponse est simple. Food to share. Avec ce nouveau regard et cette nouvelle façon d’agir individuellement et collectivement, il y a un changement complet du cadre initial qui offre de nouvelles perspectives inédites. Du coup, chacun agit différemment dans son quotidien par la conscience qu’on est co-responsable et donc co-créateur du tout, c’est à dire de l’ensemble du système, de l’ensemble de la communauté locale. Le cas de l’apiculteur local

Virtual Grocery Store Lets Subway Riders Shop While They Wait Tesco, known as Home Plus in South Korea, has installed a virtual grocery store aisle inside a subway station that lets riders shop while they wait. Simply snap pictures of the QR codes, pay for the items, and they'll be delivered directly to your home. Video after the break. [via PopSci] Interesting Posts Around the Web RESSOURCE0 Art contemporain & écologie « Les petites entreprises sont la clé d'une bonne économie » En parallèle du G20 qui se tiendra début novembre, 400 entrepreneurs participeront à la seconde édition du « Young Entrepreneur Summit », du 31 octobre au 2 novembre. Un rendez-vous international pour partager l’expérience de l’entreprise et tenter d’encourager la création de PME. Car pour Grégoire Sentilhes, le président de l’édition 2011, les quatre millions d’entrepreneurs que compte la France sont autant de chances de sortir de la crise. Terra eco : Pourquoi soutenir et encourager ces entrepreneurs, dans un contexte de crise économique ? Grégoire Sentilhes : D’abord parce que nous vivons dans un monde de changement absolu. Mais pourquoi se concentrer sur les jeunes entrepreneurs ? L’intégration des jeunes est un enjeu majeur pour une société. Pensez-vous que l’entrepreneuriat souffre aujourd’hui d’un manque de reconnaissance ? Je crois que la place accordée à l’entreprise dans les structures scolaires est très insuffisante !

Le succès des monnaies alternatives - Le monde bouge De nombreuses monnaies locales, comme le sol à Toulouse, voient le jour. Objectif : réapprendre à consommer de façon civique, solidaire, intelligente. Dans les porte-monnaie de certains Toulousains, des billets aux couleurs flashy - verts, orange ou roses - côtoient désormais les euros. Non que les « sols » (abréviation de « solidaire ») prétendent un jour supplanter leurs congénères européens. Si ce n'est une utopie, serait-ce un délire altermondialiste ? Pas n'importe où, toutefois. « C'est comme jouer au Monopoly ! " title="" class="lazy" itemprop="image" src=" data-original=" Un « ras-le-bol » tel que, loin d'être un cas isolé, le projet toulousain est le dernier-né d'un mouvement qui, depuis la crise financière de 2008, gagne la France à petits pas. Une révolution par l'argent ?

Surplus potager, mise en relation des jardiniers Consommer Durable Le 22/08/11 par Vincent.F Votre potager donne trop ; que faire des fruits ou légumes dont vous n’avez pas besoin ? Votre jardin produit des fleurs en excédent ? Que faire du surplus de récolte ? Il existe des solutions permettant aux jardiniers de proposer ces légumes de son potager, des graines de fleurs de son jardin ou ces fruits de son verger qu’ils ont en surplus. Il peut les vendre , les proposer gratuitement ou les échanger avec d’autres jardiniers producteurs Ce site met en relation direct les producteurs (Jardiniers) et consommateurs de légumes, fruits bio, gratuitement. L’association est en copie des emails envoyer pour contrôler les échanges Les Sites web : Si vous produisez des légumes et fruits, que vous avez un surplus : pourquoi ne pas le donner ou l’échanger consoRecup ou le site d’entraidetelecomptoir.com : si vous désirez proposer des légumes, fruits ou fleurs, écrivez leur A lire et découvrir : de cet article.

Bien manger, mais à quel prix ? Avec 58 milliards d'euros par an, les subventions accordées à l’agriculture représentent le deuxième poste budgétaire le plus coûteux de l’Union européenne. Les intentions de départ étaient vertueuses : aider les petits agriculteurs, stabiliser les prix alimentaires, assurer les approvisionnements et favoriser les exportations. Quelques décennies plus tard, la situation est catastrophique. Les exploitations de taille modeste ne peuvent plus survivre, tandis que les grosses, qui pratiquent l'agriculture et l'élevage à une échelle industrielle, prospèrent. La qualité des produits s’en ressent, tandis que se multiplient les atteintes à l’environnement et les mauvais traitements infligés aux animaux. Les documentaristes ont mené une enquête approfondie sur l’attribution des subventions, notamment en matière de production de lait, de pêche et de fabrication du pain.

Mettez votre place de parking aux enchères Partager Pas moins de 45 % des conducteurs circulant dans Brooklyn cherchent une place de parking. C’est ce que rapporte une étude menée par la municipalité new-yorkaise. Et ce n’est pas le seul quartier de la ville à subir ces gènes de circulation. Dans l’Upper West Side, on a pu constater que les gens roulaient quelques 366 000 miles (soit 588 894 kilomètres) dans l’unique but de trouver une place. Pour tenter d’enrayer le problème, la société Parking Auction Web a lancé une application pour smartphone l’année dernière. Si l’application peut être facilement critiquée pour des raisons d’éthique, incitant par son usage à utiliser l’espace public comme source de profit, l’entreprise se défend en précisant que ce n’est pas l’endroit qui est à vendre, mais plutôt l’information au sujet d’un espace qu’on libère. Source : Springwise

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