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Omega Point

Omega Point
The Omega Point is the purported maximum level of complexity and consciousness towards which some theorize the universe is evolving. The term was coined by the French Jesuit Pierre Teilhard de Chardin (1881–1955). According to Teilhard the universe is constantly evolving towards higher levels of material complexity and consciousness, a hypothesis that Teilhard called the Law of Complexity/Consciousness. Teilhard argued that the Omega Point resembles the Christian Logos, namely Christ, who draws all things into himself, who in the words of the Nicene Creed, is "God from God", "Light from Light", "True God from true God," and "through him all things were made." The idea is developed in later writings, such as those of John Godolphin Bennett (1965), John David Garcia (1971), Paolo Soleri (1981), Frank Tipler (1994), and Ray Kurzweil, as well as in science fiction literature. Five attributes[edit] Related concepts[edit] Bennett and the Hyparchic Future[edit] Tipler[edit] See also[edit]

Noosphère Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec NooSFere. La noosphère, selon la pensée de Vladimir Vernadsky[1] et Pierre Teilhard de Chardin, désigne la « sphère de la pensée humaine[2] ». Le mot est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs, « l'esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère»), par analogie lexicale avec « atmosphère » et « biosphère[3] ». Une autre possibilité est la première utilisation du terme par Édouard Le Roy qui était, avec Teilhard, auditeur des conférences de Vladimir Vernadsky à la Sorbonne. Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Le concept[modifier | modifier le code] Notions préliminaires[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] Le mot, développé par Pierre Teilhard de Chardin dans Le Phénomène humain[7], a été inventé par Vladimir Vernadski[8].

Vladimir Vernadski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vladimir Ivanovitch Vernadski Vladimir Vernadski Il définit en 1926 la notion de biosphère, dans une optique bio-géologique et écologique, posant comme hypothèse que la vie est une force géologique qui transforme la Terre. Premier à envisager scientifiquement l'impact de l'activité humaine sur le climat, il fut cependant peu écouté à une époque où l'on pensait que la nature était dotée de capacités de régénération inépuisables. Biographie[modifier | modifier le code] Vernadski nait en mars 1863 à Saint-Pétersbourg, dans l'Empire russe, au sein d'une famille d'origine russe et ukrainienne. Minéralogiste[modifier | modifier le code] En 1888, cherchant un sujet de doctorat, il souhaite aller à Naples étudier la cristallographie, mais son directeur tombe malade. De 1898 à 1911, il devient professeur de minéralogie à l'Université d'État de Moscou, ou il forme des générations de minéralogistes russes. Militant démocrate[modifier | modifier le code]

Anaxagore Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anaxagore de Clazomènes Philosophe occidental Antiquité Anaxagore (en grec ancien Ἀναξαγόρας / Anaxagóras, signifiant littéralement « chef de l'assemblée ») (500 – 428 av. Biographie[modifier | modifier le code] Disciple d'Anaximène, il était surnommé l'« Intellect » car il soutenait que l'intelligence était la cause de l'univers, et selon Théophraste dans son ouvrage Des Sensations, de toutes choses[4]. Anaxagore fut condamné à mort à l’issue d’un procès pour impiété, vers 432 av. Thèses[modifier | modifier le code] La philosophie d’Anaxagore est exposée dans Peri Physeos (De la nature), dont il ne subsiste que quelques fragments[9]. Bibliographie[modifier | modifier le code] Anaxagoras of Clazomenae. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Anaxagore, sur Wikisource

Noûs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'Antiquité grecque, le noûs, nous, ou encore noos, est l'esprit, la partie la plus haute, la plus divine de l'âme. Pour Platon, noûs signifie le plus souvent l'intelligence. Plus loin, il écrit : « L'Essence (qui possède l'existence réelle), celle qui est sans couleur, sans forme et impalpable ; celle qui ne peut être contemplée que par le seul guide de l'âme, (le noûs) l'intelligence ; celle qui est la source du savoir véritable, réside en cet endroit. Pareille à la pensée de Dieu qui se nourrit d'intelligence et de science absolue, la pensée de toute âme, cherchant à recevoir l'aliment qui lui convient, se réjouit de revoir après un certain temps l'Être en soi, se nourrit et se rend bienheureuse en contemplant la vérité[1]... » Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Les chemins de l'intelligence L'intelligence ne dépend pas de la génétique mais de l'aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité. Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"... Penser par soi-même Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Ecouter son intuition L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche. L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. Penser en 4D

Transformer des rêves en images bientôt possible ? Jusqu'ici, c'était de la science-fiction : un ordinateur qui lit directement dans le cerveau. Mais il arrive. Au laboratoire de calcul en neurosciences ATR, un groupe de chercheurs nippons ont franchi une étape essentielle : ils sont arrivés à reconstruire une image en noir et blanc à partir de ce que voyait un sujet. Tout commence avec un scanner IRM, qui sert à enregistrer l'activité du cerveau en surveillant les flux sanguins dans le cortex visuel. Les sujets de l'expérience ont regardé 400 images de... 10 pixels de côté, en noir et blanc (ci-contre, en haut). À chaque fois, on enregistrait les réactions de leur cortex, et ces données ont permis d'établir les variations liées aux différents motifs. Enfin, on a continué à enregistrer leur activité en leur montrant des lettres. Le bilan n'est certes pas très précis. Applications variées... à inventer

Le cerveau en constante reconstruction : le concept de plasticité cérébrale « The interaction of individual animals and their world continues to shape the nervous system throughout life in ways that could never have been programmed. Modification of the nervous system by experience is thus the last and most subtle developmental strategy » Le développement du cerveau des mammifères et à fortiori celui de l’espèce humaine est un extraordinaire aboutissement. À partir d’une population de cellules immatures et indifférenciées émerge un organe complexe dont le fonctionnement dépend des interconnexions de milliards (1011) de neurones possédant des caractéristiques très diverses, par l’intermédiaire de billions de synapses. Au cours du développement cérébral, les cellules souches précurseurs des neurones doivent arriver à maturité et se différencier en multiples types neuronaux. Le but de notre propos sera de tenter de démontrer au lecteur la pertinence de ces phénomènes de plasticité cérébrale et leur importance dans le fonctionnement du système nerveux.

Law of Complexity/Consciousness The Law of Complexity/Consciousness is the postulated tendency of matter to become more complex over time and at the same time to become more conscious. The law was first formulated by Jesuit priest and paleontologist Pierre Teilhard de Chardin. Teilhard holds that at all times and everywhere, matter is endeavoring to complexify upon itself, as observed in the evolutionary history of the Earth. For Teilhard, the Law of Complexity/Consciousness continues to run today in the form of the socialization of mankind. Teilhard imagines a critical threshold, the Omega Point, in which mankind will have reached its highest point of complexification (socialization) and thus its highest point of consciousness. Quotes[edit] "The more complex a being is, so our Scale of Complexity tells us, the more it is centered upon itself and therefore the more aware does it become. See also[edit]

Noos This article is about a philosophical term. For the philosophy journal, see Noûs. In philosophy, common English translations include "understanding" and "mind"; or sometimes "thought" or "reason" (in the sense of that which reasons, not the activity of reasoning).[2][3] It is also often described as something equivalent to perception except that it works within the mind ("the mind's eye").[4] It has been suggested that the basic meaning is something like "awareness".[5] In colloquial British English, nous also denotes "good sense", which is close to one everyday meaning it had in Ancient Greece. This diagram shows the medieval understanding of spheres of the cosmos, derived from Aristotle, and as per the standard explanation by Ptolemy. In Aristotle's influential works, the term was carefully distinguished from sense perception, imagination and reason, although these terms are closely inter-related. Pre-Socratic usage[edit] The first use of the word nous in the Iliad. Xenophon[edit]

Pierre Teilhard de Chardin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chardin. Pierre Teilhard de Chardin Théologien, philosophe, géologue et paléontologue Théologie et philosophie du XXe siècle Pierre Teilhard de Chardin. Pierre Teilhard de Chardin ([tɛ.jaʁ.də.ʃaʁ.dɛ̃]) [1], ( , Orcines - , New York) est un jésuite, chercheur, paléontologue, théologien et philosophe français. Dans Le Phénomène humain, il trace une histoire de l'Univers, depuis la pré-vie jusqu'à la Terre finale, en intégrant les connaissances de son époque, notamment en mécanique quantique et en thermodynamique. Éléments de biographie[modifier | modifier le code] En 1912, il rejoint le Muséum d'histoire naturelle de Paris et y collabore avec Marcellin Boule, paléontologue qui avait étudié le premier squelette entier d'un homme de Néandertal et dont il devient un ami. En 1916, il écrit son premier essai, La Vie Cosmique, et en 1919, Puissance spirituelle de la Matière, essais qui annoncent son œuvre plus tardive.

Human Brain Project : en 2023, le cerveau humain simulé sur ordinateur Un processeur peut simuler le comportement d'un neurone. Mais le cerveau humain en contient sans doute environ 1011 et le nombre de connexions (ou synapses) est – vaguement – estimé à 1014 ou 1015... © EFPL /Human Brain Project Human Brain Project : en 2023, le cerveau humain simulé sur ordinateur - 1 Photo Parcourez notre dossier complet sur le cerveau Pour étudier les galaxies ou les systèmes planétaires, les astrophysiciens ont pris l’habitude de faire tourner des modèles informatiques. Pourquoi ne pas faire de même pour le cerveau humain ? Avec les ordinateurs de l’époque, rappelle aujourd’hui Henry Markram, il fallait la puissance d’un processeur de PC pour simuler un seul neurone. Selon Henry Markram, il faudrait 1.000 petaflops (1018 flops, soit 1 exaflops), alors que le champion du monde actuel (le chinois Tianhe-1A) en est à 2,7 et que la prochaine version de l’IBM Blue Gene n’en atteindra que 10. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet

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