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Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP

Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP
Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.

Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. (*) Commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Bulletin officiel de l’Éducation nationale, n° 24 du 12 juin 2008. La Grande Guerre, M.C.

Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. (*) Commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Bulletin officiel de l’Éducation nationale, n° 24 du 12 juin 2008. La Grande Guerre, M.C.

Thème du concours de la résistance Concours National de la Résistance et de la Déportation 2017-2018 Le thème du Concours national de la Résistance et de la Déportation est formulé comme suit : "S'ENGAGER POUR LIBERER LA FRANCE". La brochure pédagogique est coordonnée cette année par la Fondation de la France libre. Elle a été conçue par un comité de rédaction rassemblant de nombreux partenaires (fondations, centres d'archives, musées, etc.). Retrouver la présentation du thème par Tristan Lecoq, Président du jury des correcteurs du CNRD sur le Portail du Concours. La Fondation de la Résistance propose en ligne des documents et dossiers complémentaires. Documents associés au thème

Plateforme 14/18, une famille dans la Grande Guerre Qu'est-ce que Plateforme 14/18 ? « Plateforme 14/18, une famille dans la Grande Guerre » est une application en ligne réalisée avec le soutien du Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et le Ministère de la Défense. Elle présente la correspondance et les photographies échangées quotidiennement par les membres d'une famille, leur parenté et leurs amis, pendant toute la durée de la guerre. Pour qui ? Plateforme 14/18 s'adresse notamment aux enseignants d'histoire-géographie, du secondaire, mais également aux élèves et aux étudiants. L'abondante correspondance mise en ligne mais également le travail autour de la thématique « la guerre et le reflet de la modernité » pourront intéresser l'enseignement des lettres, de l'histoire des arts ou des sciences et techniques. Objectifs : un espace numérique de valorisation d'archives privées et publiques Le fonds de la famille Résal est constitué de 3500 lettres et 300 photographies. Usages en classe

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Diaporama de la 1re guerre mondiale - Francetv Éducation Autochromes Jules Gervais-Courtellemont Ce diaporama est composé de 19 vues, réalisées pour la plupart entre 1914 et 1917 lors de la 1ère guerre mondiale, présentant des autochromes de Jules Gervais-Courtellemont. La première partie du diaporama reproduit des autochromes originaux, la seconde, des reproductions d'autochromes issues des Champs de Bataille de la Marne (1915), Editions Francaise Illustrée. Tirailleurs marocains Collection Jules Gervais-Courtellemont - Cinémathèque Robert-Lynen Spahis marocains, nouvelle tenue Tranchées Zouaves Infanterie écossaise 13° régiment de chasseurs alpins au repos 1914/15 Compagnie aviateurs Un canon de 75 Pièce à longue portée Autochromes de la bataille de la Marne La seconde partie du diaporama présente des reproductions d'autochromes issues des Champs de Bataille de la Marne (1915) Motocycliste anglais Photo Jules Gervais-Courtellemont - Collection Gervais Ambulance anglaise Pièce de 120 Village bombardé de Sermaize-les-bains Tirailleurs sénégalais Autobus anglais

1914-1918, 14-18, horizon14-18, Première Guerre mondiale, ww1, wwI, guerre mondiale Les mémoires de la Grande Guerre (CANOPE) En 1916, près des trois quarts de l’Armée française (soit environ 1 100 000 hommes) sont passés par le champ de bataille de Verdun avec la rotation des unités (ou « noria ») mise en place par le général Pétain. Bataille marquée par une densité extraordinaire d’artillerie où les Poilus se sont accrochés sur le terrain pour défendre non seulement la ville, mais le pays tout entier, Verdun a laissé en France un souvenir très fort auprès des combattants. Ce souvenir a été transmis par la suite dans la sphère familiale des vétérans. En Allemagne, le souvenir de Verdun, comme celui de la Première Guerre mondiale, a évolué : durant l’entre-deux-guerres, la bataille est symbole de mort de masse, de sacrifices sous les « orages d’acier » pour une offensive inepte dont l’issue a laissé entrevoir, pour la première fois, la possibilité de la défaite.

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. Internés à Drancy, le père, la mère et les quatre enfants ont été déportés à Auschwitz. Informée de cette découverte, Stéphanie Trouillard, journaliste de France 24, a prêté main forte à Khalida Hatchy, une professeure de l’établissement qui souhaitait reconstituer le parcours de cette jeune fille.

Exposition virtuelle L'album d'Auschwitz | Yad Vashem Pour voir l'album d'Auschwitz, cliquer ici. L'album d'Auschwitz est la seule preuve visuelle restante du processus qui conduisait au massacre de masse à Auschwitz-Birkenau. Ce document tout à fait unique a été donné à Yad Vashem par Lilly Jacob-Zelmanovic Meier, grâce à l'intervention de Serge Klarsfeld. Les photos contenues dans l'album ont été prises à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin 1944, par Ernst Hofmann ou par Bernhard Walter, deux SS chargés de prendre les photos d'identité et les empreintes digitales des prisonniers (lorsqu'il ne s'agissait pas de Juifs qui étaient directement envoyés dans les chambres à gaz). Le début de l'été 1944 sera le point culminant de la déportation des Juifs de Hongrie. Les photos de l'album montrent l'ensemble du processus, à l'exception du meurtre lui-même. La raison d’être de cet album n'est pas claire. L’album comprend 56 pages et 193 photos. Références complémentaires : Encyclopedia of the Holocaust, Tel-Aviv 1990.

L'étrangeté des derniers procès nazis | Making-of DETMOLD (Allemagne) – « Un semblant de justice »: les quatre mots me font sursauter, parce que c’est la première fois que j’entends un magistrat si humble face à son verdict. Mais la voix claire d’Anke Grudda a le ton de l’évidence. « Il n’y a pas de sentence adéquate pour des faits d’une nature si atroce », explique-t-elle, dans un silence lourd de deux cents souffles retenus. La chambre qu’elle préside à Detmold, dans l’ouest de l’Allemagne, vient de condamner Reinhold Hanning, 94 ans, à cinq ans de prison. En deux ans et demi à Auschwitz, l’ancien SS a contribué à tuer au moins 170.000 hommes, femmes et enfants. Arrivé debout en février, Hanning écoute le verdict en chaise roulante, après quatre mois de procès. Auschwitz, à sa libération en 1945 (AFP) A Lunebourg, pendant trois mois, on avait tendu de noir la salle des fêtes pour y loger la masse de témoins, spectateurs et journalistes, et masquer un décor plus propice aux mariages qu’à l’évocation de la Shoah. - « Prêt à répondre ?

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