background preloader

Huit circuits de conscience

Huit circuits de conscience
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le modèle de la conscience sur huit circuits/niveaux est une théorie sur la structure de la conscience proposée par le Dr Timothy Leary. Leary pensait que l'esprit est le mieux représenté comme un assemblage de huit « niveaux » ou « circuits », aussi appelés « vitesses » ou « mini-cerveaux ». Chaque niveau représenterait une étape supplémentaire d'évolution par rapport au précédent. Les huit niveaux[modifier | modifier le code] Les huit niveaux sont : Selon Leary ce modèle expliquerait, entre autres, le conflit social dans les années 1960, où le courant principal, supposé avec une activité jusqu'au niveau 4 (Domestique), et caractérisé comme étant fait de "moralistes tribaux" par Leary, est entré en conflit avec la contre-culture de l'époque, des individualistes et hédonistes actifs jusqu'au niveau 5 (Neurosomatique). Les idées de Leary ont fortement influencées le travail de Robert Anton Wilson. Références[modifier | modifier le code] Related:  Se déconditionner

Système nerveux autonome Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir SNA. Le système nerveux autonome (aussi appelé système nerveux (neuro-)végétatif ou système nerveux viscéral) est la partie du système nerveux responsable des fonctions automatiques, non soumise au contrôle volontaire. Le maintien de l’équilibre du milieu intérieur, ou homéostasie, implique des interactions complexes entre des aspects physiologiques et comportementaux. Cette vision ancienne d’un système nerveux autonome principalement moteur persiste encore. Le système nerveux autonome contrôle en effet les fonctions respiratoire, digestive et cardiovasculaire : il agit sur la motricité et les sécrétions viscèrales, les glandes exocrines et endocrines et la vasomotricité. Il est composé de voies afférentes (composées par les ganglions sensoriels crâniens) relayant les informations sensorielles, comme les mesures de la pression artérielle ou de la teneur en oxygène du sang. Portail des neurosciences

Le Chamanisme à travers le monde - Aurora Face au regain d’intérêt de l’occident pour le chamanisme, ce reportage nous emmène à la rencontre des chamanes et de leurs pratiques, notamment la transe. Quand la société occidentale a découvert le chamanisme, ils ont associé l’extase au sentiment religieux, dans le sens de la contemplation, et ainsi quand les premiers missionnaires ont été en contact avec les chamanes, ils les ont pris pour des possédés car ils n’étaient pas habitués à voir un comportement excessif face au religieux. La pensée occidentale serait liée au rationnel et il faudrait donc pouvoir se dégager de celle-ci pour pouvoir accéder aux états modifiées de la conscience.A l’instar des chamanes, lorsque nous faisons l’amour et que nous sommes heureux, nous expérimentons une forme d’état modifié mais contrairement à eux nous ne l’utilisons pas pour la connaissance. La fumée est également présente dans de nombreux rituels, sans doute par le pouvoir hallucinogène qu’elle transporte. William S.

Prophétie autoréalisatrice Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une prophétie autoréalisatrice est une prophétie qui modifie des comportements de telle sorte qu'ils font advenir ce que la prophétie annonce. Ce qui n'était qu'une possibilité parmi d'autres devient réalité, par l'autorité de l'oracle qui énonce la prophétie ou par la focalisation des esprits sur cette possibilité. Dans les deux cas, le fait d'énoncer la prédiction et de trouver des gens pour y croire modifie les anticipations et donc les comportements. Plus généralement, ces prophéties font partie des système à rétroaction, rétroaction positive (amplificatrice, instable) pour les autoréalisatrices, rétroaction négative (amortissante, stabilisatrice) pour les autodestructices. Mécanisme[modifier | modifier le code] Aux origines de la prophétie autoréalisatrice[modifier | modifier le code] Dans un texte de 1929, l'écrivain hongrois Frigyes Karinthy écrit sous le titre "L'Oracle de Macbeth" (traduction Judith et Pierre Karinthy) :

La théorie de la dissonance cognitive une théorie âgée d’un demi-siècle Selon la théorie de la dissonance cognitive, lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouvera un état de tension inconfortable appelé dissonance, qui, par la suite, tendra à être réduit, par exemple par une modifi cation de ses croyances dans le sens de l’acte. Notre article se propose de présenter cette théorie dans ses grandes lignes. Dans les expériences sur la dissonance, on amène par exemple le sujet à donner des arguments en faveur de la peine de mort alors qu’il est contre (il réalise donc un acte dit « problématique »). La réalisation de cet acte l’amène à ressentir un état d’inconfort. Aussi étonnant que cela puisse paraître, lorsque nous sommes amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons ainsi tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements. Genèse de la théorie Léon Festinger. Un séisme en Inde. 1. Au coeur de la théorie L’engagement.

Béhaviorisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le béhaviorisme ou comportementalisme est une approche psychologique qui consiste à se concentrer sur le comportement observable[1] déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable, due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée à des stimuli extérieurs (environnement externe) ou à des stimuli intérieurs (environnement interne) sur l'organisme. Étymologie[modifier | modifier le code] « Béhaviorisme » provient du mot anglais « behavior » (orthographe américaine) qui signifie « comportement ». Histoire du béhaviorisme[modifier | modifier le code] En effet, dans les années 1940 et 1950, Burrhus F. L'expérience de Skinner[modifier | modifier le code] Renforcement positif : Stimulus « Le rat est dans la cage » Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier » Renforcement négatif : Exemple

Mouton de Panurge (locution) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « mouton de Panurge » désigne un suiveur : une personne qui imite sans se poser de questions, qui suit instinctivement ce que fait le plus grand nombre et se fond dans un mouvement collectif sans exercer son esprit critique ni seulement faire preuve de l'intelligence qu'on peut espérer d'un être humain. Les moutons de Panurge sont invoqués pour fustiger l'esprit grégaire. L'expression tire son origine d'un épisode du Quart Livre de François Rabelais, sans s'y trouver exactement en ces termes[N 1]. « Panurge sans aultre chose dire jette en pleine mer son mouton criant et bellant. — Extrait du Quart Livre, chapitre VIII Pour cet épisode, Rabelais s'inspire des Macaronées de Folengo, où Cingar, afin de venger Balde et son escorte d'un différend avec des paysans, pratique le même stratagème[2] Le Mouton de Panurge est le titre d'une chanson de Georges Brassens

Pyramide des besoins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] Représentation dynamique de la hiérarchie des besoins. Besoins physiologiques Besoins de sécurité Besoins d'appartenance et d'amour Besoins d'estime Besoin d'accomplissement de soi C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. L'émergence soudaine des besoins ;La satisfaction absolue des besoins.

Mimétisme comportemental Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur le plan comportemental, le mimétisme est un mécanisme fondamental de l'apprentissage. Enfin, sur le plan psychologique, c’est selon René Girard le mécanisme fondamental du comportement humain, dont dérive la totalité des éléments de culture, selon une certaine logique.[réf. souhaitée] Le mimétisme comportemental pour l'apprentissage[modifier | modifier le code] Apprentissage de la pêche des jeunes cygnes. La reproduction d'un geste est à la base de la mémorisation d'une technique. C'est en voyant l'autre faire que l'on se représente l'utilité ou l'intérêt de la chose faite, en même temps que l'on découvre l'apparence que prend ce geste. Le mimétisme intervient pour toutes sortes d'apprentissages : l'utilisation de son corps dans l'espacel'utilisation d'outils et l'acquisition de techniquesl'acquisition du langagel'acquisition de mécanismes mentaux (déduction, résolution de problèmes) Selon René Girard, le mimétisme est une relation ternaire,

Ben Franklin effect The Ben Franklin effect is a proposed psychological phenomenon: A person who has performed a favor for someone is more likely to do another favor for that person than they would be if they had received a favor from that person. An explanation for this would be that we internalize the reason that we helped them was because we liked them. The opposite case is also believed to be true, namely that we come to hate a person whom we did wrong to. We de-humanize them to justify the bad things we did to them.[1] It has been suggested that if soldiers who have killed enemy servicemen in combat situations later come to hate them, it is because this psychological maneuver helps to “decrease the dissonance of killing.”[1] Such a phenomenon might also “explain long-standing grudges like Hatfield vs. The Benjamin Franklin effect, in other words, “is the result of your concept of self coming under attack. Franklin's observation of effect[edit] Research[edit] Uses[edit] See also[edit] Notes[edit]

Paradigme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Universum, C. Flammarion, gravure sur bois, Paris 1888 Étymologie[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : paradigme, sur le Wiktionnaire Utilisations générales du mot paradigme[modifier | modifier le code] Le mot paradigme s'emploie fréquemment dans le sens de Weltanschauung (vision du monde). L'autre fonction du paradigme est utile pour un observateur tiers (observant celui qui utilise ce paradigme). Le paradigme comme représentation commune[modifier | modifier le code] Le paradigme au sens collectif est un système de représentations largement accepté dans un domaine particulier. Paradigme épistémologique et sociologique[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, le mot paradigme était employé comme terme épistémologique pour désigner un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques. D'autres termes comme concept ou système de pensée sont très proches de celui de paradigme. En entreprise[modifier | modifier le code]

Related: