Umwelt
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La tique ne réagit qu'à trois stimuli externes, qui déterminent son Umwelt Selon Jakob von Uexküll et Thomas A. Description[modifier | modifier le code] Chaque élément fonctionnel d'un « monde propre » comporte une signification intrinsèque qui échappe à la perception qu'un organisme peut en avoir. En tant que concept, l'Umwelt unifie donc l'ensemble des processus sémiotiques (créateur de « sens ») d'un organisme. Il existe des similitudes entre la théorie de l'Umwelt de von Uexküll et la théorie du phénotype étendu de Richard Dawkins qui loin du déterminisme génétique strict laisse une part importante aux interactions entre un organisme et son milieu (via des processus centraux). La biosémiotique, parfois appelée sémiotique du vivant, est composée pour von Uexküll des seuls « marqueurs » qui sont, pour l'organisme considéré, porteur de sens, de signification. Ainsi, le cycle de vie de la tique ne répond qu'à trois stimuli externes :
The Intelligent Plant
In 1973, a book claiming that plants were sentient beings that feel emotions, prefer classical music to rock and roll, and can respond to the unspoken thoughts of humans hundreds of miles away landed on the New York Times best-seller list for nonfiction. “The Secret Life of Plants,” by Peter Tompkins and Christopher Bird, presented a beguiling mashup of legitimate plant science, quack experiments, and mystical nature worship that captured the public imagination at a time when New Age thinking was seeping into the mainstream. The most memorable passages described the experiments of a former C.I.A. polygraph expert named Cleve Backster, who, in 1966, on a whim, hooked up a galvanometer to the leaf of a dracaena, a houseplant that he kept in his office. Backster and his collaborators went on to hook up polygraph machines to dozens of plants, including lettuces, onions, oranges, and bananas. “If you are a plant, having a brain is not an advantage,” Stefano Mancuso points out.
Science et vie
Un chemin imprimé en 3D pour la régénération des nerfs, implanté chez un rat, lui a permis de récupérer la capacité de marcher après 10 à 12 semaines. – Ph. © Michael McAlpine / université du Minnesota / College of Science and Engineering Voici une technologie révolutionnaire ! De petits implants construits sur mesure grâce à l’impression 3D permettent aux nerfs aux formes les plus complexes de repousser après une lésion… et ont permis à des rats de laboratoire paraplégiques de recommencer à marcher ! Mise au point par des ingénieurs et neurobiologistes américains (universités du Minnesota, du Maryland, Princeton, John Hopkins et Virginia Tech), cette technique fait appel au scanner 3D, à l’imprimante 3D et à la biologie moléculaire. Des tuteurs taillés sur mesure et imprimés en 3D pour guider la croissance des nerfs La structure du nerf sciatique d’un rat a été obtenue à l’aide d’un scanner 3D – Ph. © Michael McAlpine, université du Minnesota / College of Science and Engineering
Découverte exceptionnelle à l'université de Perpignan sur les transferts horizontaux du génome végétal
sciences L'université de Perpignan fait la "Une" de la presse scientifique internationale et en particulier, le laboratoire du génome et du développement des plantes. L'équipe de chercheurs a mis au point un programme informatique qui a permis de réaliser une découverte sans précèdent sur le génome. Par Jean-Marc Huguenin Publié le 18/02/2014 | 08:20 © F3LR Une équipe de chercheurs de l'université de Perpignan a fait une découverte de la plus haute importance. Olivier Panaud et son équipe de l'université de Perpignan peuvent être fiers car leur dernière recherche sur la connaissance de l'évolution des génomes dans le monde végétal vient d'être reconnue au niveau mondial. Dans le monde végétal, en effet, le patrimoine génétique peut se réaliser par ce qu'on appelle un transfert horizontal, c'est-à-dire autrement que par voie sexuée, à la différence de l'homme. Importante découverte scientifique à l'université de Perpignan
Calcul de vos besoins journaliers en calories
En 1986, un groupe d'experts de la FAO (Food and Agriculture Organization) a défini le besoin en énergie d'un individu comme "la quantité d'énergie nécessaire pour compenser ses dépenses énergétiques et assurer une taille et une composition corporelle compatibles avec le maintien à long terme d'une bonne santé et une activité physique adaptée au contexte économique et social" (Buyckx et al., 1996). Le groupe d'experts a également décidé que les besoins en énergie seraient déterminés à partir des dépenses énergétiques estimées, plutôt qu'à partir des résultats d'enquêtes alimentaires. En effet, de nombreuses études ont montré que les apports alimentaires sont sous-évalués de 10 à 30 % selon les catégories de la population. Chaque individu possède une morphologie qui lui est propre en fonction de la structure de son squelette; celui-ci peut être très fin, gracile, moyen, fort ou très fort. DEJ = DER x NAP La DER ou Dépense Energétique de Repos ou encore Métabolisme de Base.
Métabolisme des animaux
Dans les années 1940, le biologiste suisse Max Kleiber observa que le métabolisme de la plupart des animaux était corrélé à leur masse. Le métabolisme est la dépense énergétique de base (par unité de temps, il s’agit donc d’une puissance) nécessaire à un être vivant au repos pour survivre dans ses conditions habituelles d’habitat. Production de chaleur par jour (taux de métabolisme) pour un certain nombre d’animaux. Kleiber a ainsi observé que la puissance P requise pour la survie d’un animal était proportionnelle à sa masse M à la puissance 3/4 : P = k\cdot M^{3/4}, où k est une constante de proportionnalité. La constante de proportionnalité dépend du métabolisme de la « classe » d’animaux considérés. On peut s’amuser à vérifier que cette loi est vérifiée pour l’homme : avec M = 70 kg, on obtient une puissance de 100 W. Pour une souris, les besoins énergétiques sont de 5.3 kcal. L’homme doit manger 2 kg d’aliments par jour, soit 3 % de sa masse. Démonstration par analyse dimensionnelle