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Grand Corps Malade - Pocahontas

Grand Corps Malade - Pocahontas

Lettres à sa fille - Calamity Jane 06 septembre 2019 Comme témoignage réel, je trouvais ce livre fort émouvant et assez extraordinaire, mais suite à quelques recherches, j'ai lu que ce recueil de lettres pouvait être un faux, et là, j'ai l'impression de m'être fait totalement avoir. Du coup, je reste dubitative. 11 juin 2015 Biographie Son véritable nom était Martha Jane Canary. 25 septembre 2014 Je conduis une diligence, ces temps-ci. [...] Extrait d'une lettre de Calamity Jane à sa fille Janey, Octobre 1890 16 février 2010 Vois-tu, ton papa Jim m'a promis qu'il m'enverrait toujours une lettre chaque année, le jour de ton anniversaire. 15 février 2019 Il faisait tant de choses gentilles. 26 septembre 2014 Il n'y a vraiment rien dans ce monde d'aussi merveilleux que la foi d'un enfant dans quelqu'un qu'il aime. Cette semaine, Jérôme Garcin enlace Martha Jane Canary alias Calamity Jane.

Ma vie avec les chimpanzés - Jane Goodall n juillet 1960, avec ma mère, Vanne, je suis arrivé au parc national de Gombe, au Tanganyika, pays qui deviendra la Tanzanie. Au début, j’ai eu beaucoup de mal à étudier les chimpanzés. Ils prenaient la fuite dès mon arrivée. L’étude comportementale fut effectivement très longue. Les chimpanzés sont biologiquement semblables aux humains, nous avons en commun plus de 98 % de notre patrimoine génétique.

Moi, Malala - Malala Yousafzai " Je portais l'un des châles blancs de Benazir Bhutto par-dessus mon shalwar kamiz rose préféré et j'ai exhorté les dirigeants du monde à offrir une éducation gratuite à tous les enfants de la planète. " Prenons nos livres et nos stylos, ai-je dit. Ce sont nos armes les plus puissantes. Un enfant, un professeur, un livre et un stylo peuvent changer le monde." Une des phrases restées célèbres prononcées par Malala Yousafzaï à New York aux Nations unies pour son seizième anniversaire, anniversaire qu'elle faillit ne jamais célébrer ; le 9 octobre 2012, la plus jeune Prix Nobel de la paix (2014 ) fut victime d'une tentative d'assassinat. C'est après la lecture du livre de Martine Gozlan - Les rebelles d'Allah, ils ont défié l'ordre islamiste - ( que j'ai présenté sur Babelio ), dont un des chapitres est consacré à Malala que j'ai décidé de trouver son autobiographie afin de mieux faire connaissance avec la jeune femme derrière l'icône. J'ai attendu que soit venu "le moment".

Les Grandes Traversées : podcast et émission en replay | France Culture Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Le Journal de Ma Yan - Ma Yan Le journal de Ma Yan est le récit, par Ma Yan elle-même, de sa vie quotidienne de jeune écolière chinoise dans son petit village du Ningxia. Nous sommes en 2000 et 2001. Dans le Ningxia, région autonome proche de l'Asie Centrale et de la Mongolie, la culture du blé et du sarrasin est l'activité principale mais la terre est ingrate : alors les paysans s'épuisent dans un labeur éprouvant et les enfants constituent une force de travail précieuse car substantielle et gratuite. Ma Yan et sa famille vivent dans la faim, la misère, le froid et la pauvreté. Ma Yan a continuellement faim. Ma Yan vit dans la misère. Ma Yan vit dans des températures extrêmes : dans le Ningxia, il peut faire + 40°C à l'ombre l'été (mais il n'y a pas d'arbres pour faire de l'ombre car les arbres ont servi à alimenter les aciéries lors du Grand Bond en Avant), et – 40°C l'hiver. le climat est continental. Ma Yan vit dans la pauvreté. Une faiblesse dans ce récit ?

Dakia, fille d'Alger - Dakia Voilà un moment que je voulais lire ce petit récit autobiographique et l'approche du 8 mars m'y a décidée : c'est bien pour leurs droits que se battent les Algériennes en cette année 1994 et il y a d'ailleurs une scène de grande manifestation à la date de la journée internationale. On découvre la situation progressivement, au fur et à mesure que Dakia elle-même vit les choses. Tout commence avec des tracts placardés par les islamistes du GIA (Groupe Islamique Armé), intégristes religieux qui "veulent imposer le voile obligatoire pour toutes les Algériennes et interdire aux jeunes filles de faire du sport, de la musique et d'exercer certains métiers - ce qui n'est mentionné nulle part dans le Coran...". Dalkia est d'autant plus choquée que ces hommes réclamant "un pays où la religion régirait la société" lancent leurs attaques "pendant le mois sacré du Ramadan qui est une période de paix, de pardon, pendant lequel les tueries sont formellement interdites".

La promesse de l'aube - Romain Gary Je rends hommage à l'homme pétri d'amour pour sa mère, extravagante, possessive, dramatique, mère russe et juive dans toute sa splendeur, socle sur lequel sa vie reposera à tout jamais. Je rends hommage à l'homme hanté par l'Absolu, par l'Idéal, par la bonté des dieux et des hommes, et toujours en quête de compréhension de cet Univers, à l'écoute des étoiles et des bêtes. Je rends hommage à l'homme au service de la France et de ses traditions de fraternité et de justice, même s'il a dû se battre contre la haine et la bêtise. Je rends hommage à l'écrivain immense, doué de la vraie parole mêlée à l'humour piquant, celui qui fait tout ce qu'il peut pour transmettre son message de Beauté. Dans cette autobiographie, Romain Gary nous retrace sa destinée marquée dès le départ par la volonté absolue de sa mère d'en faire un Grand Homme.

Chagrin d'école - Daniel Pennac Livre de prof pour les profs, ça tombe bien, je découvre le métier. Discours cliché ? Souvent, mais cliché qui fait du bien, vision gentille et lucide, il faut sauver les cancres, nos semblables, nos frères, de la tyrannie des marques, c'est notre devoir de prof, sauver les hirondelles qui se cognent contre les vitres, leur permettre de s'envoler vers leur sud, la métaphore vaut ce qu'elle vaut, Pennac lui-même le reconnaît, mais admettons, contre tout parti pris d'originalité, que je suis convaincu que ce bouquin dit vrai, que ce que nous devons apprendre, nous les profs, c'est l'ignorance, nous préparer à "ça", au "y" du "j'y comprends rien", au choc du savoir et de l'ignorance, admettre l'impossible, à savoir que nos élèves ne savent pas déjà ce que nous leur apprenons. Discours ? Bref, c'est quoi un bon prof ?

Une autobiographie - Agatha Christie « Ce que je me propose donc, c'est de m'adonner aux joies du souvenir, sans hâte, à petits pas, en n'écrivant que quelques pages de temps à autre. C'est là une tâche qui me prendra sans doute des années. Mais pourquoi appeler cela une tâche ? C'est un plaisir que je me fais. » Et ce faisant, c'est un plaisir qu'elle nous fait. Pour moi, en tout cas, ce fut un immense plaisir de parcourir les 650 pages que compte ce récit foisonnant, pétillant d'intelligence et bourré d'humour. Par ailleurs, ainsi que le souligne cette auteure vénérée dans son avant-propos, ce qu'elle nous offre ici est davantage une promenade au gré de ses souvenirs qu'une rigoureuse autobiographie, qu'elle a rédigée « sans hâte » durant quinze ans, de 1950 à 1965, l'achevant à l'âge de 75 ans. « J'aime la vie. Et rien que pour cela, ce livre mérite d'être lu. « C'est une chance unique. Ce tour du monde dans l'immédiat après-guerre fut, de son propre aveu, l'une des expériences les plus palpitantes de son existence.

Cahiers Georges Perec, n°2 : W ou Le souvenir d'enfance « Cette brume insen­sée où s'agitent des ombres, Com­ment pourrais-je l'éclaircir ? Ray­mond Que­neau », p.11 Il est des livres qui, après les avoir refer­més, les avoir ran­gés sage­ment sur le rayon de votre biblio­thèque, vous laissent tran­quille, indemne, neutre : ce sont par­fois de bons livres, vous pou­vez y avoir passé un bon moment, avoir vécu de grandes émotions… oui mais voilà, vous repre­nez la route de la vie et déjà l'empreinte de ces livres s'efface et un beau jour, sans s'en rendre compte, le livre retourne dans l'oubli. W ou le sou­ve­nir d'enfance de George Perec, je le sais, ne sera pas pour moi de ces livres-là. Ce livre ne m'a pas laissé indemne, bien au contraire il m'a ren­con­tré, tou­ché, tri­turé, ému (à tel point qu'il m'a vrai­ment été dif­fi­cile de rédi­ger ce billet)… nous nous sépa­rons — eh oui j'ai appris qu'on ne pou­vait pas rési­der dans le livre, juste s'y abri­ter un ins­tant – et cha­cun se sépare avec une trace de l'autre.

J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir Le livre se divise en deux parties. Dans la première intitulée J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir, l'auteure tient un journal lors du siège de Budapest. Deux mois pendant lesquels elle, ses parents et les autres habitants de son immeuble se réfugient à la cave pour éviter les bombardements des Allemands et des Russes qui tiennent le sort de la capitale hongroise entre leurs mains. Elle livre ses peurs, ses angoisses, ses attentes de jeune fille dont on a volé l'adolescence, qui perd son insouciance au contact de la guerre. On vit au rythme de son quotidien et de celui de ses compagnons d'infortune auxquels on s'attache aussi énormément comme M. Radnay ou Ilus et son bébé. Dans l'ensemble, j'ai donc bien aimé cette lecture, même si les journaux intimes, récits autobiographiques ne sont toujours pas ce que je préfère.

Un secret - Philippe Grimbert Dans le Paris de l'après-guerre, la famille Grimbert coule des jours paisibles entre leur boutique de la rue du Bourg-l'Abbé et le stade et la piscine où les parents, sportifs émérites, entretiennent leur physique d'athlète. Leur fils, lui, de faible constitution et de santé fragile, se tient éloigné des joies du sport, préférant collectionner les bonnes notes à l'école, dans l'espoir de laver la déception qu'il croit lire dans les yeux de son père. du passé de Maxime et Tania, il ne sait rien, mais il aime à imaginer leur première rencontre, leurs premiers émois et leurs années de guerre, derrière la ligne de démarcation, loin de Paris dont ils ont fui les restrictions. Pour se consoler de sa solitude, il s'est inventé un frère aîné, grand, beau, fort et sûr de lui, un frère avec lequel il se chamaille, se bagarre, un frère qui serait la fierté de ses parents. En peu de mots, avec une pudeur extrême, Philippe GRIMBERT réussit à évoquer toute l'horreur de la shoah.

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