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Que vont devenir les livres?

Que vont devenir les livres?
L'ex-rédacteur en chef de Wired, Kevin Kelly, imagine le futur du livre numérique, plus lisible, plus manipulable, plus social et participatif. Kevin Kelly [en] n’est pas le premier venu quand il s’agit de parler de cultures digitales. Ex rédacteur en chef de Wired, il vient de publier sur son blog “What books will become” (repris sur OWNI.eu), un essai passionnant sur les avenirs possibles du livre. Nous vous laissons découvrir l’intégralité de ce billet grâce à la traduction d’Hubert Guillaud. Un livre est une histoire autonome, un argument, ou un corps de connaissances qui prend plus d’une heure à lire. Un livre est complet dans le sens où il contient son propre commencement, milieu et une fin. Dans le passé, un livre a été défini comme toute chose imprimée entre deux couvertures. La structure conceptuelle du livre reste Aujourd’hui, le papier des pages d’un livre disparaît. Pourtant, il y a des livres sur le web. Un dispositif de lecture séparée semble aider.

Cheap E-Books Crowd Best Sellers Alberto Manguel : numérique ou papier, reste la liberté du lecteur ActuaLitté Le premier Simposio Internacional sobre el Libro Electrónico, qui se déroule actuellement au Mexique fait amplement parler de lui. Cette réunion d'acteurs de l'édition venus pour discuter de cet avenir qu'est le livre numérique génère une saine émulation... La dernière en date, c'est l'intervention d'Alberto Manguel, écrivain et traducteur argentino-canadien, pour qui la technologie doit rester à sa place. « Quand la technologie est imposée par des raisons purement commerciales, par des multinationales qui nous font croire qu'elle est essentielle pour chaque instant de notre vie, nous risquons de devenir l'électronique de bord, et être utilisé par la technologie, et non nous servir, nous, d'elle », redoute-t-il. À l'occasion de son discours d'inauguration, l'auteur met tout le monde en garde : la technologie et ses commerciaux, sont avant tout là pour se vendre, et si elle n'apporte rien pour améliorer la lecture ou faciliter l'accès aux oeuvres, cette dernière n'est pas utile.

5 Myths About the 'Information Age' - The Chronicle Review By Robert Darnton Confusion about the nature of the so-called information age has led to a state of collective false consciousness. It's no one's fault but everyone's problem, because in trying to get our bearings in cyberspace, we often get things wrong, and the misconceptions spread so rapidly that they go unchallenged. Taken together, they constitute a font of proverbial nonwisdom. 1. 2. 3. 4. 5. I mention these misconceptions because I think they stand in the way of understanding shifts in the information environment. Last year the sale of e-books (digitized texts designed for hand-held readers) doubled, accounting for 10 percent of sales in the trade-book market. Many of us worry about a decline in deep, reflective, cover-to-cover reading. In studies of culture among the common people, Richard Hoggart and Michel de Certeau have emphasized the positive aspect of reading intermittently and in small doses. Robert Darnton is a professor and university librarian at Harvard University.

« Le livre papier est condamné » : explications d'un britannique ActuaLitté « Nos enfants grandiront avec l’ebook et ils verront toujours le livre papier comme une relique encombrante. » Ceux sont les propos incisifs mais sûrement lucides de Shane Richmond, éditorialiste à la section technologie du quotidien britannique Telegraph. Dans un édito publié aujourd’hui, il explique pourquoi le livre papier n’aura bientôt plus, ou très peu, de raisons d’exister, et ce, dès la prochaine génération. C’est lors d’une conversation banale avec un cadre d’une entreprise de la Silicon Valley sur l’ère du numérique que Shane Richmond s’est rendu compte de l’impact des ebooks sur les prochaines générations, très certainement lié à la disparition fatale du livre papier. Son interlocuteur remarqua simplement qu’il doutait qu’un jour « sa fille achète jamais un livre papier », celle-ci étant âgée de neuf ans. Shane Richmond songea alors à la sienne, qui a deux ans. Pour Shane, la recherche et l’annotation sont les grands atouts de l’ebook. Crédit photo : Telegraph.co.uk

Piracy adding to publishers' digital costs 11.04.11 | Philip Jones The escalating costs of fighting piracy and the need to recruit experts from outside the publishing sector are among the reasons publishers are resisting increasing royalty rates on digital books, delegates at the London Book Fair's digital conference heard. In a discussion on how publishers could continue to add value to authors in the digital age, Little, Brown publisher David Shelley warned an e-book could be as easily pirated as an MP3 and publishers had to invest in technology and expertise in order to defeat the pirates. He said: "Money spent on print and paper will be spent on specialists to fight piracy and that is a team of many people. Referring to Barry Eisler, who recently rejected a major publishing deal in order to self-publish, Shelley added: "As an industry we can do this, Eisler on his own can't." LBF Daily: Day 1

» 2012 » July » 08 The Digital Antiquarian As a fellow very concerned about his place in society, Dennis Wheatley carefully cultivated friendships with quite a number of people, enough so that one kind of wonders where he found time to maintain his prodigious literary output. One of the most surprising of these was an up-and-comer named Joseph Gluckstein Links, or just “Joe” to friends like Wheatley. Born in 1904, Links was, like Wheatley, the son of a tradesman. But the similarities ended there. Links’s father was a Jewish refugee from Hungary who owned a business that served the bottom end of the fur trade, dealing in skunk. Links didn’t have the opportunities Wheatley did to finish his education and indulge his whims as a young man-about-town in London. Links turned out to be possessed of a shrewd business sense. As a young man Links was a friend of Nancy Robinson, the wealthy heiress to the Nugget Boot Polish fortune who, in something of a social-climbing coup for Wheatley, became his wife in 1922.

Livre numérique : encore du chemin à parcourir Le livre numérique n’est pas encore très prisé, que ce soit via le téléchargement ou la consultation de contenus en ligne. 14% des lecteurs de livres seulement y ont recours et 82% de ces lecteurs consomment moins de 10 fichiers en trois mois. Principal problème : la plupart des consommateurs de livres numériques ne paient pas, et ceux qui paient ne dépensent que 4 euros par mois en moyenne. Pour ce qui est des vidéos dématérialisées, on note que ce ne sont pas les mêmes types de contenus qui sont visionnés en streaming et en téléchargement. Dans le domaine de la musique en ligne, la catégorie des sites légaux et celle des sites ou applications de téléchargement peer-to-peer, illégaux, sont utilisées par 43% des consommateurs chacune. Notons, enfin, que les sites web 2.0 sont principalement consultés sur ordinateur, et les réseaux sociaux en grande partie pour entretenir ses relations. Base : téléchargent/consultent du contenu livre numérique IC : + de 5 points (base faible)

De la bibliothèque à la bibliosphère |  | Numeriklivres There are many different forms of energy. In this article on going to talk about a few of the more popular forms of energy, heating and power sources. Solar water heating solar water heating technologies mainly based on flat plate collectors, which absorb solar energy that raises the temperature of the water running through them to between 60°C and 80°C. Swimming pool solar water heaters the output temperature from these collectors is not expected to be high. Solar thermal power solar thermal power production is much closer to conventional electricity production. solar thermal power technologies are designed to collect solar radiation, to concentrated, converted into thermal energy, transport, that energy to the power conversion system and converted into electricity. PowerTower systems like parabolic trough systems, power towers are capable of large-scale electricity production. Dish systems Concentrating solar power

Mangako parie sur le manga numérique, que paye la publicité ActuaLitté Éditeur de manga numériques pour iPhone et iPod Touch, Mangako avait jusqu’à lors opté pour une commercialisation de ses titres, par le biais de l’AppStore, depuis l’été 2010. Déjà presque une année, et l’occasion de faire le point sur une offre payante... qui n’a pas apporté les résultats escomptés. Attendu que la clientèle est celle de la mobilité, l’éditeur constate deux choses : « Le mobinaute se comporte comme l’internaute. Il est de moins en mois enclin à payer. Les usages des internautes ont validé que le gratuit est le modèle dominant pour l'acquisition de contenus culturels et de divertissement sur le web. » Descartes avait raison, cogito ergo sum, donc il fallait qu’évolue le modèle économique de l’éditeur. Si le tout payant ne fonctionne pas, que le moitié gratuit ne parvient non plus à convaincre, il restait donc à essayer le tout gratuit. Manga offert contre publicité. (voir le blog Mangako) Sources : , , , Pour approfondir

Bookish : trois éditeurs US en partenariat avec AOL ActuaLitté Décidés à renforcer le marché du livre papier et stimuler celui du livre numérique, trois éditeurs majeurs d'outre-Atlantique viennent de s'allier avec un opérateur internet pour la réalisation d'une plateforme destinée à faire découvrir... et vendre. Derrière Bookish, il y aura donc tout un réseau, dont le partenaire majeur s'avère être AOL, qui compter proposer à ses millions d'utilisateurs des services de lecture sur un mode promotionnel. Mais le nom lui-même ne peut pas être passé inaperçu, puisqu'il s'agit de la continuité du partenariat mis en place avec Starbucks, en octobre/novembre 2010. Il s'agissait à l'époque pour le service de café-crème-deux-sucres-merci de rentabiliser son réseau WiFi, en proposant l'accès à des contenus payants et gratuits. L'union fait la farce Ici, le réseau Bookish regroupe Hachette Book Group, Penguin Group (USA) et Simon & schuster, dans une initiative similaire. AOL ? Soupe bien vendue, et bien avalée, on le verra dès cet été. Rêveur...

Liste de sites de livres audio gratuits Bonjour, Il semble que la liste que j'ai proposée il y a quelques jours n'a pas été vue par certains collègues car il y a encore beaucoup de demandes. Je me permets donc de la renvoyer. Elle n'est sans doute pas exhaustive mais elle rassemble les sites les plus importants. Tous ces sites proposent essentiellement des textes du domaine public donc assez anciens et pas tous accessibles pour des collégiens. Une audiothèque très fournie. S'il contient moins de titres que litteratureaudio.com, les enregistrements sont aussi de très bonne qualité technique. Bien fourni mais moins exigeant sur la qualité sonore des enregistrements qui est donc très variable d'un titre à l'autre. Des livres audio dans différentes langues. Cordialement, Natacha Dugas, professeur-documentaliste S'abonner au flux RSS des commentaires : Re: Publié par : Nathalie le 19 avril, 2014 08:26 Un site que j'ai oublié : Etc. Merci

Le Spotify du livre s'appelle... 24Symbols - et vient d'Espagne ActuaLitté Le service de musique Spotify est largement connu aujourd'hui, et son pendant pour le livre numérique largement attendu. Simplement parce que cette solution pourrait tout à fait représenter l'une des alternatives économiques possibles pour développer encore le secteur. C'est sur cette base que s'est monté le service 24Symbols, à l'initiative d'une société espagnole, qui est entré en phase de test la semaine passée. Près de 5000 invitations ont été diffusées, alors que l'on n'avait pas trop de nouvelles, depuis le 21 octobre, annonce de leur création. Le principe est particulièrement proche de ce que peut être Spotify, avec plusieurs modes de fonctionnement : publicité pour payer le service, rendant l'outil gratuit, sans publicité, valorisé à 9,99 $ pour un mois (19,99 $ pour trois mois et 59,99 $ pour un an). Pour 24Symbols, on part sur un abonnement de 5 à 10 € par mois (c'est une société espagnole...). Pour l'éditeur ou l'auteur, 70 % sont reversés, selon la consultation.

Dépêches AFP La Bibliothèque nationale de France (BNF) et Hachette Livre (Lagardère) ont signé lundi un accord permettant l'impression à la demande d'ouvrages présents sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BNF, qui a déjà numérisé 200.000 livres. Cet accord non exclusif concerne une première sélection de près de 15.000 ouvrages libres de droits, qui seront imprimés et commercialisés par Hachette à partir de septembre chez les libraires "qui ont toute leur place dans le monde numérique", a précisé à l'AFP le président de la BNF Bruno Racine. "Il s'agit d'une brique dans une construction plus large du développement de Gallica avec de nouveaux services et, par exemple, une ouverture sur d'autres bibliothèques, publiques ou universitaires", a-t-il poursuivi. L'impression à la demande, déjà en oeuvre avec d'autres partenaires de la BNF, est une technologie numérique qui permet d'imprimer un exemplaire d'un livre numérisé dans les heures qui suivent la commande du client.

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