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Loisir ou compétition, le sport doit rester un plaisir

Loisir ou compétition, le sport doit rester un plaisir
Adapté à la personnalité et aux compétences de son enfant, le sport peut être un loisir très épanouissant. La compétition, en revanche, entraîne souvent beaucoup de stress. Comment dédramatiser et éviter qu’il subisse une trop grande pression ? Les enfants ont besoin de se dépenser ! Le sport permet aux enfants de se dépenser physiquement et de se changer les idées. A l'heure du “tout-écran” (ordinateur, télévision, console de jeu), associé à une alimentation pas toujours équilibrée, c'est important ! “C'est un moyen de lutter contre la sédentarité et de se tourner vers l'extérieur”, commente Geneviève Henry, psychologue spécialiste des enfants et des adolescents. Un sport, oui… mais adapté à sa personnalité Pour qu'un enfant s'épanouisse dans la pratique d'un sport, il faut que ce sport corresponde à sa personnalité et à ses compétences. D'où l'intérêt de l'inscription au “multisports” par exemple, pour commencer. Loisir ou compétition ? Related:  Veille informative sur le jeu

Albert Jacquard: "Je suis absolument contre la compétition, mais pour l'émulation" [Interview parue dans le magazine L'Entreprise en décembre 2004]. Le généticien Albert Jacquard est décédé ce jeudi 12 septembre 2013 à l'âge de 87 ans. Nous reproduisons un entretien qu'il avait accordé au magazine L'Entreprise il y a un peu moins de dix ans. Connu pour ses prises de position opiniâtres en faveur du droit au logement et sa défense inlassable des exclus et du droit à la différence, Albert Jacquard n'a rien d'un doux rêveur ni d'un humanitaire bêlant. Quel regard portez-vous sur notre monde économique de ce début de XXIe siècle? On perçoit aujourd'hui l'absurdité de la logique capitaliste poussée jusqu'à son terme. C'est donc ensuite que la situation s'est gâtée? Oui. A vous entendre, la compétition, qui régit aujourd'hui les rapports entre acteurs économiques et une grande partie des rapports humains, ne serait pas une bonne chose? C'est une pure folie! Quelle différence faites-vous entre compétition et émulation? La voie idéale est évidemment celle de la réforme.

Compétition : La vraie toxicomanie Depuis près de 25 ans, Jean-Marie Brohm, ex-professeur d'éducation physique et sportive, aujourd'hui professeur de sociologie à l'université Paul-Valéry de Montpellier, mène une réflexion de fond sur la nature du sport de compétition et le statut du corps dans nos sociétés. Au fil des ans, une théorie critique radicale empruntant notamment à l'histoire, l'anthropologie, la sociologie s'est élaborée au travers de la revue "Quel corps" et de nombreux ouvrages (1). Contrairement à ceux qui voient dans les "affaires" qui secouent le monde sportif actuellement l'expression de pratiques (le dopage) contraires aux règles d'une activité humaine fondamentalement inoffensive (le sport), Jean-Marie Brohm y trouve la confirmation du caractère fondamentalement mortifère du sport de compétiton et met en évidnce, pour Swaps, les liens solidaires qui unissent en une totalité indivisible, sport dopage et toxicomanie.

Contre le sport de compétition de masse et ses multiples effets narcotiques, oniriques et aliénants. Pour un autre sport, pour une autre éducation, pour une autre société. Origine : A travers les reflexions d’Albert Jacquard (Halte aux Jeux ! publié en 2004) ou encore la Marche du mouvement de la décroissance pour l’abolition du Grand Prix de Formule 1 de Magny-Cours, la critique du sport de masse entretient une relation privilégiée avec la décroissance. Sport et décroissance : Paris 2012 et le mouvement contre le sport spectacle. Produit et producteur de la mondialisation capitaliste, le sport de compétition spectaculaire est aujourd’hui l’horizon planétaire de la modernité libérale. En effet, le corps est aujourd’hui l’objet fétiche de la postmodernité libérale. Des propositions suggestives pour lutter radicalement contre le sport de masse et décoloniser notre imaginaire. En 1991, un colloque historique a eu lieu en Sorbonne, autour de la critique du sport : « Anthropologie du sport, perspectives critiques ». - Première proposition : Abolition des sports polluants, destructeurs, mortifères.

Sport et relations internationales - Serge SUR Les exercices, activités et compétitions sportives sont trop diverses et trop riches pour être présentées en détail. Certains sports sont individuels, d’autres collectifs. Certains sont limités à une région, un pays, un continent, un espace culturel, d’autres quasi universels. Certains sont populaires, facilement et largement pratiqués, d’autres aristocratiques, marqueurs sociaux. Les Jeux Olympiques en présentent la galaxie la plus complète et la plus universelle, mais le sport ne se réduit pas aux disciplines qu’il consacre. I. Le sport qui intéresse les relations internationales a peu à voir avec la gymnastique individuelle ou autres exercices hygiénistes recommandés depuis le XIXe siècle pour se garder en bonne santé, le corps souple et l’esprit alerte. Car ce sport est indissociable de la compétition, il n’exalte pas tant l’exercice que la victoire. II. Le sport comme société Le sport comme marché Le sport comme espace délinquant Il y a ensuite ce qui est à la périphérie du sport.

Les arrière-pensées réactionnaires du sport Le sport est très souvent présenté par ses laudateurs et ses défenseurs comme un fait universel, un invariant culturel. Sous des formes certes changeantes, il aurait été pratiqué à toutes les époques et sous toutes les latitudes. Son omniprésence dans le temps et dans l’espace ne ferait aucun doute. Dans cette vision divine, mystique et quasiment céleste, le Sport transcenderait les hommes, il serait « de partout et de toujours », il apparaît, dès lors, comme une sorte d’entité supra-naturelle. Si dans son essence la compétition sportive [1] est postulée pure et innocente, c’est qu’elle est présentée comme un besoin fondamental de l’homme, une tendance instinctive, une sorte de disposition naturelle et primitive. Il semble important d’insister sur cinq points : une compensation aux inégalités sociales et une justification de ces inégalités (avec efforts et sacrifices, il est toujours possible d’accéder à l’élite), un contrepoids à la grisaille du quotidien. [8] Cf. [9] Cf. [13] Cf.

Comment une société qui valorise un idéal de compétition, peut-elle espérer concrétiser un idéal d’égalité ? | L'Humanité Future - GODF La question sous-entend le dogme idéologique et dogmatique selon lequel une société valorisant la compétition permettrait l’égalité dans les faits, alors même qu’elle s’en affranchit, et dans le meilleur des cas au profit de l’équité. Si les règles de droit nous rendent égaux, l’équité, elle, ne fait qu’apprécier ce qui est dû à chacun dans la conception d’une justice purement naturelle. Malgré l’égalité des chances la compétition de par ses résultats, induit ainsi l’idée d’une hiérarchie sociale juste, en justifiant dans la méritocratie la non-égalité des positions. Ce constat fait, il nous appartient d’analyser les conditions qui le permettent. Chacun dans sa vie profane, dès le plus jeune âge – au travers de classements scolaires ou autres – est invité à se singulariser de ses semblables. Au sein des entreprises la division du travail apparaît comme la seule solution à l’augmentation de la productivité. Peu de différences donc entre le sport professionnel et le monde du travail.

Patrick Mignon : Compétition et performance La conférence de l'Université de tous les savoirs du jeudi 6 juin 2002, par le sociologue Patrick Mignon. Thème de la conférence : Compétition et performance Compétition et performance sont sans doute les mots qui définissent le mieux le sport. De plus, prise dans son sens anglo-saxon, cette dernière ouvre vers une autre dimension fondamentale du sport contemporain, celle du spectacle : le sport, ou une bonne partie du sport, est une activité qui se déroule devant des spectateurs. Il y a, contenus dans ces deux mots, les éléments d'une dynamique interne qui permet de saisir ses évolutions. Tout comme les aléas de la compétition ou la manière d'obtenir la performance recherchée peuvent permettre de rendre compte de l'engouement pour le spectacle sportif. Puisque les mots sont les mêmes, l'interrogation se porte sur les liens existant entre l'univers du sport et la société et sur la manière dont on peut les penser : miroir ? Patrick MignonNé en 1950

Addiction aux jeux d’argent : 600.000 joueurs concernés en France. Et vous Près de 600.000 joueurs en France, soit 1,3% de la population majeure, présentent un profil « problématique ». Ces résultats résultent de la première enquête de prévalence sur les niveaux et pratiques des jeux de hasard et d’argent en France, réalisée en 2010 par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). 200.000 joueurs excessifs en France : Il ressort donc de cette étude que « 0,9% des individus (400.000 personnes) présentent un risque modéré » (joueur qui pourrait se trouver en difficulté par rapport à sa conduite de jeu) et que « 0,4 % (200.000 personnes) sont des joueurs excessifs » (joueur en grande difficulté par rapport à sa conduite de jeu). Au total, 1,3% de la population française de plus de 18 ans sont des joueurs dits problématiques. 8% des joueurs actifs jouent au poker : Les jeux de tirage et de grattage, pratiqués respectivement par 75% et 62,2% des joueurs actifs, sont indéboulonnables.

Cyberdépendance : "l’addiction au jeu est aussi féroce que celle aux substances" La journaliste Giannaccini réalise un dossier sur l’addiction aux jeux en ligne. Un réel problème de société mais aussi de santé publique dans le monde occidental. Nous n’en sommes pas encore là en Algérie quoique le problème de la cyberdépendance – pendant de l’addiction aux jeux en ligne – commence à être évoqué dans notre pays. Une association culturelle a organisé il y a quelques mois dans la commune d’Aghribs et à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou une rencontre dédié à ce problème qui commence, à la faveur de la démocratisation croissante d’internat, de se manifester. Cette association culturelle m’avait en ce temps demander d’animer une conférence à ce sujet. Ce que j’avais fait. 1 – En votre qualité de docteur en sciences biomédicales, pouvez-vous me définir ce qu’est l’addiction ? Le terme addiction est d’origine anglaise. Les addictions sont nombreuses et leurs conséquences variables selon la substance consommée. Il y a d’autres formes d’addictions.

II- Les Jeux Olympiques permettent-ils l'évolution d'un modèle social? A. Evolution des libertés: Le pays organisateur des Jeux Olympiques est tenu comme nous l'avons vu précédement de respecter un certain nombre de libertés. Par exemple avec les Jeux Olympiques qui ont été organisés en Chine, on peut constater qu'il y a eu un certain nombre de problèmes liés aux libertés fondamentales et essentielles pour organiser les Jeux. Pour faire face à ces protestations internationales et pour montrer une meilleure image de leur pays les autorités Chinoises ont déclarés que "les Jeux Olympiques aideront à l'amélioration des Droits de l'Homme" et ont également annoncés qu'il y aurait "une liberté de presse totale". Dans ce cas précis les Jeux Olympiques auraient donc réellement aidé la Chine à faire évoluer ses libertés et donc à permettre au pays d'évoluer et de se développer. De plus ces Jeux devraient permettre d'apaiser les relations entre le Chine et l'Occident qui pourraient devenir explosives... Conclusion: B.Une Ouverture sur le Monde: changements:

Jeux d’argent : sortir de la dépendance Loterie, grattage, casino, paris sportifs, jeux en ligne… Près d’une personne sur deux déclare jouer à des jeux d’argent et de hasard. Et certains en deviennent accros au point de se transformer en joueurs pathologiques. Explications. La dépendance aux jeux d’argent et de hasard a été une première fois mentionnée en 1561, décrite en 1914 puis analysée par Freud en 1928. Un million de Français à risque Selon un rapport de l'Observatoire des jeux, (ODJ), plus de la moitié des Français (56,2 %) a joué au moins une fois à un jeu en 2014. Les signes qui doivent alerter Certains signaux d’alerte symptomatiques permettent de déterminer notre degré de dépendance. Jouez au Loto plutôt que sur Internet En savoir plus : Joueurs Infos Services : ce site est géré par « Addictions, drogues, alcool, info service », groupement d’intérêt public dépendant du Ministère de la Santé et placé sous l’autorité de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES). A lire aussi sur le blog

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