Radicalizing Cathedrals Way Before Pussy Riot: Meet The Top 10 Feminist Saints (Disclaimer: I’m atheist-ish, but my mom is Catholic and I was baptized Lutheran, so I’ve got that going for me.) Since Pope Francis was inaugurated in March, he’s been up to a lot of liberal shenanigans. He thinks homophobia and debates over abortion are a waste of time and is showing by example how love and humility are at the core of what it means to be Christian, from washing the feet of women to turning down the papal apartment. Four for you, Pope Francis. You go, Pope Francis. But long before the current pope shocked the world by not being a terrible person, there have been saints who exemplified what it means to be a good Christian. (listed in chronological order) 1. While many female saints are celebrated simply for their virginity, Mary’s case is a bit more interesting. “I’m the queen of heaven, nbd.” from the Ghent Altarpiece by Hubert van Eyck 2. 3. Wanting to avoid marriage, Apollinaria was allowed to go on a pilgrimage instead. 4. 5. 6. 7. 8. Vive la France et les lesbiennes!
Catherine de Sienne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Catarina Benincasa , plus connue sous le nom de Catherine de Sienne (née le 25 mars 1347 à Sienne, en Toscane, et morte le 29 avril 1380 à Rome), est une tertiaire dominicaine mystique, qui a exercé une grande influence sur l'Église catholique. Née à Sienne, elle y grandit et désire très tôt se consacrer à Dieu, contre la volonté de ses parents. Elle accompagne l'aumônier des dominicains auprès du pape à Avignon, en tant qu'ambassadrice de Florence, ville alors en guerre contre le pape. Le grand Schisme d'Occident conduit Catherine de Sienne à aller à Rome auprès du pape. Catherine de Sienne est l'une des figures marquantes du catholicisme médiéval, par la forte influence qu'elle a eue dans l'histoire de la papauté. Ses écrits — et principalement Le Dialogue, son œuvre majeure qui comprend un ensemble de traités qu'elle aurait dictés lors d'extases — marquent la pensée théologique.
Anna Katharina Emmerick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Anna Katharine Emmerick Bâtiment de naissance de Anna Katherine Emmerick à Coesfeld-Flamschen Anna Katharina Emmerick, née le 8 septembre 1774 à Coesfeld (actuellement en Rhénanie-du-Nord-Westphalie) et décédée le 9 février 1824 à Dülmen (dans la province de Westphalie, rattachée à la Prusse par le Congrès de Vienne) est une religieuse (dans l'ordre des augustines) et une mystique allemande. Biographie[modifier | modifier le code] Anna Katharina Emmerick (parfois notée Emmerich) est née dans une famille de modestes paysans. Pendant le temps qu'elle passe au couvent, elle est fréquemment malade. À cette époque, elle aurait accompli un miracle. Entre 1816 et 1824, le poète Clemens Brentano, à son chevet, prend en note ses visions. À la suite des visions d'Anna Katharina, la sépulture et la maison de la Vierge Marie auraient été redécouvertes en 1881 par l'abbé Julien Gouyet sur une colline près d'Éphèse. Le Dr W. W. L. ↑ LV.
Beatrice Ensor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Beatrice Ensor (Marseille, - Londres, 1974) est une théosophe et pédagogue britannique, pionnière du mouvement d'éducation nouvelle. Elle est, avec Maria Montessori et Adolphe Ferrière, une des cofondatrices en 1921 de la Ligue internationale pour l'éducation nouvelle, pour laquelle elle dirige avec A. S. Neill la version anglophone de la revue Pour l'ère nouvelle[1]. Notes[modifier | modifier le code] ↑ Robert Skidelsky, Le mouvement des écoles nouvelles anglaises Bibliographie[modifier | modifier le code]
Jeanne de Belcier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jeanne de Belcier, également connue sous le nom de sœur Jeanne des Anges, née le à Cozes et morte le à Loudun est une religieuse ursuline française. Elle est restée célèbre pour avoir été, en 1632, la protagoniste principale de l'affaire des possédées de Loudun, qui conduisit, en 1634, à la mort sur le bûcher du prêtre Urbain Grandier, après un procès en sorcellerie instruit à la demande du cardinal de Richelieu. Ses écrits autobiographiques et une abondante littérature consacrée à sa personnalité ont permis de conclure qu'elle souffrait de troubles du comportement et de faire de son histoire clinique un cas d'école de « Grande Hystérie[1] ». Biographie[modifier | modifier le code] Toute petite, elle a un accident marquant. Après la mort de Grandier les signes de « possession » ne cessent pas pour autant chez la supérieure des Ursulines. Iconographie[modifier | modifier le code] Il est fait mention de deux portraits de Jeanne des Anges.
Bernadette Soubirous Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans un contexte post-révolutionnaire de vives polémiques sur les questions religieuses et, quelques années après les apparitions mariales de la rue du Bac et de La Salette, celles de Lourdes suscitent un engouement populaire important et croissant. La presse nationale commence à s'y intéresser, durant l'été 1858, notamment avec la publication, par Louis Veuillot, d'un article très remarqué dans L’Univers[5]. Le préfet de Tarbes, suivant les consignes du ministère des cultes, maintient une interdiction d'accès à la grotte jusqu'en octobre 1858, tandis qu'une commission d’enquête, mise en place par l'évêque de Tarbes, en juillet 1858, se prononce en faveur de ces apparitions en 1862. L’aménagement de la grotte et la construction d’une basilique sur le rocher qui la surplombe commencent alors. En 1868, paraissait le livre de Henri Lasserre, intitulé Notre-Dame de Lourdes[6], qui connaît un grand succès et est traduit en 80 langues.
Marthe Robin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Robin. Son dossier en vue d'une éventuelle béatification a été déposé auprès des autorités diocésaines en 1987 puis transmis au Saint-Siège en 1996[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Maladie[modifier | modifier le code] Le postulateur de la cause en béatification de Marthe Robin est le père Bernard Peyrous, prêtre de la communauté de l'Emmanuel. Elle restera dans la ferme familiale, où ses proches s’occupent d’elle. Une interprétation a pu être donnée quant à sa maladie, sur la base des documents médicaux recensés lors de l’enquête diocésaine et d’un examen complet fait en 1942 par deux médecins de Lyon (Jean Dechaume, professeur à la faculté de médecine de Lyon et André Ricard, chirurgien)[6]. Vie spirituelle[modifier | modifier le code] Ses parents sont catholiques croyants, mais ne pratiquent pas[8]. Phénomènes mystiques[modifier | modifier le code] Autres auteurs
Marguerite Delamarre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marguerite Delamarre est une religieuse française né en 1717 et décédée après 1790. Elle est connue pour le procès qu'elle a vainement intenté en 1758 pour être libérée de ses vœux. Son histoire a servi l'imagination de Denis Diderot pour une mystification aux dépens de son ami Croismare et surtout pour son roman La Religieuse. Bibliographie[modifier | modifier le code] Christian Vogels, Marguerite Delamarre, la véritable religieuse, in : Jean-Olivier Majastre (dir.), Du canular dans l'art et la littérature, L'Harmattan, 1999, p. 190-195.Briquet de Mercy, Mémoire pour les héritiers et la dame veuve du sieur Claude de La Marre..., [Paris], imp. de la veuve Paulus-Du-Mesnil, 1758 (OCLC 467098219).Georges May, Inventaire des pièces [du procès] déposées à la Bibliothèque nationale. Notes[modifier | modifier le code]
Cantatrice Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cantatrices célèbres[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Mère Teresa canonisée : retour sur la vie d'une future sainte Mère Teresa sera canonisée dimanche par le pape François. Non pas que cela change quoi que ce soit pour ses fidèles, qui la considèrent comme sainte depuis sa mort, rapporte Le Point. Cet événement, dont la procédure a été entamée en 1998, donne l'occasion de revenir sur sa vie. Mère Teresa est née Anjezë Gonxha Bojaxhiu, le 26 août 1910 à Skopje, actuelle capitale de la Macédoine. À lire aussi – Canonisations de Jean-Paul II et Jean XXIII : un long parcours avant de devenir des saints Un modèle de vertu ? C'est en 1948 qu'elle aurait entendu Dieu qui, d'après elle, lui demandait d'aller aider les pauvres. Morte d'une tumeur de l’estomac le 5 septembre 1997, elle est devenue une figure mondiale de charité et de bienfaisance. Une sainteté controversée La canonisation d'une personne est le résultat d'une enquête très poussée menée par un ensemble de théologiens. Il faut également avoir mené une vie vertueuse... et avoir accompli deux miracles. Publicité
Wilgeforte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue de sainte Wilgeforte (église Saint-Nicolas de Wissant). Wilgeforte, ou Livrade, est une sainte légendaire de la tradition catholique, également invoquée sous le nom de sainte Débarras. Récits et représentations la dépeignent sous les traits d'une vierge miraculeusement barbue et d'une martyre crucifiée. Nom[modifier | modifier le code] En latin, cette sainte est dénommée Virgo fortis, Wilgefortis barbata, Liberata, Comeria, Cumernus ou Eutropia. Légende[modifier | modifier le code] Depuis le XIXe siècle, l'existence historique de sainte Wilgeforte n'est plus soutenue[3] et son caractère purement légendaire est considéré comme acquis[4]. des textes espagnols font d'elle la fille catholique d'un roi païen de Portugal. Dans les représentations du XVIIIe siècle, Wilgeforte apparaît crucifiée, barbue, couronnée, vêtue d'une robe et d'un long manteau d'où dépasse un pied nu ; à proximité est agenouillé un joueur de viole[2].
Delphine Horvilleur Delphine Horvilleur (2019) Delphine Horvilleur, née le 8 novembre 1974 à Nancy, est une écrivaine[1] et femme rabbin française appartenant à l'organisation juive libérale Judaïsme en mouvement issue du Mouvement juif libéral de France et de l'Union libérale israélite de France[2],[3]. Elle est membre du Conseil des rabbins libéraux francophones ainsi que directrice de la rédaction de la Revue de pensée(s) juive(s) Tenou'a. Biographie[modifier | modifier le code] Delphine Horvilleur est née à Nancy. L'un de ses premiers enseignants du judaïsme est Haïm Korsia, lorsqu'elle était enfant et lui rabbin de Reims[6]. Delphine Horvilleur entame des études de médecine à l'université hébraïque de Jérusalem, sans les terminer, période pendant laquelle elle est également mannequin[7], puis étudie le journalisme au CELSA à Paris[8]. Elle intègre le séminaire rabbinique du mouvement réformé Hebrew Union College à New York. Activités communautaires[modifier | modifier le code]