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Pensée

Pensée
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au sens large, la pensée est une activité psychique, consciente dans son ensemble, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation psychique, un ensemble d'idées propres à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion (façon de penser), un trait de caractère (avoir une pensée rigoureuse), etc. Souvent associée au célèbre cogito ergo sum de Descartes, la notion de pensée est aussi un héritage de l'Antiquité, philosophie antique grecque et romaine, et traditions judéochrétiennes. Étymologie[modifier | modifier le code] Penser vient du bas latin «pensare» ( en latin classique : peser, juger) , fréquentatif du verbe « pendere » : peser. Définition[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Related:  Les formes de la pensée

Penser, réfléchir, apprendre par John Dewey Extrait de « Comment nous pensons » Les 4 acceptions du terme « pensée » La pensée inconsciente Les émotions Les hypothèses non vérifiées La superstition La superstition est un résultat aussi naturel que la science La pensée réfléchie Définition de la pensée réfléchie Synonimes de fonction de signifier Douter et rechercher Penser en fonction d'un but : rechercher Les 5 étapes de la réflexion Un bébé intellectuel Problème que doit résoudre le bébé La maîtrise du corps est un problème intellectuel L'acte d'apprendre Leçons non rattachées à des problèmes L'observation devrait impliquer la découverte Comment susciter l'intérêt pour la recherche et la réflexion? Responsabilité de l'élève dans la recherche Nécessité du loisir de l'esprit Avoir foi en l'intégrité de l'esprit Les 4 acceptions du terme « pensée » de la plus étendue à la plus restreinte De façon générale nous désignons d'abord par pensée « tout ce qui nous passe par la tête », laissant alors à ce mot un sens large, sinon vague. [...]

Affectivité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'affectivité désigne le caractère des phénomènes dits affectifs, l'ensemble des sentiments et des émotions, et la faculté d'éprouver, en réponse à une action quelconque sur notre sensibilité, des sentiments ou des émotions. Les sciences affectives se donnent pour objet d'étude l'affectivité et les émotions. Histoire[modifier | modifier le code] Théorie des humeurs[modifier | modifier le code] Selon Hippocrate l'affectivité est influencée par quatre humeurs : le sang : venant du cœur (caractère jovial, chaleureux)la pituite : rattachée au cerveau (caractère lymphatique)la bile jaune : venant du foie (caractère anxieux)l'atrabile : venant de la rate (caractère mélancolique) Affect, émotion, humeur[modifier | modifier le code] Les différentes branches de la psychologie ont étudié l'affectivité selon des approches radicalement différentes. Émotion[modifier | modifier le code] Affect[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Pensée « Qu'est-ce que la pensée ? Platon l'a très bien défini: "un dialogue invisible et silencieux de l'âme avec elle-même"Invisible et silencieux. Secret. Source: De l'ambiguïté ontologique du secret à son ambivalence éthique, communication de Lucien Guirlinguer, Président de la société angevine de philosophie, chargé de conférence à la faculté de médecine d'Angers. « Pour Heidegger (Essais et conférences), penser c'est rester dans le sillage du questionnement et de la contemplation de l'être. Ibn Khaldun: «En réalité, dit-il, le seul moyen naturel d'atteindre la vérité est la disposition naturelle de penser, lorsqu'elle est débarrassée de toutes les fausses idées et quand celui qui pense place toute sa confiance dans la miséricorde divine. La pensée ne consiste pas dans les conquêtes de l'esprit, dans les connaissances accumulées, mais dans le processus même de la vie s'explorant elle-même. Alain: « Il faut que la pensée délivre le corps et le rende à l'Univers »

Les pensées sont-elles comestibles ? Alors que je suis confortablement installé à la terrasse d’un délicieux restaurant vegan du boulevard de la Bastille, la serveuse m’apporte mon entrée Rouleaux de printemps aux carottes gingembre et paprika, graines de sésame. « Les pensées sont comestibles » me précise t’elle pour justifier la présence d’une délicate fleur jaune et bleue posée sur une assiette finement décorée. Je la regarde et lui demande : « Toutes les pensées ? » Elle s’en va d’un air amusé. Il en est ainsi. Bien sûr, il faut les reconnaître, certaines sont très amères, d’autres sucrées. Il en est de même de ces fleurs que de nos pensées. Les pensées machinales, qui ne font que nous distraire et meublent l’activité naturelle du cerveau, « Tiens, elle porte un chapeau » « oh un nuage » Ces pensées ne sont associées à aucune émotion particulière Les pensées d’organisation « demain, je vais au restaurant, je dois réserver une table ». Les troisièmes, sont celles qu’on appelle les pensées discursives. Juillet 2016

Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Spir ; trad. de l'allemand sur la 3e édition par A. Penjon... Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / ... Informations détaillées Notice complète Titre : Pensée et réalité : essai d'une réforme de la philosophie critique / par A. Auteur : Špir, Afrikan Aleksandrovič (1837-1890) Éditeur : au siège des facultés (Lille) Date d'édition : 1896 Contributeur : Penjon, Auguste (1843-1919). Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 1 vol. Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k69545q Source : Bibliothèque nationale de France, 8-Z-12168 (5) Relation : Description : Collection : Travaux et mémoires des facultés de Lille ; 5, 18 Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 15/10/2007 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières XI Page (Vue 17 / 590) Téléchargement

Stéréotypes antipathiques De temps en temps, je surprends ma cervelle en train de produire des pensées que je n’aime pas du tout. Pas seulement des inquiétudes, tristesses ou colères exagérées, mais des clichés, des stéréotypes. Par exemple, j’ai croisé l’autre jour un homme d’environ cinquante ans, cheveux grisonnants, habillé comme un ado en train de faire du long-board (une grande planche à roulette) sur le trottoir, casque audio sur les oreilles, et casquette à l’envers. J’ai pris mon cerveau la main dans le sac, en train de le juger : « à son âge, c’est quand même un peu pathétique ». Avant de me dire : « ben quoi ? Un autre jour, encore pire : à un feu rouge, deux jeunes gens au look de cadors de banlieue étaient au volant d’une grosse Mercédès décapotable noire, lunettes noires et sono à fond. Mais pourquoi ai-je donc de temps en temps des trucs pareils qui surgissent dans ma tête, moi qui pense être plutôt tolérant et bienveillant ? Je n’en sais trop rien.

philosophie Les mots du sujet Raison scientifique : pensée scientifique. Il est spécifié dans l'intitulé du sujet qu'il s'agit d'une raison c'est à dire d'une pensée rationnelle. La science n'est, en effet, pas l'opinion. Le sens du problème Le problème est de savoir s'il y a une place pour la philosophie dans une société qui pense que la science et la technique peuvent tout nous apporter. Présupposé de la question On présuppose l'existence d'une société qui accorde toute sa confiance à la science et la technique. Réponse spontanée Elle est négative. Introduction Autrefois la philosophie avait pour ambition de tout connaître et de nous apporter le bonheur comme en témoigne le projet des philosophes antiques. I La perspective positiviste. Avoir confiance en la raison scientifique et en la réussite technique, c'est considérer que la science peut tout connaître et que la science peut tout nous apporter, en particulier le bonheur. 1) L'idéal positiviste. Elle a l'avantage de sa méthode. Conclusion

Les arrières-pensées Nous les connaissons très bien car elles sont présentes en chacun de nous et s’expriment clairement dans notre cerveau au quotidien. Elles sont le résultat de notre culture, de notre expérience et de notre histoire. Elles s’articulent automatiquement au fil du temps pour nous permettent de nous protéger ou d’obtenir quelque chose. Les arrières-pensées, ce sont ces petites idées que l’on ne dit pas, ces phrases cachées qui sous-entendent que nous avons une stratégie sous-jacente lorsque nous nous exprimons. Elles sont parfois positives, notamment lorsque nous avons une intention bénéfique à l’égard de notre interlocuteur. Elles peuvent, toute fois, s’avérer destructrice lorsqu’il existe une stratégie calculée avec l’intention d’obtenir quelque chose de son interlocuteur. Nous avons tous subi ces expériences. Pourtant, même si ces arrières-pensées nous obligent à être dans la méfiance, nous pourrions faire l’expérience de les museler.

La pensée en philosophie Penser, est-ce s’inquiéter ? Oui 1 - Oui pour nombre d'entre nous, penser c'est anticiper des choses négatives qui pourraient survenir dans le futur : s'inquiéter pour la pérennité de son emploi, pour la réussite à ses examens une fois qu'on les a déjà passés, pour l'image que nous donnerons à nos collègues lors de cette présentation importante etc. Dans cette manière de penser, on imagine en fait ce que pourrait être un futur dont nous ne maitrisons pas le cours et qui dépend de facteurs indépendants de notre volonté. C'est une forme de pensée imaginative, par associations d'idées et analogies et qui est principalement mue par la crainte en-deçà. Dans ce cas Pascal a parlé des "puissances trompeuses de l'imagination. Concept : crainte. 2 - Penser c'est aussi "se poser beaucoup de questions" ce qui est très proche de l'inquiétude. Concept : confusion, ressassement. 3 - Penser c'est se confronter à des problèmes et potentiellement à des conflits. Concept : refoulement, évitement. Non Concept : déconstruction.

Philosophie Qu'est-ce que la philosophie? Il est assez facile d'en donner une définition générale, de dire qu'elle est la science des principes, la science des premières causes. Le malheur est que ces formules prêtent à des interprétations diverses et qu'elles n'apprennent rien à celui qui ne connaît pas par avance le sens dont il est possible de les remplir. En fait, la philosophie pendant des siècles s'est confondue avec la science elle-même. Son objet n'était autre que l'objet même du savoir humain, le monde et l'esprit. Les mots philosophe, philosophie (φιλόσοφος, φιλοσοφία) ne se trouvent ni dans Homère, ni dans Hésiode. Les premiers penseurs continuent l'oeuvre des vieux poètes qui expliquent le monde et son évolution par l'histoire des dieux. La philosophie, suivant Platon, est « l'acquisition de la science ». Ainsi, pour les Grecs, la philosophie n'est ni une science particulière, ni la somme, le total des connaissances acquises, elle est une synthèse. Qu'est-ce donc que la philosophie?

La pensée en philosophie Histoire du mind-body problem Recensé : Pascale Gillot, L’esprit, figures classiques et contemporaines, Paris, CNRS Editions, 2007, 315 p., 30 euros. L’ouvrage de Pascale Gillot peut se lire de deux manières, qui ne sont pas exclusives l’une de l’autre : il constitue à la fois une introduction à la philosophie de l’esprit et une mise en perspective de la philosophie de l’esprit contemporaine, telle qu’elle s’est développée aux Etats-Unis depuis le tournant cognitiviste. Pascale Gillot expose la construction du problème du corps et de l’esprit, puis elle met en évidence les rémanences de cette problématique de William James à Jaegwon Kim. L’impensable interaction psychophysique et son logique abandon L’ouvrage propose un panorama historique de différentes philosophies de l’esprit. Si la philosophie cartésienne s’impose comme point de départ, c’est, bien évidemment, parce que c’est elle qui institue le problème du rapport entre le corps et l’esprit. Eliminer le problème ou éliminer l’esprit ? Le mentalisme et son refus

Qu'est-ce qu'une idée ? Retour à l'index La philosophie est la discipline des idées, et c’est la même chose de connaître un philosophe et de comprendre ses idées. Mais tout le monde a des idées, à un niveau ou à un autre : on peut avoir une idée pour le repas de soir ou pour les vacances de l’année prochaine. D’abord, une idée, ce n’est ni une notion, ni un concept : la notion de travail qu’un professeur de philosophie examine en classe, par exemple, ne peut pas être confondue avec l’idée de travail qui lui est venue quand il s’est rendu compte qu’il ne devait pas gaspiller le temps des vacances universitaires. Tout le monde n’a pas d’idées, mais tout le monde a des notions parce que tout le monde participe au savoir qui institue le sujet réflexif. Un commencement C’est que toute idée est un commencement. Parce qu’il n’y a d’idée que nouvelle, on est toujours étonné d’avoir penser ce qu’elle marque qu’on a pensé : avoir une idée, c’est penser ce qu’on n’aurait jamais pensé. Il n’y a d’idée qu’étonnante

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