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Art brut

Art brut
« Art brut » est le terme par lequel le peintre Jean Dubuffet désigne les productions de personnes exemptes de culture artistique. Il a regroupé certaines de ces productions au sein de la Collection de l'art brut à Lausanne. S'il est certain que le terme « art brut » vient de Jean Dubuffet : « le 28 août 1945, Dubuffet baptise “art brut” un art qu'il collectionne depuis plusieurs années, art qui comprend à la fois l'art des fous et celui de marginaux de toutes sortes : prisonniers, reclus, mystiques, anarchistes ou révoltés[1], » on ne peut pas réduire son intérêt pour l'art des fous à cette seule date. Bien avant, dès 1922, Dubuffet s'intéresse déjà aux travaux du docteur Hans Prinzhorn, qui a rassemblé les œuvres de malades mentaux, constituant un Musée d'art pathologique à Heidelberg. La collection Morgenthaler que Dubuffet a vue est exposée au musée Psychiatrie-Musée Berne[3]. Création de l'art brut[modifier | modifier le code] Définitions de l'art brut[modifier | modifier le code] Related:  Culture / Art

Paul Déroulède Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2013). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Guerre de 1870[modifier | modifier le code] Carrière littéraire et politique[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Anticolonialiste au nom de la revanche (cela « disperse les énergies françaises »), défendant le catholicisme avec parfois des accents antisémites (repos dominical, refus de la séparation[4]), il attaque vivement Clemenceau lors du scandale de Panama. Fin de vie[modifier | modifier le code] Duels[modifier | modifier le code] Théâtre

Ivan Aïvazovski Ivan Konstantinovitch Aïvazovski Depuis 2018, l’aéroport international de Simferopol porte son nom. Biographie[modifier | modifier le code] Ses origines[modifier | modifier le code] Originaire d'une famille pauvre de marchands arméniens émigrée de Pologne au début du XIXe siècle, Ivan Aïvazovski est né à Théodosie, en Crimée, le 29 juillet 1817. Sa formation[modifier | modifier le code] En 1837, Ivan Aïvazovski est diplômé de l'Académie de Saint-Pétersbourg avec une médaille d'or et reçoit une aide de cette académie pour approfondir ses études. L'Académie l'envoie tout d'abord voyager en Crimée pendant deux ans pour y peindre des marines. Sa carrière[modifier | modifier le code] En 1844, de retour en Russie, il est nommé membre de l'Académie de Saint-Pétersbourg puis, en 1845, peintre de l'état-major de la Marine russe. Tombe d'Ivan Aïvazovski à Théodosie. Ivan Aïvazovski a eu de son vivant une renommée internationale considérable[2]. Analyse de l'œuvre[modifier | modifier le code]

Francique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sauter à la navigationSauter à la recherche Sur les autres projets Wikimedia : francique, sur le Wiktionnaire Les Trois Royaumes (roman) Les Trois Royaumes (chinois simplifié : 三国志演义 ; chinois traditionnel : 三國志演義 ; pinyin : Sānguózhì yǎnyì) est un roman historique chinois sur la fin de la dynastie Han et la période des Trois Royaumes, (169-280). Écrit par Luo Guanzhong au XIVe siècle d'après l'œuvre de Chen Shou écrite au IIIe siècle. Ce roman fait partie des quatre livres extraordinaires de la littérature chinoise, ce qui le classe parmi les romans les plus longs et les plus anciens de l'histoire chinoise avec plus de 800 000 mots en cent-vingt chapitres[1]. Son titre en chinois (Sanguo Yanyi) indique qu'il fait de la vertu son thème principal. Les trois royaumes en question sont ceux de Wei (魏), Shu (蜀) et Wu (吳). Le déclin des Han À la fin du deuxième siècle la dynastie Han, autrefois inébranlable, est en proie à des luttes internes et à la corruption. La rébellion des Turbans Jaunes Un sentiment anti-impérial se répand dans tout le pays. La contre-offensive Le serment du jardin des pêchers La défaite des Turbans Jaunes

Sérénade (musique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En général, trois catégories de sérénades sont présentes dans l'histoire de la musique : Au XVIIIe siècle on peut citer les serenate, Il giardino d'amore (vers 1700), La gloria di primavera (1716), La virtù degli amori et Erminia (1723), d'Alessandro Scarlatti, Aci, Galatea e Polifemo (1708) et Il Parnasso in festa (1734) de Haendel, La Sena festeggiante de Vivaldi (1726). Il y a encore quelques sérénades composées au XXe siècle, par Benjamin Britten, Arnold Schönberg, Igor Stravinsky (Sérénade en la), Dmitri Chostakovitch ou Bruno Maderna et ses huit sérénades[2]. Enfin, parmi les compositions du XXIe siècle, on retrouve la Sérénade pour cordes de Nigel Keay, qui date de 2002. André Hodeir, Les formes de la musique (Que sais-je? Catégorie « Sérénades », partitions libres sur l’International Music Score Library Project.

Les Deux Plateaux Le palais Royal et les « Colonnes de Buren ». L’œuvre[modifier | modifier le code] L'œuvre, qui occupe 3 000 m2 de la cour, est constituée d'un maillage de 13 x 20 = 260 colonnes tronquées (que Buren appelle cylindres et qui sont en fait de section octogonale) de marbre blanc aux rayures blanches et noires d'une largeur unique de 8,7 cm. Les cylindres sont introduits dans cet espace, de façon dynamique, avec trois hauteurs variant de 8,7 à 62 cm[2]. L'installation est faite en marbre de Carrare et en marbre blanc et noir des Pyrénées, qui sont considérés comme les matériaux les plus nobles de la sculpture (utilisés par exemple par Michel-Ange dans la chapelle Sixtine, ou par Rodin) et sont une référence à la statuaire antique. Histoire[modifier | modifier le code] Le projet[modifier | modifier le code] L'affaire des colonnes de Buren[modifier | modifier le code] En juillet 1985, l'annonce a peu d'impact médiatique. Rénovation et polémique[modifier | modifier le code]

Anaphore (rhétorique) L'anaphore (du grec ancien ἀναφορά / anaphorá, « reprise, rapport ») est une figure de style qui consiste à commencer des vers, des phrases ou des ensembles de phrases ou de vers par le même mot ou le même syntagme. L'anaphore rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de symétrie. Une anaphore consiste à répéter un ou des mot(s) identique(s) au début ou à la fin de vers ou de phrase. « J'ai vu mon professeur, il avait l'air distrait. » « Il » se rapporte à « professeur » et ne peut s'interpréter qu'en rapport à ce dernier. On parle plutôt, afin d'éviter la confusion, de « relation anaphorique », d’« aes » ou de « déictiques anaphoriques ». Parce que l'homme devient sa pensée, la répétition d'une idée influe sur l'être. L'anaphore est une figure traduisible dans les arts : — Discours de M.

Belvédère (architecture) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un belvédère (de l'italien bello vedere, signifiant « belle vue », littéralement « beau voir ») est une construction pavillonnaire de type terrasse ou plateforme établie en un lieu surélevé, comportant une table d'orientation afin d’admirer le champ de la vue qui s'étend au loin. Par extension, il s'agit aussi d'un élément architectural qui peut être ou non en forme de rotonde, au-dessus du toit d'une demeure, pour admirer la vue. Ce type de belvédère était fort en vogue à l'époque néoclassique. Sur les autres projets Wikimedia : belvédère, sur le Wiktionnaire Portail de l’architecture et de l’urbanisme

Joseph Bologne de Saint-George Joseph Bologne de Saint-George Joseph Bologne de Saint-George, plus connu sous les noms de « chevalier de Saint-George » et « Saint-George », né le 25 décembre 1745 sur l'Habitation-Sucrerie Clairefontaine à Baillif, près de Basse-Terre (Guadeloupe) et mort le 10 juin 1799 à Paris, est un compositeur, escrimeur et musicien français, et l'un des plus célèbres personnages sous les règnes de Louis XV et Louis XVI[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Permission de l'Amirauté de Guadeloupe donnée à Madame Saint-George Bologne d'amener Joseph et Nanon en France, 1er septembre 1748. État nominatif des passagers débarqués des colonies, 1753. Joseph Bologne de Saint-George, Joseph Bologne, Joseph Boulogne, chevalier de Saint-George ou encore Boulogne de Saint-George[5], est plus connu sous le pseudonyme de chevalier de Saint-George ou, plus simplement Saint-George ou Saint-Georges. Géohistoire d'un monde atlantique[modifier | modifier le code] — Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue, 1843[7].

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