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Économie

Économie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : économie, sur le Wiktionnaire L'économie, du grec οἰκονομία / oikonomía, désigne étymologiquement « l'administration de la maison » (de οἰκία / oikía, « maison », et νόμος / nómos, « loi »). Discipline académique[modifier | modifier le code] Branche de l'économie comme discipline[modifier | modifier le code] Approche de l'économie comme discipline[modifier | modifier le code] Comportement de consommation[modifier | modifier le code] Le terme d'économie renvoie aussi au fait d'utiliser les ressources de manière parcimonieuse : Activité humaine[modifier | modifier le code] Systèmes économiques[modifier | modifier le code] Etat d'une économie[modifier | modifier le code] Ensemble des activités économiques dans une zone géographique[modifier | modifier le code] On parle de l'économie d'un pays, d'une ville ou d'une région pour désigner l'ensemble des activités économiques dans cette zone géographique. En Afrique En Asie Related:  Economie

Quelle est l’efficacité de la politique sociale et quel est le rôle de l’économie sociale et solidaire ? - Cours - Fiches de révision La politique sociale de l'État français possède certes des aspects positifs en venant partiellement réduire les inégalités de revenus. Mais, de nombreuses limites hélas demeurent d'où des interrogations sur son efficacité (1.). Face à ce constat, on peut noter le développement de l'économie sociale et solidaire qui tente de pallier les défaillances de l'État en matière sociale (2.). 1. L'intervention sociale de l'État (via la redistribution) permet de réduire les inégalités de revenus issues de la répartition primaire. Ainsi, le rapport le 1er décile (les 10 % les moins bien rémunérés) et le 10e décile (les 10 % les mieux rémunérés) est : - de 16 avant redistribution des revenus ;- s'établit à 5,5 après redistribution. Elle peut être : - verticale= quand elle cherche à réduire les inégalités en imposant généralement les plus aisés. - horizontale= quand elle cherche à maintenir les ressources des individus atteints par des risques sociaux en faisant participer l'ensemble de la population. 2.

Economie : “l’Allemagne risque de reléguer la France en deuxième division” C’est une procrastination intellectuelle bien caractéristique des élites françaises, que de se désoler sur les retards français face au modèle ordo-libéral allemand : une fascination naïve, que nous avons maintes fois dénoncée, car l’économie ne fait pas la totalité du modèle économique d’un pays et car chaque pays a ses spécificités… Mais tout de même, en pleine crise économique, le déni français de la sombre réalité est manifeste quand on compare les premiers plans de relance annoncés… ”Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà”, ou plutôt en deçà du Rhin, pourrions-nous dire avec Montaigne ! Or, la réaction énergique de l’Allemagne à la crise risque de nous placer loin derrière d’elle pour plusieurs années : déjà plus vertueuse en matière de finances publiques, l’Allemagne a abordé cette crise avec de nombreuses réserves et marges de manœuvre pour y faire face. >> A lire aussi - L’Allemagne devrait connaître la pire récession de l’histoire de la république

La production modulaire Chez Audi, l’avenir devient réalité : l’entreprise est le premier constructeur automobile allemand à miser entièrement sur une smart factory et veut remplacer les chaînes par une production modulaire ultramoderne. « La fabrication à la chaîne n’avait de sens qu’avec un seul et même produit il y a cent ans », dit le responsable de la production Hubert Waltl. « Aujourd’hui, nos clients veulent tout le contraire : chaque Audi doit être aussi unique qu’un costume fait sur mesure. » Et ce grâce à la production modulaire. 20 % de productivité en plus Dans le montage modulaire, de petites stations de travail séparées permettent d’avoir des processus extrêmement souples dans l’espace et dans le temps. Entre ces stations, des systèmes de transport automatiques (FTS) se chargent d’amener les carrosseries et les pièces nécessaires à la production. Un ordinateur central commande les FTS avec une grande précision. www.audi.com © www.deutschland.de

Taxe « Jean Valjean » : l’économie et Victor Hugo expliqués à Vincent Lindon Par Francis Richard. Tout commence par une tribune de Vincent Lindon publiée sur Mediapart le 6 mai 2020. L’acteur précise d’emblée : Spécialiste en rien, intéressé par tout, il m’a paru pourtant utile de contribuer en faisant entendre une voix simplement citoyenne. Cet aveu d’incompétence ne peut qu’inciter à l’indulgence pour les propos liberticides qu’il tient par la suite. Pourquoi la seule solution du confinement ? Il se pose la question suivante dans cette tribune : Comment ce pays si riche, la France, sixième économie du monde, a-t-il pu désosser ses hôpitaux jusqu’à devoir, pour éviter l’engorgement des services de réanimation, se résigner à se voir acculer à cette seule solution, utile certes, mais moyenâgeuse, le confinement ? C’est une bonne question, encore qu’il faille nuancer pour ce qui concerne l’expression sixième économie du monde. Avant de donner la réponse à sa question, Vincent Lindon la commente en ces termes : Une réponse catéchétique C’est une réponse catéchétique.

Charge et gestion de la dette, Agence France Trésor| Vie publique La charge de la dette est l’ensemble des dépenses de l’État consacrées au paiement des intérêts de sa dette. Dans le projet de loi de finances pour 2019, elle s’élève à 42,1 milliards d’euros (Md€) (elle représente la quasi-totalité de l’enveloppe de la mission "engagements financiers de l’État" ), soit 9,3% des crédits de paiement du budget général de l’État. Le paiement des intérêts de la dette représente ainsi aujourd'hui le quatrième poste de dépenses de l’État. À noter que le principal des emprunts de l’État n’apparaît pas en recettes dans le budget – contrairement à ce qui se passe dans le secteur local. Ce poste a connu une très forte augmentation du fait de la croissance de la dette de l’État. La gestion de la dette est confiée depuis 2001 à l’Agence France Trésor qui dépend du ministère des Finances.

Economie : actualité économique en continu - 20 Minutes Présentation de l'Economie Sociale et Solidaire (ESS) L’économie sociale et solidaire (ESS) désigne un ensemble d’entreprises organisées sous différentes formes statutaires : les coopératives, les mutuelles, les associations, les fondations et les sociétés commerciales de l'ESS. Ces entreprises cherchent à concilier activité économique et utilité sociale, avec pour ambition de créer des emplois et de développer une plus grande cohésion sociale. Engagées dans leur manière de produire et de consommer, elles offrent de nouvelles possibilités d'entreprendre. Ces entreprises adoptent des modes de gestion démocratiques et participatifs. Leur économique est d’abord consacré à l’humain, il poursuit des objectifs sociétaux, tout en favorisant le développement local à travers la création de richesse (activité, emploi, lien social). Ces entreprises allient performance économique durable, impact environnemental, développement de l’emploi, lien social et rayonnement territorial. Source : Panorama de l’économie sociale et solidaire en France – édition 2015

Le Point – Actualité Politique, Monde, France, Économie, High-Tech, Culture Que sont les "prélèvements obligatoires" ?  - Les ressources de l'Etat Découverte des institutions - Repères <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Les prélèvements obligatoiresPrélèvements obligatoiresEnsemble des impôts et des cotisations sociales perçus par les administrations publiques. (PO) sont l’ensemble des impôts et cotisations sociales prélevés par les administrations publiques et les institutions européennes. Quatre catégories d’administrations publiques bénéficient des prélèvements obligatoires : l’État et les organismes divers d’administration centraleAdministration centraleEnsemble des services d’un ministère disposant de compétences nationales (ODAC), bénéficiaires de près de 32 % des PO en 2015 (ce qui représente 1/7e du PIB) ; les administrations publiques locales (APUL) (environ 13,5 % des PO en 2015) ; les administrations de Sécurité sociale (ASSO) (plus de 54% des PO en 2015) ; l’Union européenne (environ 0,22 % des PO en 2015). Cette classification est indépendante de la dénomination retenue.

Economie et filière éthique: cette semaine, le nickel [calédonien] a bonne Les Etats-Unis ont créé 2,5 millions d’emplois en mai, la thèse d’un rebond rapide de l’économie est confortée. La demande de métaux industriels repart en hausse. Cette semaine, le nickel se nourrit de cet optimisme et d'un regain d'intérêt pour la création d'une filière éthique. Les économistes se sont trompés. Semaine de hausse Dans ce contexte, et en dépit des tensions politiques et commerciales entre les deux premières puissances économiques de la planète, le nickel a trouvé du soutien. Pour une filière éthique et responsable Un sentiment partagé, indirectement, par le PDG du groupe minier nord-américain First Cobalt.

Qu'est ce que la protection sociale ?  - L'Etat providence Découverte des institutions - Repères <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières des "risques sociaux". La protection sociale repose sur plusieurs types de mécanismes : des prestations sociales, versées directement aux ménages, qui peuvent être en espèces (pensions de retraite) ou en nature (remboursements de soins de santé) ; des prestations de services sociaux, qui désignent l’accès à des services, fournis à prix réduit ou gratuitement (crèches, hôpitaux). Les prestations sociales peuvent répondre à trois logiques : une logique d’assurance sociale, dont l’objectif est de prémunir contre un risque de perte de revenus (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail).

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