Lumière sur les biens mal acquis
Mercredi soir, un groupe d'activistes a mis en lumière un bien mal acquis du clan Bongo. Projecteur à la main, ils ont affiché une image du chef d'État gabonais sur la façade d'un hôtel particulier du VIIe arrondissement. Il est un peu plus de minuit, mercredi soir, quand s’illumine la façade du 51 de la rue de l’Université dans le très huppé VIIe arrondissement. Matjules, instigateur de l’événement, voulait faire une action coup de poing tout en restant furtif. “Nous avons une seule contrainte : que la façade ne soit pas éclairée par les lampadaires, sinon on ne voit pas bien l’image projetée. Pendant la durée de la projection, les lumières éteintes ont permis à chacun de découvrir le large sourire du président Gabonais. Les organisateurs n’étaient pas surpris par ces réactions, ils voulaient justement attirer l’attention sur les biens mal acquis comme l’explique Matjules : La projection est un moyen de démocratiser les instruments de protestation. Matjules lui embraye le pas :
NosDéputés.fr : Observatoire citoyen de l'activité parlementaire
STATEWATCH
OpenNet Initiative
The OpenNet Initiative is a collaborative partnership of three institutions: the Citizen Lab at the Munk School of Global Affairs, University of Toronto; the Berkman Center for Internet & Society at Harvard University; and the SecDev Group (Ottawa). Our aim is to investigate, expose and analyze Internet filtering and surveillance practices in a credible and non-partisan fashion. We intend to uncover the potential pitfalls and unintended consequences of these practices, and thus help to inform better public policy and advocacy work in this area. To achieve these aims, the ONI employs a unique multi-disciplinary approach that includes: ONI Principal Investigators Ronald J. John Palfrey Faculty Co-Director, Berkman Center for Internet & Society, Harvard University Rafal Rohozinski CEO and Principal of the SecDev Group and Psiphon, Inc. Jonathan Zittrain Professor, Harvard Law School Co-Founder, Berkman Center for Internet & Society
Digital Civil Rights in Europe
Où va l’argent de mes impôts ?
Ce qui est bien avec les impôts directs et indirects que je paie, c’est que c’est moi qui choisis à quel poste du budget de la France je les alloue. Je finance par exemple la Fédération Française des Sports de Glace. Je paie aussi le salaire de ma mère, professeur des écoles ainsi que celui des infirmières de l’Hôpital Saint-Antoine. Et le trottoir de Saint-Nom la Bretèche. De la même manière, je sais que je ne paie pas les traites des militaires. Ni les frais de fonctionnement de Claude Guéant. Certains autres en revanche, sûrement les plus égalitaires, imaginent que leur impôt est réparti proportionnellement sur chaque poste. Le gagnant a été connu aujourd’hui. La première est sûrement hors concours, mais elle a été développée par la Maison-Blanche. Pour faire plaisir à Nicolas Miguet, qu’il puissent savoir à chaque seconde pour qui il travaille, il existe l’Horloge. On peut donc savoir à quel moment on travaille VRAIMENT pour nous-même.
LittleSis - Profiling the powers that be
RadarVirtuel.com
Ca marche au Texas
Par Susan Combs, Contrôleur général de l’État du Texas. Les dépenses publiques sont souvent perçues comme impénétrables, opaques au possible. Mais les contribuables ont le droit de savoir quel usage est fait de leur argent, les autorités publiques doivent donc leur rendre des comptes. L’État du Texas a mis en place sur Internet une base de données des dépenses publiques et a poursuivi son effort de transparence des comptes par d’autres initiatives novatrices. En cela, il donne aux citoyens accès à une information qui leur permet d’analyser les dépenses et d’entrer dans le débat sur le futur de l’État. (Illustration René Le Honzec) Le site Internet « Où va l’argent » lancé par l’État donne accès aux détails des transactions de toutes les agences publiques et des établissements d’enseignement supérieur. Voir où va l’argent Grâce à ce libre flux d’information, le contrôleur a pu identifier $8,7 millions d’économies, et ce chiffre continue à croître. Première initiative : Des comptes unifiés
HÅLLBART KAPITAL » Parul Sharma: Svenska företag blundar för korruption
Svenska företag är berörda, involverade och påverkas enormt av korruptionens klor. Det här är en desperat vädjan till alla CSR-experter att väcka korruptionsfrågan i det dagliga arbetet. Det skriver människorättsjuristen Parul Sharma i en gästkrönika för Hållbart Kapital. Foto: HRLN India Som Mahatma Gandhi rätteligen uttryckte det: ”Här finns nog för allas behov, men inte för allas girighet”. Så länge fabriksinspektörer mot en summa pengar blundar för barnarbetare i fabriken, kan vi glömma ett seriöst CSR arbete. Jag anser att både de etiska och moraliska aspekterna är tydliga i förhållande till korruptionsfrågan: det är oetiskt och omoralisk med korruption, punkt. Det är sällan man ser ett tydligt ställningstagande i exempelvis affärsvärlden, ja säg svenska företag. “We would rather go slow with expansion plans than pay a facilitation fee to get a large project. Hur ofta ser vi sådana uttalanden i Sverige? I teorin har varje rysk medborgare rätt till fri sjukvård.
Offshore Leaks «Une masse aussi importante de documents, c’est une extraordinaire opportunité» - PARADIS FISCAUX / ENTRETIEN
Il y avait eu WikiLeaks, les révélations sur les télégrammes diplomatiques américains ; VatiLeaks, ces fuites sur les secrets ponticaux du Vatican, et bien voici maintenant, Offshore Leaks ! Offshore Leaks c'est une somme incroyable de listes, de documents, de fichiers qui attestent d'un système mondial au service de la fraude fiscale. Offshore Leaks, c'est une sorte de bottin international du paradis fiscal, des fraudeurs dont les noms sont rendus publics grâce aux recherches d'un groupe indépendant de journalistes d'investigation. RFI : Est-ce que vous aviez connaissance de ces documents ? Mathilde Dupré : Nous savions qu’une grande enquête était en cours et qu’il y aurait des révélations, et pour nous, elles n’ont rien de surprenantes. Nous avons donc maintenant une vision globale du phénomène même si la divulgation de ces informations va se faire au fil des jours, peut-être même des semaines. Pourtant, il y en a eu des promesses !