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Réalité virtuelle et BYOD en 3e Euro : un projet qui mêle TICE et imagination

Réalité virtuelle et BYOD en 3e Euro : un projet qui mêle TICE et imagination
Laurence Gilmant, prof d’anglais au collège d’Evian, utilise la réalité augmentée et la réalité virtuelle pour rendre les travaux de ses élèves plus vivants. Elle a aussi recours au BYOD, qui “décloisonne” le cours. Laurence Gilmant, professeur au collège Les Rives du Léman, à Evian-Les-Bains, a mis en place dans sa classe de 3e européenne, un projet pédagogique original : l’utilisation de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle pour apprendre l’anglais. Les « 3e Euro » ont créé une carte de Londres “augmentée” – ils ont inséré des QR codes un peu partout, qui permettent d’accéder, en pointant son téléphone mobile sur ces codes-barres, à des vidéos, à des vues de Google Street View, à des articles ou à des photos. Thème du projet : les Beatles. Le BYOD “décloisonne l’espace de la classe” Les élèves utilisent leurs propres smartphones, selon le principe du BYOD (bring your own device). Une “totale immersion” grâce à la réalité virtuelle Fabien Soyez Related:  BYOD et BYOA...

BYOD : une initiative pédagogique innovante en 5e bilangue (reportage vidéo) Le BYOD abolit les murs de la salle de classe. A Evian, Rafika Selmi, prof d’anglais en collège, y a recours avec ses 5e dans le cadre d'un travail collaboratif et interactif. Au collège Les Rives du Léman, à Evian-Les-Bains, Rafika Selmi, professeure d’anglais, a systématisé l’usage du smartphone en classe pour de nombreuses activités : recherche de mot de vocabulaire, vérification de la prononciation d’un mot, ou encore travail collaboratif. Avec une classe de 3e, elle a organisé la création d’une exposition, dans la bibliothèque du collège, sur le monde du gothique. Ensuite, avec une classe bilangue de 5e, elle a mis en place une “activité BYOD” (Bring your own device – pratique où les élèves apportent et utilisent leur propre matériel), autour de cette exposition. Les élèves de 5e, divisés en 6 groupes (îlots), utilisent leurs smartphones personnels (ou les iPad de l’école, s’ils n’en ont pas). Fabien Soyez

Les différents modèles d’intégration du BYOD (suite du dossier, par Aurélien Fiévez, en collaboration avec Gabriel Dumouchel) L’enseignant a le choix des outils et des plateformes qu’il veut (et peut) utiliser dans sa salle de classe. En fonction de la liberté qu’il donne aux élèves, différents modèles d’intégration du BYOD se dessinent. Un guide du ministère de l’Éducation de l’Alberta initie cette réflexion en mettant en évidence les différentes configurations possibles d’une infrastructure BYOD. Ainsi, l’approche de l’utilisation restreinte demande à l’enseignant de choisir un outil en particulier (par exemple un iPad Air 2 de 64 Go), unique pour tous. L’approche de l’utilisation ciblée laisse le choix de l’appareil à l’élève (par exemple une tablette ou un ordinateur). L’approche de l’utilisation ouverte unique permet à l’élève de choisir son outil et ses logiciels/applications. Enfin, l’approche de l’utilisation ouverte multiple recouvre toutes les perspectives du BYOD. Le BYOD propose une alternative intéressante. 1.

Le BYOD, un bon argument… écologique ? Une économie d'énerge et de ressources non négligeable Apporter son propre smartphone, ordinateur portable ou tablette tactile au travail soulève bien des questions et intéresse de près de nombreuses entreprises. Mais le BYOD a aussi attiré l’œil de sites et associations intéressés par l’écologie. En 2011, GreenBiz abordait déjà ce sujet en indiquant que de plus de plus d’employés souhaitaient utiliser leur iPhone et leur iPad au travail. Carol Baroudi écrivait notamment il y a de cela quatre ans : « Point positif, le BYOD peut aider à réduire la duplication des appareils : pas besoin d’apporter un téléphone pour le travail et un autre pour un usage personnel. Réduire, Réutiliser, Recycler (NDR : les majuscules sont d’origine) est fondamental pour toute stratégie de développement durable. » Un vaut mieux que deux (écologiquement) La même année, GreenIT.fr s’intéressait pour sa part à un modèle de Citrix basé sur la virtualisation et nommé tout bêtement Bring Your Own (BYO).

BYOD : les conseils de la CNIL Le BYOD doit rester « subsidiaire » Depuis des années, la tendance est lourde : le BYOD se développe bien plus rapidement en Asie et sur le continent américain qu’en Europe. Une situation qui s’explique par différents facteurs : habitude de fournir un appareil à l’employé, problème juridique, séparation des données privées et professionnelles, travail en-dehors des heures de travail, etc. Et au regard de la fiche pratique de la CNIL, on comprend mieux les raisons de ces difficultés. L’autorité administrative indépendante française divise sa fiche en sept points. Sans même lire le développement, le titre nous indique d’emblée le caractère limité du BYOD. Des conseils de base toujours judicieux La CNIL n’est pas anti-BYOD pour autant, sinon elle n’aborderait pas le sujet de cette façon. La commission rajoute qu’il est important : Bref, le b.a. La question majeure du respect de la vie privée Le cinquième point abordé par la CNIL est par contre plus complexe, mais tout aussi important.

BYOD : Une école intègre les objets connectés dans sa charte d’utilisation des appareils mobiles Une innovation qui pourrait faire des émules dans des établissements scolaires francophones : l’école Alex Manoogian, école arménienne de langue française à Montréal (Canada) vient d’intégrer à sa charte d’utilisation du réseau sans-fil et de l’utilisation d’appareils mobiles – en pdf (à destination des élèves et du personnel éducatif) la thématique des objets connectés : à savoir les montres intelligentes et lunettes connectées. Extrait : « L’École souhaite favoriser l’utilisation des ordinateurs, des tablettes, des baladeurs numériques, des lunettes et des montres intelligentes (ci-après appelés appareils mobiles) appartenant aux élèves et enseignants tout en encadrant cette utilisation par une Charte visant à sensibiliser et à responsabiliser l’utilisateur. » Pratiques BYOD pour les élèves et les enseignants Certes, on connaissait jusqu’alors la tendance BYOD au sein de lieux partagés de type coworking ou centre de télétravail. BYOD et EPN Licence :

Apprendre en mode BYOD (Bring Your Own Device) : Dossier complet Infobourg, portail réputé sur l’éducatif et le numérique au Canada a mis en ligne fin février 2015 un dossier sur la thématique du BYOD autrement dit le Bring Your Own Device ou en français l’AVAN (« Apportez Votre Appareil Numérique ») : Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques. Le BYOD : Qu’est-ce que c’est et qu’est-ce que ça change ? Ce type de configuration est de plus en plus prisé dans des contextes d’apprentissage, de formation et bien évidemment dans le monde scolaire et éducatif. Si le fait de travailler avec ses outils personnels confère certains avantages, il reconfigure grandement l’environnement d’apprentissage et la relation apprenant – enseignant/formateur/animateur. Ce dossier vise à toute à la fois à marquer des repères sur l’utilisation du BYOD mais également à apporter un éclairage scientifique sur ce nouveau contexte pour comprendre et apprendre avec le numérique. 8 articles pour apprendre avec le numérique en mode BYOD 1.

Réussir la mise en place d’une politique de « BYOD » dans son établissement Le « BYOD », phénomène encore peu répandu, occupe de plus en plus les conversations, notamment du fait du manque de moyens des écoles pour investir dans le numérique éducatif. Il poursuit activement son chemin dans certains milieux. (Édition Québec) Michael G. Shoaf et Dianna R. Foley, d’un établissement dans l’Ohio témoignent sur le sujet dans un article d’eSchoolnews, Crafting a Successful BYOD Policy. Aux Etats-Unis, plusieurs écoles font le même constat : le manque de moyens évident qui ne permet plus d’équiper tous les élèves et d’envisager une politique efficiente de développement du numérique en classe. The Rocky River Schools a déjà investi dans de l’équipement informatique pour les élèves, mais dresse aussi le constat que souvent, ces élèves préfèrent travailler sur leur propre matériel. Cela doit se faire en plusieurs étapes, comme l’expliquent le Dr. Ensuite, il faut s’assurer de l’état du réseau des établissements : bande passante, WI-FI et sécurité Internet.

BYOD-AVAN : libérer les projets ... un peu Le BYOD signifie "Bring your own device". En français, cela donne le AVAN "Apportez votre appareil numérique". Il consiste à demander aux élèves d'utiliser leur propre appareil numérique en milieu scolaire dans le but d’effectuer des économies et de palier également à certains problèmes techniques dus au passage maison-école (logiciels différents, formats de fichiers non compatibles avec les logiciels utilisés en milieu scolaire ...). Je l'ai testé avec des 3°DP3h sur un projet de découverte des métiers du centre-ville de Toulouse. Contexte : une sortie scolaire à Toulouse durant une journée entière ; le matin découverte d'Airbus et l'après-midi, le centre-ville de Toulouse. L'après-midi dans un centre-ville était l'occasion de confronter les élèves de DP3h aux professionnels qu'ils côtoient sans jamais se poser de questions sur leur métier, leurs conditions de travail ... Si le BYOD a permis de libérer le projet de certaines contraintes, il l'a également compliqué. Objectifs du projet :

10 raisons d’utiliser les téléphones mobiles en classe Alors que certaines écoles se félicitent de l’interdire, le téléphone cellulaire en classe fait ses preuves dans d’autres! Appuyé par une bonne stratégie d’intégration, il peut s’avérer un outil d’apprentissage et d’organisation indispensable. Autoriser ou non l’utilisation du téléphone cellulaire en classe : voilà un sujet délicat! Il y a peu de temps, à l’occasion d’une conférence, Martin Lessard, chroniqueur à l’émission La Sphère de Radio-Canada, expliquait que les cellulaires actuels sont aussi puissants que le module lunaire des missions Apollo, à la seule différence que cette puissance est maintenant dans nos poches. Le 27 janvier dernier, le site Teachthought publiait sur le sujet un article de Terry Heick intitulé 50 Reasons It’s Time For Smartphones In Every Classroom. Même son de cloche du côté de Jennie Magiera, technopédagogue de Chicago que j’ai eu le privilège de rencontrer deux fois. 2) Permettre aux élèves d’être mobiles tout en utilisant la technologie;

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