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KIC 8462852, l’étoile la plus mystérieuse de la galaxie ?

KIC 8462852, l’étoile la plus mystérieuse de la galaxie ?
Vue d'artiste du télescope spatial Kepler. © NASA/Kepler mission/Wendy Stenzel. L'œil humain, avec le cerveau qui va derrière, constitue un merveilleux outil pour détecter structures et formes dans l'informe – pensez à ce dragon que vous avez aperçu dans un nuage... C'est pour exploiter cette capacité qu'est né le projet Planet Hunters (Chasseurs de planètes en français). L'idée de cette expérience de science citoyenne consiste à présenter à tous ceux qui voudront bien mettre leurs yeux à son service les données (des nuages de points) recueillies par le télescope spatial Kepler de la NASA. Cet instrument lancé en 2009 a pour but de découvrir des planètes extrasolaires par la méthode dite du transit, dont le principe est le suivant : si Kepler a la chance d'être situé dans le plan sur lequel une exoplanète tourne autour de son soleil, celle-ci, en transitant devant son étoile, fera baisser légèrement la luminosité de celle-ci. On aurait pu en rester là.

Une exoplanète en zone habitable? | Science Impression artistique du système planétaire entourant l'étoile HD 40307. Photo : ESO Trois nouvelles planètes ont été détectées autour d'une étoile située à 42 années-lumière du Soleil. L'une d'elles se trouverait même dans la zone habitable. Le chercheur Mikko Tuomi et ses collègues de l'Université Hertfordshire les ont observées à l'aide de l'instrument HARPS installé sur le télescope de 3,6 mètres à l'Observatoire de La Silla de l'Observatoire européen austral (ESO) au Chili. Les chercheurs estiment que la planète possède environ 7 fois la masse de la Terre et pourrait abriter de l'eau à l'état liquide. En juin 2008, trois premières planètes avaient été découvertes autour de cette étoile plus petite que le Soleil. Plus de détails à venir. À la mi-octobre, des chercheurs suisses de l'Observatoire de Genève avaient annoncé qu'ils avaient détecté une exoplanète orbitant autour de l'étoile Alpha du Centaure B, située à 4 années-lumière dans le système stellaire le plus proche de la Terre.

Extraterrestres : leurs lampadaires pourraient trahir leur présence Sur cette image d'artiste, des cités E.T. sont visibles sur la face nocturne d'une exoplanète. © David A. Aguilar (CfA) Extraterrestres : leurs lampadaires pourraient trahir leur présence - 1 Photo Découvrez le programme Seti : recherche d'extraterrestres Avi Loeb et Edwin Turner viennent de publier sur arxiv un article qui aurait fait plaisir à Carl Sagan, lequel aurait eu 77 ans le 9 novembre 2011. La formule de Drake permet de faire une estimation rapide du nombre de civilisations extraterrestres avec lesquelles nous pourrions entrer en communication dans la Voie lactée. Il se trouve que dans le cas de l’humanité, l’emploi des fibres optiques et d’autres technologies est en train de faire chuter dramatiquement la puissance des ondes radio rayonnées hors du Système solaire par notre civilisation. La Terre vue de l'ISS de nuit trahit la présence d'une vie intelligente par la pollution lumineuse. © Nasa-sebastiansz Oseti ou la chasse aux E.T. dans le visible Sur le même sujet

Pour la NASA, on n’a jamais été aussi près de marcher sur Mars Sur la base de simulation martienne dans l'Utah, le 18 avril. Photo : AP/Rock Bowmer Un petit pas pour l'homme, mais un grand pas pour la NASA ? Lundi 4 mai, Charles Bolden, patron de l'Agence spatiale américaine, a fait une déclaration qui a bouleversé les passionnés de conquête spatiale. Les mots, prononcés pendant une conférence de l'annuel sommet « Les hommes sur Mars », à Washington, sont les suivants : « Nous sommes en bonne voie pour pouvoir envoyer des astronautes américains sur Mars dans les années 2030. […] Je crois très clairement que nous n'avons jamais été aussi proches du but dans l'histoire de la civilisation humaine. » De mémoire de journalistes qui suivent tous les ans le sommet, on n'avait jamais vu cela, écrivent des sites américains : « Tous les ans, M. « Cette année n'y a pas échappé, mais M. Le patron de la NASA a ainsi expliqué qu'il y avait désormais « consensus sur [le] délai [de 2030] et cet objectif. [...] La sécurité des astronautes pas encore assurée

Adaptation humaine à l'espace Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'adaptation humaine à l'espace est l'ensemble des études et des techniques qui doivent permettre à l'humain de combattre les conséquences négatives de l'absence de pesanteur sur sa physiologie durant ses séjours dans l'espace. Il s'agit d'un axe de recherche important pour les projets de conquête et de colonisation de l'espace, qui imposeront des séjours et des voyages de longue durée dans le milieu spatial. Les recherches actuelles portent sur l'analyse des effets de l'apesanteur sur les cosmonautes ayant séjourné dans l'espace. Risques liés à l'exploration spatiale[modifier | modifier le code] La NASA, dans son document intitulé « Bioastronautics Roadmap: A Risk Reduction Strategy for Human Exploration of Space »[1],[2] définit 45 risques - répartis en 16 disciplines - associés à la santé, la sécurité et les performances d'un équipage durant une mission spatiale : L'environnement spatial[modifier | modifier le code]

L’Homme dans l’espace (+ combi) Astronaute en sortie extravéhiculaire au-dessus de la Terre (© Nasa, 2002) Une sortie extravéhiculaire est une épreuve épuisante et risquée pour les hommes car les conditions de travail sont difficiles. L’astronaute flotte en réalité dans l’espace, un côté exposé à l’ombre où la température atteint – 100 °C, un côté exposé au Soleil où la température atteint + 100 °C. L’ombre et la lumière alternent toutes les quatre-vingt-dix minutes. La combinaison doit donc compenser ces différences. Sur cette photographie, prise depuis la Station spatiale internationale, on peut observer un des membres de l’équipage en sortie extravéhiculaire. Celui-ci est équipé d’une combinaison spatiale adaptée. Le spationaute est relié par un bras robotique à la station spatiale. Une sortie extravéhiculaire est une épreuve épuisante et risquée pour les spationautes. Sa combinaison spatiale doit donc simultanément refroidir un côté et réchauffer l’autre.

Astronomie en folie! - La conquête de l'espace - La vie dans l'espace, une réalité ! Il s’est passé 10 ans entre la première brève excursion d’un homme dans l’espace (Youri Gagarine en 1961) et le premier réel séjour d’un équipage dans une station spatiale (23 jours à bord de Saliout 1 en avril 1971) ; ce laps de temps est dû au fait qu’il existe une grande différence entre assurer à l’Homme une survie de quelques heures ou même de quelques jours à bord d’une capsule, et de l’y faire vivre pendant des semaines ou des mois ! A première vue, pour les longs séjours dans l’espace, les problèmes sont les mêmes que pour un sous-marin en plongé : le système est pratiquement autonome, il fonctionne avec un apport très réduit du sol, l’environnement est très hostile, les volumes sont réduits, les relations avec le monde extérieur sont limités. Mais l’analogie s’arrête là car tout est compliqué dans l’espace ; en effet c’est un monde très différent…un monde sans pesanteur ! A. Quand plus rien ne pèse Premièrement, en état de microgravité plus rien n’obéit aux lois terrestres. B.

La sonde Swift de la NASA vient de détecter son millième sursaut gamma La NASA vient d'annoncer que sa sonde Swift venait de détecter son millième sursaut gamma. Il s'agit d'un événement très puissant provoqué par la transformation d'une étoile en trou noir. À l'avenir, les astronomes espèrent même que l'engin de l'agence spatiale américaine pourra détecter les traces du Big Bang. C'est l'un des événements cosmiques les plus puissants de notre Univers : le sursaut de rayons gamma (SRG). Et la sonde de la NASA spécialisée dans la recherche de ces explosions d'énergie, appelée Swift, vient de détecter son millième SRG, le 27 octobre dernier. Baptisé GRB 151027B, il aurait été émis par une étoile en fin de vie s'écroulant sur elle-même à mesure qu'elle se change en trou noir. Une alerte mondiale Un SRG est une sorte d'explosion de lumière est d'énergie extrêmement puissante. Et les astronomes ne veulent pas en perdre une miette. Cela en fait l'un des SRG les plus distants jamais observés. Swift, un outil polyvalent Vous êtes déjà abonné ?

VIDÉO : 13,8 milliards d’années d’évolution cosmique en 2 minutes Une nouvelle simulation numérique permet de reproduire avec une précision inédite l’évolution de la matière et la formation des galaxies durant plus de 13 milliards d’années au sein d’un cube de 350 millions d’années-lumière de côté. © Illustris Collaboration/ Illustris Simulation/Le Monde Ne pouvant réaliser aucune expérience pratique avec des étoiles ou des galaxies, les astrophysiciens tentent d’expliquer leurs observations ou de conforter leurs hypothèses en créant des simulations numériques. Tributaires de leur compréhension initiale des phénomènes physiques impliqués, des moyens mathématiques à leur disposition pour les modéliser et de la puissance de calcul des ordinateurs, les chercheurs peuvent profiter de l’amélioration constante de ce dernier point pour raffiner régulièrement les paramètres de leurs simulations et pour tenter d’approcher un peu plus la réalité. © Mark Vogelsberger et al. Sources

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