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Empire ottoman

Empire ottoman
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sublime Porte ottomane دولتِ عَليه عُثمانيه Devlet-i Âliye-i Osmâniyye Devise : دولت ابد مدت Devlet-i Ebed-müddet (« L'empire éternel ») Carte de l'Empire ottoman à son apogée, aux XVIe et XVIIe siècles. Histoire[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] Fondation[modifier | modifier le code] L'Empire ottoman est fondé par une famille issue des Kayı, l'une des vingt-quatre tribus turciques oghouzes, qui avaient conquis l'Anatolie au XIe siècle, au détriment de l'Empire byzantin. Expansion vers l'Europe[modifier | modifier le code] Apogée[modifier | modifier le code] Un nouvel empire[modifier | modifier le code] L’âge d'or[modifier | modifier le code] En 1517, Sélim Ier conquiert l’Égypte et met fin au sultanat mamelouk. L'Empire trouve sa place dans le jeu diplomatique européen où il est un allié traditionnel de la France, dans une alliance de revers contre les Habsbourgs, dès le règne de François Ier. Le siège de Vienne (1529) Related:  acbrasseur

Empire byzantin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Empire byzantin Empire romain d'OrientImperium Romanum Orientale (la) Βασιλεία Ῥωμαίων / Basileía Rhōmaíōn (grc) L'Empire byzantin (en violet) et ses vassaux (en rose) à son apogée en 555, durant le règne de Justinien le Grand. Empire byzantin (en grec moderne : Βυζαντινή αυτοκρατορία / Byzantinè[N 1] autokratoría) est le nom donné depuis l'époque moderne par les historiens occidentaux[7], à l’un des deux États issus du partage au IVe siècle de l’Empire romain : l’Empire romain d'Orient (en latin Imperium Romanum Orientale, en grec médiéval Ἀνατολική Βασιλεία Ῥωμαίων / Anatolikè Basileía Rhômaíôn), avec pour capitale Constantinople, anciennement appelée Byzance, et lors de sa fondation Nova Roma (Nouvelle Rome)[réf. nécessaire]. En effet, à la fin du IIIe siècle, l’Empire romain est séparé en deux par Dioclétien et il est définitivement divisé à la mort de Théodose Ier en 395. Histoire de l'Empire byzantin[modifier | modifier le code]

Déclin et chute de l'Empire ottoman l'Empire ottoman (en vert), en 1900 Les langues parlées dans les Balkans, en Anatolie et au proche-Orient en 1913 Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2012). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Le déclin et chute de l'Empire ottoman désignent les évènements qui, du XVIIe siècle au début du XXe siècle, ont mené à la perte de territoires puis à la désintégration de l'Empire ottoman. Au XVIe siècle l’âge d’or de l’Empire ottoman est déjà révolu, comme l'indique la défaite navale de la flotte ottomane face à une ligue réunissant l’Espagne, Rome, Malte et Venise à Lépante en 1571. Les Tanzimat (1839-1878)[modifier | modifier le code] Les Tanzimat ont créé un gouvernement centralisé qui se compose d’une nouvelle classe dirigeante, les bureaucrates. Conclusion[modifier | modifier le code]

Illyrie Illyrie, province romaine. Le mot Illyrie peut désigner, en français : le pays habité dans l'Antiquité par les Illyriens ;plus spécifiquement, un royaume fondé à Shkodër, en Albanie actuelle, en -385, par le roi illyrien Bardylis (-385/-358) ;la province romaine d'Illyrie créée à l'issue des guerres d'Illyrie ;dans le cadre de l'Empire romain, la préfecture prétorienne d'Illyrie (Praefectura praetoriana Illyricum), qui subsiste dans l'Empire romain d'Orient après la division de l'Empire romain en 395 (ὑπαρχία τῶν πραιτωρίων, Ἐπαρχότης Ἰλλυρικοῦ) ;les Provinces illyriennes de l'Empire français (1808-1814). La grande difficulté pour la connaissance de l'histoire des Illyriens réside en l'absence de texte écrit dans la langue illyrienne. Toutes les sources sont issues de la littérature gréco-romaine. Histoire[modifier | modifier le code] En −229, Rome s'aventura pour la première fois à l'est de l'Adriatique. Fiction[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Empire romain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite d'une période de l'histoire de la Rome antique. Pour les territoires administrés par Rome, voir l'article Province romaine. Empire romain L'Empire fut fondé par Auguste, qui mit fin à la dernière guerre civile, dans la toute fin de la République romaine. En effet, à partir de la fin du IIe siècle, Rome est confrontée à ce que l'historiographie ultérieure a appelé les invasions barbares. À cette époque, le pouvoir était devenu un régime absolu, avec une cour et un protocole de type oriental. Après la division de l'Empire en deux entités — l'Empire romain d'Orient et l'Empire romain d'Occident, la période finale de la partie occidentale, à partir du Ve siècle, est marquée par le délitement continu de l'autorité politique : la puissance militaire s'effondre, l'économie est exsangue, et la domination territoriale se réduit, jusqu'à ne pas dépasser l'Italie. Le règne d'Auguste (-27 à 14)[modifier | modifier le code] ↑ J.

Gabriel de Luetz Portrait of ambassador to the Ottoman Porte Gabriel de Luetz d'Aramont, by Titian, 1541-1542, oil on canvas, 76 x 74 cm. Letter of Francis I to the Drogman Janus Bey, 28 December 1546, delivered by Gabriel de Luetz d'Aramon. The letter is countersigned by the State Secretary Claude de L'Aubespine. Encoded letter of Gabriel de Luetz d'Aramon, after 1546, with partial deciphering, an interesting example of cryptography in the 16th century. Gabriel de Luetz, Baron et Seigneur d'Aramon et de Vallabregues (died 1553), often also abbreviated to Gabriel d'Aramon, was the French Ambassador to the Ottoman Empire from 1546 to 1553, in the service first of Francis I, who dispatched him to the Ottoman Empire, and then of the French king Henry II. Le Voyage de Monsieur d'Aramon dans le Levant by Jean Chesneau, 1547. Ottoman Safavid War[edit] Siege of Tripoli[edit] Calabrian Raid[edit] Representation in fiction[edit] See also[edit] Franco-Ottoman alliance Notes[edit] References[edit]

Kosovo République du Kosovo (sq) Republika e Kosovës (sr-Latn) Republika Kosova Le Kosovo (en albanais : Kosova ou Kosovë, en serbe : Kosovo, Косово), en forme longue, la république du Kosovo (en albanais : Republika e Kosovës, en serbe : Republika Kosovo, Република Косово), également appelé officiellement par les autorités serbes Kosovo-et-Métochie (en serbe : Kosovo i Metohija, serbe : Косово и Метохија)[9], est un territoire au statut contesté situé en Europe du Sud, plus particulièrement dans les Balkans et en ex-Yougoslavie. Sa déclaration d'indépendance le 17 février 2008, avec Pristina comme capitale, est contestée par la Serbie pour qui il s’agit d’une province autonome, et n’est reconnue ni par l’Organisation des Nations unies, ni par l’Union européenne. Dénomination Le terme « Kosovo », en serbe, désigne la vaste plaine constituant la partie orientale du pays telle qu’on le connaît actuellement. Histoire De la Préhistoire à l'Empire romain De l’Empire serbe médiéval à l’Empire byzantin Vin

Tétrarchie La Tétrarchie (du grec ancien : τετραρχία / tetrarkhía (« quatre gouvernements »), dérivé de τέσσαρες / téssares (« quatre »), et ἀρχία / arkhía (« gouvernement »), est le système de gouvernement de l’Empire romain mis en place par Dioclétien à la fin du IIIe siècle pour faire face aux invasions barbares. Le système politique[modifier | modifier le code] Carte montrant la répartition de l'Empire romain entre les quatre tétrarques. Sous la pression des invasions barbares, l’Empire romain connut une grave crise tout au long du IIIe siècle. Cependant, l’empire n’était pas divisé, et Dioclétien gardait toute autorité sur son César, ainsi que sur l’ensemble de l’empire et des légions. Dioclétien considère l’imperium comme une fonction et non comme un pouvoir personnel à vie. Les deux généraux choisis furent Galère par Dioclétien, et Constance Chlore par Maximien. Histoire de la Tétrarchie[modifier | modifier le code] Les Tétrarques (vers 305 ap. Voir les tétrarques[modifier | modifier le code]

Alliance franco-ottomane Les pères de l'alliance franco-ottomane, François Ier (à gauche) et Soliman le Magnifique (à droite), peints séparément par Titien vers 1530 Contexte[modifier | modifier le code] À la suite de la prise de Constantinople en 1453 par le Turc Mehmed II et à l'unification du Moyen-Orient sous Sélim Ier, Soliman, le fils de Selim, parvient à étendre l'emprise ottomane à la Serbie en 1522. L'empire des Habsbourg entre alors en conflit direct avec les Ottomans[réf. nécessaire]. Des contacts précoces semblent être pris entre les Ottomans et les Français. Philippe de Commines relate que Bajazet II envoie une ambassade à Louis XI en 1483, tandis que Zizim, son frère et rival pour le trône ottoman, est détenu en France, à Bourganeuf, par Pierre d'Aubusson. La France signe un premier traité ou Capitulation avec l’Empire ottoman en 1500, sous les règnes de Louis XII et du sultan Bajazet II[7],[8], dans lequel le sultan d'Égypte fait des concessions aux Français et aux Catalans. « [...] — Jean Bodin[32]

Guerre du Kosovo Usine d'armement de Zastava après un bombardement. Civils : 11 609 morts (dont 8 676 Albanais, 2 488 Serbes et 445 Roms et autres)[4],[5] Total : 13 535 morts[4],[5],[6] Guerres de Yougoslavie Batailles Košare La guerre du Kosovo, une des guerres de Yougoslavie, a eu lieu du 6 mars 1998 au 10 juin 1999, sur le territoire de la république fédérale de Yougoslavie, opposant l'armée yougoslave à l'Armée de libération du Kosovo (UÇK). L'UÇK, formée au début des années 1990 pour lutter contre la persécution serbe des Albanais du Kosovo, a commencé sa première campagne en 1995 lorsqu'elle a lancé des attaques contre les forces de l'ordre serbes au Kosovo. Après l'échec des tentatives de solution diplomatique (en France : Xhevat Bislimi), l'OTAN intervient militairement, principalement sous la forme d'une campagne de bombardements de la Serbie, justifiant la campagne au Kosovo comme une « guerre humanitaire ». Origine des revendications nationalistes[modifier | modifier le code]

Dioclétien Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dioclétien, de son nom complet Caius Aurelius Valerius Diocletianus Augustus[notes 1] (né v. le 22 décembre 244[1] en Dalmatie - mort le 3 décembre 311[2]), est un empereur romain qui régna du 20 novembre 284 au 1er mai 305. Dioclétien sépare et élargit les services civils et militaires de l'Empire et réorganise le découpage administratif de l'Empire, instaurant le gouvernement le plus important et le plus bureaucratique de l'histoire de l'Empire. Il crée de nouveaux centres administratifs à Nicomédie, Mediolanum, Antioche et Trèves, plus proche des frontières de l'Empire que la capitale traditionnelle Rome. S'appuyant sur les tendances du IIIe siècle vers l'absolutisme, il se nomme lui-même autocrate, s'élevant au-dessus des masses de l'Empire et imposant un cérémonial de cour et une architecture officielle. Conquête du pouvoir[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Mort de Numérien[modifier | modifier le code]

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