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Washington fournit des munitions aux rebelles syriens «modérés» et affirme en conserver le contrôle

Washington fournit des munitions aux rebelles syriens «modérés» et affirme en conserver le contrôle
Malgré «le haut degré de confiance» dont Washington fait preuve à l’égard de ces combattants, les autorités américaines disent conserver la possibilité de contrôler les armements qu’elles livrent. «Une équipe spéciale veillera à l’utilisation de nos armes par les rebelles. Nous avons bien des possibilités pour contrôler cet équipement», a déclaré la sous-secrétaire américaine à la Défense Christine Wormuth aux journalistes, en ajoutant que ces possibilités avaient déjà été testées en Syrie par le passé. Les Etats-Unis ont lancé lundi la première étape de programme du soutien urgent aux rebelles syriens «modérés», soit les opposants au régime de Bachar el-Assad qui ne sont pas terroristes. Dans la nuit du 11 au 12 octobre, 112 palettes de munitions pesant un total d’au moins 50 tonnes ont été parachutées au nord de la Syrie, d'après la chaîne de télévision américaine CNN. Toutes les palettes, qui contenaient des armes légères et des grenades à main ont été acheminées à bon port.

Une journaliste de la TV syrienne traque les terroristes en costards à Genève Une journaliste de la TV syrienne traque les terroristes en costards à Genève Date et source de publication: 17 Mai 2017/ Spéciale RuesDesMondes Notre consœur Ruba Alhajali, l’envoyée spéciale de la chaîne d’information syrienne Al-Ikhbaria à la conférence de Genève 6, s’est vue hier mardi 16 Mai 2017 expulsée de l’immeuble de l’ONU suite à une plainte présentée par la délégation de « l’opposition armée » à l’ONU à Genève, imputant à la journaliste le non-respect de la déontologie de la presse. Ruba n’a rien fait de plus que d’appeler un chat un chat. Elle attendait les membres de la délégation de « l’opposition armée » à l’entrée de l’immeuble de l’ONU pour faire son travail quand elle a annoncé dans son micro : « Je suis en direct de Genève avec le criminel Mohammad Allouche, chef de l’armée de l’Islam. » Outré, ce dernier a protesté réclamant à Ruba de l’appeler comme il se doit. WordPress: J'aime chargement…

Explosion à Kaboul : le résultat de la décision des Etats-Unis de ne pas éliminer les taliban ? L'attentant dans le quartier diplomatique de Kaboul est probablement une réponse des taliban à la frappe américaine sur l'Afghanistan et pourrait faire partie d’une large offensive, juge l'analyste politique Marwa Osman. RT : Peut-on dire que la récente explosion en Afghanistan dans le quartier diplomatique de Kaboul était un attentat terroriste ? Marwa Osman (M. O.) : Exactement, étant donné que les taliban ont déclaré plutôt se préparer pour une large offensive de printemps. Les attentats qui ont précédé celui-là ont visé le marché et la ville Mazar-è-Charif, et ont tué plus de 135 soldats afghans. Je crois qu'un attentat majeur dans un tel endroit, dans la zone diplomatique la plus sécurisée de la capitale en dit long sur la sécurité. Plus d’un tiers du pays échappe au contrôle du gouvernement RT : Quelle réaction internationale peut-on attendre ? M. RT : Cela fait 16 ans que les Etats-Unis ont commencé une guerre contre le terrorisme en Afghanistan. M.

Universitaire israélien: violer des femmes palestiniennes découragerait les attentats | Arrêt... « La seule chose qui pourrait dissuader un candidat à un attentat suicide serait qu’il sache que s’il est attrapé, sa sœur ou sa mère sera violée, » a déclaré Kedar dans un talk show à la radio. Sur l’émission radio en hébreu, Kedar tient ce propos à 1:35:00: Kedar, qui est spécialiste universitaire de la population palestinienne en Israël a servi pendant 25 années dans les services de renseignements de l’armée où il était spécialisé dans les organisations islamiques. Il est chercheur au Centre d’Etudes Stratégiques Begin – Sadate de l’université Bar Ilan, un centre d’études marqué à droite, ainsi que le fondateur et l’actuel directeur de l’Israel Academia Monitor, un site web néo-mccarthyste qui surveille les présumées « activités anti-israéliennes d’universitaires israéliens ». Cette observation n’a pas freiné Kedar qui a répondu que « c’est la culture… » et « c’est le Moyen Orient », ajoutant que « Je ne parlais pas de ce que nous faisons ou ne faisons pas.

Israël : La population a peur… mais soutient la répression – Anti-K « Maintenant c’est à votre tour d’avoir peur ». C’est ce que me disait il y a quelques jours une jeune étudiante palestinienne de l’Université de Bethléem, ajoutant : « Si j’étais courageuse, moi aussi j’attaquerais un colon ou un soldat, mais je suis trop peureuse pour être prête à mourir »… Les attaques spontanées à l’arme blanche, couteau de cuisine ou tournevis, font émulation, et ce malgré le fait qu’elles soient devenues des opérations suicides, Netanyahou ayant donné l’ordre de tirer pour tuer sur quiconque attaquerait un Israélien. En appelant les citoyens à sortir armés, et à se servir de leurs armes sans hésiter, Netanyahou veut donner l’impression qu’il a une réponse à ce nouveau type d’attaques, mais les résultats ne plaident pas en sa faveur. Des discours menaçants, des actes répressifs Les consignes du gouvernement ont créé un véritable Far West. Une minorité mobilisée pour la solidarité De Jérusalem, Michel Warschawski

La Russie, la Syrie et l’Iran poursuivront la lutte conjointe contre le terrorisme Points de vue URL courte La délégation russe était présidée par le ministre Sergueï Choïgou. © AP Photo/ Francois Mori Durant la réunion, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de l'Iran, Ali Shamkhani, a transmis ses remerciements au président russe Vladimir Poutine pour sa vive politique d'opposition au terrorisme, tout en accusant les USA et leurs alliés d'avoir créé la crise observée en Syrie et dans la région. « Nous devons déployer tous les efforts possibles afin de veiller à ce que le peuple syrien ait un environnement pacifique pour le déroulement des élections et la possibilité de pouvoir décider soi-même de son avenir. Ce qu'il faut donc retenir, c'est que la coalition syro-russo-iranienne poursuivra une coordination active dans la lutte antiterroriste, notamment contre Daech et le Front al-Nosra, filiale d'Al-Qaida en Syrie. © Sputnik. Beaucoup annoncent la bataille de Raqqa comme décisive.

AIPAC to Push War With Iran and Cash From America The overly powerful war-mongering Israeli lobby organization, the American Israel Public Affairs Committee, will soon hold its annual policy conference in which it determines what position the US politicians from both parties who live in fear of AIPAC will take on US Middle East foreign policy. The conference will be held on March 3-5, 2013 in Washington, DC. The registration fee is $599.00 for non members and $499.00 for “AIPAC club members” according to their Frequently Asked Questions page. The Jewish Telegraphic Agency reports that the agenda of the AIPAC policy conference “will focus on the Congress enacting legislation that would designate Israel a ‘major strategic ally’ of the United States — a relationship not enjoyed by any other nation — and on facilitating a U.S. green light should Israel decide to strike Iran. I was visiting a VA hospital the other day and saw a young man, probably in his mid-twenties, who was crippled in a wheel-chair and had suffered severe head injuries.

Aucun des 50 leaders du Daesh n’est Musulman !!! | Blida Eveil La fumée des bombes de Bruxelles n’était pas encore dissipée que Daesh revendiquait déjà les attentats. A vrai dire, cette revendication n’était vraiment pas nécessaire, tout le monde l’avait déjà devinée. Ce que personne ne sait, en revanche, c’est qui, au sein de l’Etat Islamique, a été chargé de planifier et diriger l’opération depuis le Moyen-Orient. Jusqu’à preuve du contraire, tous les dirigeants de cette organisation toujours prompte à revendiquer les attentats en Europe ou ailleurs, sont tous basés en Syrie ou en Irak. Qui sont-ils ? Nous ne savons pas grand-chose d’eux, pour ne pas dire rien du tout. Le silence autour des leaders de l’Etat Islamique est peut-être dû au fait que leur identité réelle ne colle pas avec l’image que donne Daech, celle d’un djihad islamique contre l’Occident.

Prêtre égorgé à Saint-Etienne-du-Rouvray : les réactions politiques - L'assassinat du père Jacques Hamel, égorgé mardi 26 juillet durant une prise d'otages à l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, revendiqué par l'organisation État islamique, suscite une avalanche de commentaires. De nombreux élus font part de leur effroi, d'autres font déjà des propositions sécuritaires, voire accusent le gouvernement. Le chef de l'Etat François Hollande, qui s'est rendu sur place mardi, "adresse aux familles des victimes ainsi qu'à l'ensemble des catholiques de France, la solidarité et la compassion de la Nation", écrit l'Elysée dans un communiqué. "Ce que veulent faire ces terroristes, c'est nous diviser. Et aujourd'hui, après la mort de ce prêtre, j'ai pour tous les catholiques de France une pensée, je veux leur exprimer un soutien", a déclaré François Hollande depuis Saint-Étienne-du-Rouvray, où il a rencontré le maire Hubert Wulfranc (PCF), "terriblement éprouvé par le lâche assassinat du prêtre de la paroisse par deux terroristes se réclamant de Daesh".

Ce que vous ignorez sur les accords états-uno-iraniens, par Thierry Meyssan John Kerry et Mohammad Javad Zarif ont conclu un pré-accord politique bilatéral secret. Ce faisant, ils ont conclu un accord public dans le cadre des négociations multilatérales 5+1. Les pourparlers bilatéraux secrets Depuis mars 2013, les États-Unis et l’Iran se parlent en secret. L’équipe états-unienne était dirigée par deux négociateurs hors pair, Jake Sullivan et William Burns. De ces pourparlers, deux décisions au moins sont sorties. De fait, le Conseil des Gardiens de la Constitution censura la candidature d’Esfandiar Rahim Mashaie. De leur côté, les États-Unis donnaient instruction à leurs alliés saoudiens de baisser également le ton et d’accueillir avec bienveillance le nouveau gouvernement iranien. Le plan de la Maison-Blanche L’idée de la Maison-Blanche était de prendre acte des succès iraniens en Palestine, au Liban, en Syrie, en Irak et au Bahreïn et de laisser Téhéran jouir de son influence dans ces pays en échange d’un renoncement à poursuivre l’expansion de sa Révolution.

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