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Workflow

Workflow
Un workflow, flux de travaux ou encore flux opérationnel, est la représentation d'une suite de tâches ou d'opérations effectuées par une personne, un groupe de personnes, un organisme, etc. Le terme flow (« flux ») renvoie au passage du produit, du document, de l'information, etc., d'une étape à l'autre. Terminologie[modifier | modifier le code] En France, le terme officiellement recommandé par la Commission d'enrichissement de la langue française est « flux de travaux »[1]. Définition[modifier | modifier le code] De façon pratique, le workflow sert à décrire le circuit des traitements, les tâches à répartir entre les différents acteurs d'un processus, les délais, les contrôles et modes de validation, et à fournir à chacun des acteurs les informations nécessaires à l'exécution de sa tâche. Un moteur de workflow est un dispositif logiciel permettant d'exécuter une ou plusieurs définitions de workflow. Normalisation[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] 1. 2.

La coopération dans l’entreprise, (enfin !) une bonne idée ?… | Agence PARRHESIA La sollicitation de grandes entreprises, dans des domaines variés (Distribution, Logistique, Services) pour évoluer vers le management de coopération, et faire appel à notre savoir-faire est marquante. Ces sollicitations, mettant en avant notre expertise nous amènent à publier ce billet sur le management de coopération et le distinguer de sa version adolescente, « estropiée » qu’est le « management participatif ». PARRHESIA MANAGEMENT, lors de sa création s’est fondée sur 2 idées forces, ancrage de l’ADN de sa pratique du conseil et de la formation en management et culture d’entreprise: La première fut la Parrhèsia, « Franc-parler » et parole forte de ceux qui ont déjà pris le temps d’écouter et de comprendre afin de faire émerger, avec ses clients et participants, leurs réponses aux problématiques managériales et relationnelles auxquelles ils sont confrontés. Management participatif ? Cette prise de position mérite une explication : Bien, nous direz-vous !

Fonction et Fonctionnalité : comprendre la différence - BPMS.info Un internaute m’a demandé il y a quelque temps la différence entre « fonction » (dans le contexte du plan d’occupation des sols) et « fonctionnalité » (dans le contexte de fonctionnalités applicatives, telles qu’on les trouve dans les cahiers de charge). C’est une excellente question, qui me donne l’occasion de parcourir plusieurs notions proches qui posent des soucis de compréhension et produit en particulier une grande confusion entre les vues métier et fonctionnelle. Fonction et domaine métier Alors tout d’abord, on parle souvent au niveau de l’entreprise de « fonction » au sens « domaine métier ». Exemples : la Fonction RH, la Fonction achat, la Fonction après-vente… Éliminons tout de suite cette signification particulière. Fonctionnalité et Analyse fonctionnelle Dans un cahier des charges, en général, on décrit traditionnellement des « fonctionnalités », c’est-à-dire des blocs de textes qui sont de deux natures : Dans le premier cas, on décrit des « fonctions ».

Comment choisir au mieux un KVM ? Le sigle KVM vient de l'anglais «Keyboard Video Mouse». Le KVM est un commutateur ou switch permettant de contrôler plusieurs ordinateurs à partir d'un écran, clavier et souris. Vous voulez contrôler vos ordinateurs à partir d'un seul écran ? Ou gérer de façon optimale votre parc de serveurs ? Nous vous proposons de faire un tour d'horizon des solutions s'offrant à vous... Comment fonctionne un KVM ? Le KVM ou commutateur KVM agit comme un commutateur ou switch classique. Le KVM et ses avantages : » Une gestion simplifiée de votre informatique : Vous gagnez en espace en ne dédiant qu'un seul écran, clavier et souris à votre infrastructure. » Des économies d'énergie : Plus vous connecterez de machines à votre KVM, moins d'argent vous dépenserez dans les périphériques de contrôle. Les différents types de KVM Il existe une grande variété de KVM. Les KVM pour 1 à 9 connections : Le KVM Pocket La solution KVM mobile par excellence : Le KVM de bureau Les KVM double écrans DVI ou VGA Le KVM évolutif :

Qu'est-ce qu'un flux de travail - PNMsoft Workflow est la définition, l’exécution et l’automatisation des processus d’entreprise où les tâches, les informations ou les documents sont transmis d’un participant à l’autre pour l’action, selon un ensemble de règles de procédure. Les organisations utilisent les flux de coordonner les tâches entre les personnes et de synchroniser les données entre les systèmes, avec l’objectif ultime d’améliorer l’efficacité organisationnelle, la réactivité et de rentabilité. Workflows d’automatiser le flux des tâches et des activités des employés, la réduction du temps pris pour le processus complet ainsi que les erreurs potentielles causées par l’interaction humaine. Les flux de fait plus efficace, conforme, agile, et visible de veiller à ce que chaque étape du procédé est explicitement défini, le suivi au fil du temps, et optimisé pour une productivité maximale. Les avantages du logiciel de Workflow Workflow Types Workflow Software – Best Practices Workflow Software Histoire Analystes

La notion d'organisation - Les 5 configurations organisationnelles Selon H. Mintzberg, les différents composants et paramètres d'une organisation ont tendance à s'aligner en des ensembles cohérents que l'on appelle des configurations organisationnelles. Une organisation est en quelque sorte attirée vers une certaine configuration, ne serait-ce qu'en raison de l'interdépendance des composants et paramètres organisationnels. Interviennent également des données de contexte, ce que l'on appelle des facteurs de contingence, comme l'âge de l'organisation, sa taille, la technologie qu'elle utilise, des caractéristiques d'environnement. H. la structure simple : l'élément clef de l'organisation est le sommet stratégique et le mode principal de coordination la supervision directe. Le tableau suivant résume les principales caractéristiques de ces 5 configurations et mentionne quelques facteurs contextuels qui les rendent plus probables : H. Comme on le voit, partant d'un inventaire des composants de l'organisation, H.

Zentyal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. afficherConseils utiles à la personne qui appose le bandeau Tableau de bord de Zentyal Le code source du projet est disponible selon les termes de la GNU GPL, mais également selon les termes de différentes licences privées. L'entreprise espagnole eBox Technologies S.L. est à la fois propriétaire et promotrice de Zentyal et détient le copyright du code source (logiciel propriétaire). Vue d'ensemble[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code] Cet article contient une ou plusieurs listes (décembre 2010). Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items.D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.

Travailler ensemble : pour une intelligence de la coopération [ Mise à jour : 25 septembre 2017 ] Travailler ensemble ne va pas de soi. Nos organisations sont enferrées dans une crise de la coopération. Nous devons d’abord en comprendre les mécanismes pour pouvoir ensuite lever les verrous. Ce faisant, nous progresserons vers une intelligence de la coopération. Pourquoi la problématique de la coopération trouve-t-elle aujourd’hui autant d’écho dans le monde du travail ? Que l’on ne nous dise pas qu’il s’agit là encore d’une mode managériale, inconsistante et éphémère : En 1963 déjà, le rapport Bloch-Lainé[1], « Pour une réforme de l’entreprise », proposait d’explorer une meilleure « coopération des producteurs » — salariés, cadres et dirigeants.En 1972, l’économiste américain Kenneth Arrow recevant son prix Nobel était interrogé sur l’origine de la croissance des pays. Si l’on se projette vers le futur, deux évolutions me semblent majeures : A l’ère de l’entreprise 2.0 (voir « Le management 2.0 sera-t-il socialement responsable ? Management & RSE

WikiMatrix Tails (système d'exploitation) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Laura Poitras, Glenn Greenwald, et Barton Gellman ont déclaré que Tails était un outil important dans le cadre de leur travail avec le lanceur d'alerte Edward Snowden[6],[7],[8]. Le 28 décembre 2014, le journal allemand Der Spiegel a publié la présentation interne de la NSA datant de juin 2012 dans laquelle la NSA désigne Tails comme une des menaces majeures à sa mission, et son utilisation avec d'autre outils comme OTR, Cspace, RedPhone, et TrueCrypt comme une « catastrophe », menant à « une perte/un manque presque total d'informations sur les communications et la localisation d'une cible »[11],[12]. En 2017, Tails est seulement disponible pour l'architecture X86-64[13]. La version majeure 4.0, sortie le 22 octobre 2019, est décrite par les développeurs comme l'une de celles « introduisant le plus de changements depuis des années »[14]. GNOME, un environnement de bureau libre et convivial[19] Sur les autres projets Wikimedia :

ERP (ou PGI) : Progiciel de gestion intégré - Définition du glossaire Un progiciel de gestion intégré (abrégé en français PGI, abrégé en anglais ERP pour « enterprise resource planning ») est, selon le grand dictionnaire terminologique, un « logiciel qui permet de gérer l’ensemble des processus d’une entreprise, en intégrant l’ensemble des fonctions de cette dernière comme la gestion des ressources humaines, la gestion comptable et financière, l’aide à la décision, mais aussi la vente, la distribution, l’approvisionnement, le commerce électronique. » Le principe fondateur d’un ERP est de construire des applications informatiques (paie, comptabilité, gestion de stocks…) de manière modulaire (modules indépendants les uns des autres) tout en partageant une base de données uniques et commune.

Théorie de la connaissance Cet article ou une de ses sections doit être recyclé (7 mai 2017). Une réorganisation et une clarification du contenu paraissent nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion ou précisez les sections à recycler en utilisant {{section à recycler}}. La théorie de la connaissance a été assimilée à la philosophie de la connaissance et à la gnoséologie[1]. Lorsque la théorie de la connaissance est assimilée à la philosophie de la connaissance, elle fait partie de la philosophie selon une certaine "géographie"[2]:continentale : la théorie de la connaissance porte sur toute la connaissance et l'épistémologie porte sur la connaissance scientifique,anglo-saxonne : la philosophy of science porte sur les méthodes et résultats scientifiques et la gnoséologie porte sur la connaissance en général. En fait, depuis les travaux d'Edgar Morin, entre autres, la théorie de la connaissance est transdisciplinaire, multi dimensionnelle et multi factorielle[3]. Nota pour les sciences :

TrueNas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il utilise une interface web pour sa partie configuration. TrueNas occupe au minimum 8 Go d'espace de stockage une fois installé sur un disque dur ou éventuellement une clé USB. Il est disponible sous forme d'image ISO et sous forme de code source. FreeNAS est publié sous licence BSD. Historique[modifier | modifier le code] Depuis la version 7.x il est possible de faire fonctionner FreeNAS à partir d'un Live CD, tout en sauvegardant les fichiers de configurations sur une disquette MS-DOS formatée ou sur une clé USB. Il existe aussi une image disque VMware (dernière mise à jour en 2006). Depuis la sortie de la version 8.x, la version Live CD n'est plus supportée. Si on utilise un disque dur consacré au système, il ne pourra servir qu'à ça et non pas à stocker des données dessus. La distribution minimale de FreeBSD 7.2, son interface web, les scripts php, et la documentation sont basés sur M0n0wall (distribution BSD destinée au pare-feu).

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