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Répertoire d'entreprises du Québec - icriq.com

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À propos Qu’est-ce qu’un comité sectoriel de main-d’œuvre (CSMO) ? Les comités sectoriels de main-d’œuvre (CSMO) sont des organismes autonomes, à but non lucratif, financés par Emploi-Québec. Ils sont reconnus par la Commission des partenaires du marché du travail, en vertu de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre. Le Comité sectoriel des services automobiles (CSMO-AUto) est un regroupement de représentants des employeurs, issus des associations de l’industrie, et de représentants des syndicats. Le Comité sectoriel de main-d’œuvre des services automobiles (CSMO-auto) : son rôle Le rôle du Comité sectoriel est de définir les besoins en développement de la main-d’œuvre dans le secteur automobile, en apportant un soutien aux entreprises pour le développement des compétences. Le Comité sectoriel de main-d’œuvre des services automobiles (CSMO-auto) : un vaste réseau

ATR Loi sur le développement durable chapitre D-8.1.1 Loi sur le développement durable 1. Les mesures prévues par la présente loi concourent plus particulièrement à réaliser le virage nécessaire au sein de la société face aux modes de développement non viable, en intégrant davantage la recherche d'un développement durable, à tous les niveaux et dans toutes les sphères d'intervention, dans les politiques, les programmes et les actions de l'Administration. 2006, c. 3, a. 1. 2. 2006, c. 3, a. 2. 3. Est assimilée à un organisme une personne nommée ou désignée par le gouvernement ou par un ministre, avec le personnel qu'elle dirige, dans le cadre des fonctions qui lui sont attribuées par la loi, le gouvernement ou le ministre. 2006, c. 3, a. 3; 2011, c. 31, a. 18; 2013, c. 16, a. 95; N.I. 2015-11-01. 4. 1° à l'un ou plusieurs des organismes municipaux visés par l'article 5 de la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels (chapitre A-2.1); 2006, c. 3, a. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Classement expérience client : le plaisir des sens et la spécialisation priment Lush. Finalement, le consommateur québécois n'est guère différent d'un nouveau-né. Offrez-lui de sentir, de goûter, d'entendre ou même de toucher, et vous obtiendrez du coup toute son attention. Voilà l'une des principales conclusions qu'on peut tirer de la plus récente étude de Léger sur l'expérience de magasinage des consommateurs, dont Les Affaires a obtenu copie. Découvrez le classement complet et la méthodologie à la fin de l'article Ainsi, des enseignes comme Yves Rocher, Chocolats favoris, Lush ou David's Tea se retrouvent dans le peloton de tête du palmarès expérientiel produit par Léger. «Il n'y a là rien de plus normal, s'esclaffe au bout du fil Benoît Duguay, professeur et chercheur spécialisé en consommation à l'Université du Québec à Montréal. À lire aussi :L'expérience : «la condition essentielle non suffisante» Les spécialistes avant les généralistes La même logique s'applique lorsque des magasins d'une même catégorie sont comparés entre eux, fait remarquer M. À lire aussi :

Antonov L'«Énergie» inquiète les environnementalistes Le premier ministre Philippe Couillard a choisi d’inclure « la lutte aux changements climatiques » au titre du ministre du Développement durable et de l’Environnement. Un geste salué par les groupes environnementaux, qui n’ont toutefois pas manqué de déplorer que le gouvernement libéral se montre très favorable aux énergies fossiles. « C’est un symbole fort que d’inclure explicitement la lutte aux changements climatiques dans le nom donné au ministère de l’Environnement », a commenté mercredi Patrick Bonin, responsable de la campagne climat chez Greenpeace. Même son de cloche du côté de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique et du groupe Équiterre. Karel Mayrand, directeur général pour le Québec de la Fondation David Suzuki, voit lui aussi d’un bon oeil l’idée d’inscrire le dossier des bouleversements climatiques dans le mandat du nouveau ministre David Heurtel. Ministre de l’«Énergie» La Forêt « Nous appelons M.

Portrait de la restauration au Canada - Réseau de veille en tourisme Les ventes de l’industrie de la restauration représentent près de 4% de l’ensemble de l’activité économique canadienne. Plus de 1,1 million de personnes y travaillent directement, dont une grande proportion de jeunes, ce qui en fait le quatrième plus grand employeur au pays. Cette industrie, composée de 88 000 établissements, crée des retombées économiques importantes dans les communautés urbaines comme rurales. Résultats 2012-2013 et prévisions pour 2014 Selon le ConferenceBoard du Canada, l’ensemble de l’industrie des services alimentaires canadiens a connu des résultats décevants en 2013; 951 millions de dollars de profit, ce qui représente une baisse de 33% par rapport à 2012. En 2013, ce sont les services alimentaires en milieu institutionnel qui ont connu la plus importante croissance de leurs ventes (6,3%), suivis de près par les restaurants à service complet (5,4%) (voir le tableau 1). Notes explicatives: Δ = variationPrél. = résultats préliminairesPrév. = prévisions Source(s)

Pratt & Whitney Les évaluations environnementales stratégiques Vous êtes ici > Accueil > Évaluations environnementales stratégiques Il est primordial pour le gouvernement d’agir avec prudence et transparence afin d’encadrer et de contrôler l’exploration des hydrocarbures. À cette fin, il est essentiel de faire le point sur l’état des connaissances et d’acquérir les renseignements nécessaires pour définir les orientations gouvernementales au regard des enjeux environnementaux, sociaux, économiques et de sécurité liés au développement des hydrocarbures et à leur transport. C’est pourquoi la filière des hydrocarbures est soumise à un processus d’évaluations environnementales stratégiques (EES). Deux EES sont en cours : la première est globale et porte sur l’ensemble de la filière des hydrocarbures au Québec; la seconde est propre à l’île d’Anticosti. Objectifs des deux EES en cours Les travaux sont réalisés en fonction de cinq chantiers portant sur : l’environnement; la société; l’économie; le transport; les aspects techniques. Le budget

5 tendances de consommation à surveiller en 2016 – Developpez votre auditoire La société internationale et indépendante d’étude de tendances, Trendwatching, vient de publier les cinq tendances de consommation à surveiller en 2016. Je les ai adaptées à vos besoins. Des exclusivités accompagnées de responsabilités : l’offre d’exclusivités à de fidèles clients n’a rien de nouveau. Les programmes de fidélisation, comme Aeroplan ou l’argent Canadian Tire, existent depuis de nombreuses années. Ce qui risque de changer en 2016, c’est que ces exclusivités seront dorénavant accompagnées d’attentes des prestataires envers les bénéficiaires. Par exemple, vous pourriez dire à vos clients «nous vous offrons cette exclusivité. Toutes ces tendances sont de nature relationnelle.

Hydro-Québec Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de Hydro-Québec. Hydro-Québec est une société d'État québécoise fondée en 1944. Son unique actionnaire est le gouvernement du Québec. Les grands développements hydroélectriques menés sans interruption pendant un demi-siècle — les centrales de Bersimis, l'expansion de la centrale de Beauharnois, Carillon, Manic-Outardes, Churchill Falls et le gigantesque projet de la Baie-James — ont permis au Québec de réduire sa dépendance à l'égard des combustibles fossiles. L'augmentation des coûts de l'énergie au cours des années 2000, les bas taux d'intérêt[6] et l'émergence d'un consensus international sur la question des changements climatiques[7] ont eu un impact positif sur les résultats financiers d'Hydro-Québec. Historique[modifier | modifier le code] Monteurs de ligne de la Montreal Light, Heat and Power. Les deux nationalisations[modifier | modifier le code] Premier logo (1944-1964) d'Hydro-Québec. Premières années[modifier | modifier le code]

170 façons d’échanger des biens ou des services | Protégez-Vous.ca Par Agnès Delavault Mise à jour : 12 juillet 2016 Qu’ont en commun La Remise, Kijiji, E180, Airbnb, L’accorderie, Uber et Troc ton jardin? Ces acteurs de l’économie collaborative, parfois aussi appelée économie du partage, permettent tous l’échange de biens ou de services entre particuliers. Le Québec compte désormais plus de 180 «initiatives» d’économie collaborative, selon le recensement effectué par OuiShare Québec en collaboration avec l’Observatoire de la consommation responsable (OCR) de l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal (ESG-UQAM). Illustration: Bruno Paradis, d'après Honeycomb 3.0 de Crowd Companies Pour être retenues dans la liste, leurs activités doivent répondre à une définition précise. «Et encore, la liste ne contient que les initiatives les plus visibles, souligne-t-il. Initiatives locales Certaines sont plus connues que d’autres, par exemple Airbnb, Uber, Wikipédia, Kijiji, Communauto et Kickstarter. À propos de OuiShare

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