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Liproco - Circuits courts

Liproco - Circuits courts

Circuits courts Les circuits courts de commercialisation des produits agricoles sont une activité non négligeable pour de nombreuses exploitations en France. En effet, la vente directe concerne toutes les filières, surtout celles des fruits et légumes, de l’horticulture, de la viticulture et des filières animales. 4% des fruits et légumes achetés le sont en vente directe, ce pourcentage atteint 7% si l’on prend en compte l’ensemble des formes des circuits courts. Plus généralement, 16,3 % des exploitations agricoles font de la vente directe, dont 47% qui transforment les produits De nombreux pays sont concernés par le sujet du développement des circuits courts qui font l’objet d’un grand intérêt. La démarche des circuits courts de commercialisation a toujours existé, mais elle tend à se développer depuis plusieurs années. Un comité chargé du suivi de la mise en œuvre des mesures annoncées a été institué.

Coduco Circuits courts/circuits de proximité Objectifs du projet de coopération Conforter et mettre en cohérence et en commun des savoir-faire locaux, mettre en réseau les acteurs et promouvoir les produits Conforter, mettre en cohérence et en commun les expériences, les connaissances et savoir-faire des territoires coopérant autour des produits du terroir Mettre en réseau les acteurs des territoires (producteurs, artisans, restaurateurs, acteurs du tourisme…) pour structurer des filières locales, soutenir la recherche de nouveaux débouchés Promouvoir les spécificités locales/ produit du terroir auprès des consommateurs. Créer une « identité culinaire » Touraine Partenaire du projet Thèmes Agriculture et produits agricoles Aménagement du territoire Circuits courts/circuits de proximité Commercialisation Date d'approbation du projet 8 Novembre, 2012 Date (prévue) de fin du projet 31 Décembre, 2014 Contexte et origine Objectifs opérationnels Créer une plus value des opérations déjà entreprises autour des produits locaux.

Producteurs et consommateurs s’unissent pour former des communautés solidaires Voilà un entrepreneur qui a du piquant. Guilhem Chéron prépare sa recette depuis un an et demi dans les règles de l’art. Se basant sur le succès des AMAP (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) qui créent un lien direct entre le producteur et le consommateur, ce designer industriel de formation a inventé une nouvelle formule : « La ruche qui dit oui ! », visant à ouvrir le concept au-delà des simples consommateurs avertis. La ruche est en réalité un groupement de quarante à cinquante foyers situés dans une même zone géographique qui vont se réunir pour faire appel aux producteurs de leur choix et se fournir directement auprès d’eux, court-circuitant ainsi le passage par la case distributeur. Pour être plus précis, c’est le producteur qui calcule lui-même ses prix en fonction de sa zone de chalandise : il lancera lui même les propositions auprès de la ruche en proposant de livrer un certain volume de ses produits, fruits ou légumes par exemple.

les AMAP disent NON à la Ruche qui dit oui Le “frelon” Parisien exterminateur de la petite paysannerie continue ses ravages ! Depuis plusieurs années, des groupes de consom-acteur-actrices se sont regroupés pour aider au maintien ou à l’installation de paysans (AMAP , ACAPE , centres de réinsertion, etc…), mais depuis peu cette mouvance semble s’essouffler. Par contre, de nouveaux moyens de distribution ont vu le jour, via internet comme “La ruche qui dit oui”. Grâce à la médiatisation énorme dont a bénéficié cette nouvelle formule, l’engouement auprès de celle-ci a bien pris. En effet, la presse laisse supposer aux lecteurs qu’il s’agit de distribution de paniers en vente directe, alors que c’est une plate-forme logistique qui prélève près de 20 % du chiffre d’affaires aux paysans adhérents à ce système. Un apiculteur à 90% en vente directe, distribuant dans 10 lieux d’AMAP a dit « NON » aux sollicitations d’une « ruche qui dit oui » (1) près de chez lui ! par AMAP Bio Devant – Courbevoie Petite mise à jour:

Réseau des acteurs bruxellois pour l'alimentation durable - Le Rabad est un réseau de 29 organisations (agriculteurs, distributeurs, restaurateurs et ONG) qui travaillent autour de l'alimentation durable. Amalgames sur les Amap Dans leur article sur « L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? », André Fleury et Roland Vidal posent la question de l’échelle pertinente pour penser l’autosuffisance alimentaire. Ils insistent sur la complexité et l’ambivalence de la notion d’autosuffisance en montrant que, parfois, « l’écologie d’échelle rejoint l’économie d’échelle » et que la production à proximité des lieux de consommation n’est pas toujours le choix le plus rationnel, ou le plus raisonnable, en matière écologique. Les analyses de ces deux ingénieurs agronomes sont pertinentes et utiles : elles montrent la complexité des enjeux actuels ainsi que l’ambivalence des liens entre les espaces urbains et leur périphérie rurale. La diversité des circuits courts Selon les deux auteurs, la seule fonction utile des « circuits courts » serait de construire « une nouvelle relation culturelle entre la ville et le monde agricole », et de « renouer le lien social distendu entre agriculteurs et citadins ».

Traçabilité des produits: cinq façons de manger local Après les scandales de la viande de cheval retrouvée dans des plats cuisinés et les problèmes de traçabilité des produits qui en découlent, il paraît de plus en plus difficile de savoir ce que l'on trouve dans nos assiettes. Une solution parmi d'autres existe pourtant pour y voir plus clair dans ce que l’on mange: les circuits courts. Ce mode de consommation alternatif a pour but de réduire les intermédiaires entre producteurs et consommateurs, de préférence en consommant des produits issus d’une agriculture locale. 1. Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) existent depuis des années. Ces dernières connaissent même un certain regain d'intérêt. 2. Réunir la plus grosse communauté possible de consommateurs autour de produits agricoles locaux et par Internet, c’est le principe de La Ruche qui dit oui! Cette entreprise sociale et solidaire a été fondée en 2010. 3. En octobre 2012 est né le tout premier “ drive-fermier ”. 4. 5.

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