Les lieux oubliés de France Que diriez-vous de sortir des sentiers battus, de mettre de coté les guides touristiques et d'embarquer à la découverte de lieux abandonnés en France ? Attention toutefois, ces endroits inquiétants, inspirants et fascinants sont bien souvent fermés au public. . . À vos risques et périls, il ne tient qu'a vous de les explorer, mais aussi de les respecter et les préserver ! La Station Fantôme – Station de métro Croix-Rouge, Paris Nombreux d’entre vous marchent au-dessus d’elle sans savoir ce qui s’y trame. Cette station de la ligne 10 a été mise en service en 1923 et fermée en 1939 avant la 2nde Guerre Mondiale. Le splendide – Le château du Procureur, lieu tenu secret Construit aux début des années 1800 sur les fondations d’un vieux manoir du 17ème, le temps semble particulièrement peser sur la charpente de ce magnifique château. Le géant – Le Sanatorium d’Aincourt, Val-d’Oise Partez de Paris direction Rouen en suivant la Seine et à mi-chemin vous passerez devant cet immense bâtiment.
Le nombre d'or L' histoire ... Il y a 10 000 ans : Première manifestation humaine de la connaissance du nombre d'or (temple d'Andros découvert sous la mer des Bahamas). 2800 av JC : La pyramide de Khéops a des dimensions qui mettent en évidence l'importance que son architecte attachait au nombre d'or. Vè siècle avant J-C. (447-432 av.JC) : Le sculpteur grec Phidias utilise le nombre d'or pour décorer le Parthénon à Athènes, en particulier pour sculpter la statue d'Athéna Parthénos . IIIè siècle avant J-C. : Euclide évoque le partage d'un segment en "extrême et moyenne raison" dans le livre VI des Eléments. 1498 : Fra Luca Pacioli, un moine professeur de mathématiques, écrit De divina proportione ("La divine proportion"). Au XIXème siècle : Adolf Zeising (1810-1876), docteur en philosophie et professeur à Leipzig puis Munich, parle de "section d'or" (der goldene Schnitt) et s'y intéresse non plus à propos de géométrie mais en ce qui concerne l'esthétique et l'architecture.
Réseau des Ecovillages Correspondants locaux Lieux insolites en France ou d'ailleurs Les lieux présentés sont libres d'accès, cependant certains sont situés sur des propriétés privées. Nous vous prions de respecter ces lieux, comme s'il s'agissait de votre propriété, afin que les générations futures puissent également les contempler. Nous déclinons toutes responsabilités concernant un éventuel accident survenant lors de la visite d'un lieu présenté sur ce site. Cliquer sur un département ou un pays coloré pour voir des lieux insolites Les départements et les pays en bleu présentent des lieux insolites.Ceux en rouge présentent des nouveautés Des informations et des théories sur les mégalithes sont consultable sur la page "Les mégalithes" Des informations sur l'art rupestre sont consultable sur la page "L'Art Rupestre" Une chronologie historique est consultable sur la page "Chronologie historique" Si les vestiges militaires vous intéressent, allez donc jeter un coup d'oeil sur les pages des Rechercher sur Lieux-insolites Soumettez d'autres lieux ou faites part de vos remarques à
Le quadrilatère solsticial : La première géométrie des caractéristiques du lieu – Atelier ÂME Le quadrilatère solsticial : la première géométrie du lieu Jacques Bonvin et Raymond Montercy, dans leur livre « Église romane, chemin de lumière » aux éditions Mosaïque, définissent le quadrilatère solsticial comme étant la première géométrie, à partir du cercle tracé au sol[1] , utilisée lors de la construction d’édifices religieux ou civils. Après avoir délimité la zone de construction de l’édifice et trouvé le nord géographie, on matérialise les levers et couchers du soleil aux solstices d’été (21 juin) et d’hiver (21 décembre) sur un cercle tracé sur le sol dont la dimension a été au préalable établie par le constructeur. Comme on peut le voir sur la figure 1, les solstices sont les deux moments de l’année où la position du soleil est au plus haut (solstices d’été) ou au plus bas (solstice d’hiver) dans le ciel. Entre ces deux extrêmes, on trouve les équinoxes de printemps (21 mars) et d’automne (21 septembre). Une géométrie propre au lieu Le quadrilatère solsticial de Chartres
champs morphiques et mesures - science et conscience Le projet de conscience globale (GCP) Roger Nelson, qui travaillait jusqu’au milieu de 2002 au laboratoire PEAR, eut alors l’idée de ne plus se limiter à ne scanner que des formes de conscience séparées, mais de vérifier s’il existe également une conscience globale et si celle-ci est également mesurable. Depuis le milieu de 1998, il dispersa en nombre croissant jusqu’aujourd’hui environ 50 diodes à bruissement blanc autour du globe; ce bruissement blanc peut être comparé à celui d’un récepteur radio qui, entre deux émetteurs, est donc réglé en pratique sur le bruissement irrégulier. A partir de chaque ordinateur, auquel chacune de ces 50 diodes est reliée, les données premières de ce bruissement sont remises une fois par jour par Internet à l’ordinateur central de l’université de Princeton. S’agit-il vraiment là d’un phénomène morphique?
CARTE DE FRANCE : Départements Régions Villes - Carte France Spectre électromagnétique Le spectre électromagnétique est le classement des rayonnements électromagnétiques par fréquence et longueur d'onde dans le vide ou énergie photonique[1]. Le spectre électromagnétique s'étend sans rupture de zéro à l'infini. Pour des raisons tant historiques que physiques, on le divise en plusieurs grandes classes, dans lesquelles le rayonnement s'étudie par des moyens particuliers. Domaines du spectre électromagnétique. La spectroscopie ou spectrométrie est l'étude expérimentale des spectres électromagnétiques par des procédés, d’observation et de mesure avec décomposition des radiations en bandes de fréquences idéalement étroites. Domaines du spectre électromagnétique[modifier | modifier le code] Vue générale[modifier | modifier le code] On décrit un rayonnement électromagnétique par ses caractéristiques les plus accessibles, selon sa forme et son utilisation. Spectre optique[modifier | modifier le code] Spectre visible[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Unités
L Le premier art celtique commence véritablement à la période d'Hallstatt (âge du fer). L'art est alors surtout influencé par l'âge du Bronze et il reste réaliste. Il faut attendre le Ve siècle avant JC, au second âge du fer (la Tène), pour assister à la naissance d'une nouvelle forme d'expression artistique, très différente de l'art géométrique connu jusque-là. devient stylisé. L'autre nouveauté qui marque l'art celtique du Ve siècle est l'emploi du compas, pour graver directement des décors ou pour élaborer l'épure de compositions plus complexes et raffinées. quelques traits suffisent à suggérer telle ou telle créature, ce qui nous prouve que l'artiste, en faisant ces traits, à un grand savoir-faire et une excellente perception de l'animal. Au IVème et IIIème siècles avant J-C, les Celtes sont menacés par les Germains à l'Est et les Romains au Sud.
Liste de forts, fortifications, citadelles et places fortes en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liste de forts, fortifications, citadelles et places fortes en France Quelques ensembles classés par ordre chronologique[modifier | modifier le code] Places-fortes féodales et cités fortifiées[modifier | modifier le code] Duché et Marches de Bretagne[modifier | modifier le code] Ligne de places-fortes longeant les limites de la Bretagne Historique, de la Normandie au Poitou : Résidence fortifiée des Ducs de Bretagne : Suscinio Vallée de la Dordogne, Guerre de Cent ans[modifier | modifier le code] 1450 - 1540[modifier | modifier le code] XVIe et XVIIe siècles[modifier | modifier le code] Le château d'Écouen avec ses douves, sa position dominante stratégique, ses murs imposants... Île-de-France Château d'Écouen (château) Nord et Est Méditerranée Atlantique Le pré carré de Vauban (1660-1789)[modifier | modifier le code] Vauban (autres)[modifier | modifier le code] Fortifications de Toul (1698). 1714-1800[modifier | modifier le code] Système Séré de Rivières Haxo
Les ondes de formes - Géobio Bien être - La géobiologie Reconnaître les formes énergétiquement équilibrées est à la portée de tous. Par leurs présences dans notre environnement elles vont contribuer à notre équilbre dans tous les domaines, toutes les énergies étant en interactions permanentes. Nous sommes environnés de formes de toutes sortes visibles et invisibles (sons, parole, pensée, électricité, sentiments, …). Elles peuvent paraître immobiles (végétaux, minéraux, maison, objet, …) ou en mouvement (animaux, nuages, fumée, écoulements d'eau, …). On les perçoit le plus souvent comme un corps possédant un certain volume ou un corps plan (tableau, dessin,…) ou un corps coloré (arc-en ciel, …) ou avec notre ressenti direct. Toutes les formes émettent des énergies micro-vibratoires profitables/bénéfiques ou perturbantes/nocives que l'on peut appeler "ondes de forme". Les travaux de chercheurs, comme messieurs Bovis, Bélizal, Chaumery et Morel entre autres, ont permis de mettre en évidence l’existence et les impacts de ces types d’énergie.
L’art celtique de La Tène et les traditions culturelles indo-européennes 1Lignes droites, décors des poteries et des vases métalliques à grandes figures géométriques, personnages et animaux en ronde bosse auxquels s’ajoutent, dans la province orientale, quelques rares scénographies, montrent que l’art hallstattien d’Europe centrale, réputé appartenir au monde celtique, doit ses modes d’expression à la Méditerranée centrale et aux Balkans. De multiples sources et influences ont été proposées pour expliquer ce phénomène : scènes narratives grecques du VIIIe siècle, décors du Géométrique grec de la première moitié du VIIe siècle, poteries de Bosut (VIIIe-VIIe s.), de Bessarabie ou d’Italie du Nord (Megaw, Megaw 1989 : 33). Le réalisme figuratif de l’art adriatique des situles, sans doute d’inspiration étrusque (Megaw, Megaw 1989 : 37), relève du même genre de rapport à l’image. 3Ainsi par exemple, les différences qui opposent les arts celtiques à ceux de la Méditerranée centrale et orientale sont-elles immédiatement perceptibles.