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Robot Sapiens : homme du futur

Robot Sapiens : homme du futur
Robot Sapiens : homme du futur - Vu 24098 fois. Quelle sera l'évolution de l'homme dans les années à venir ? Des primates aux hommes d'aujourd'hui, nous n'avons plus grand chose en commun avec les singes, et nous nous éloignons même de plus en plus de ces ascendants, grâce aux avancées médicales prodigieuses de ces dernières années. Nous sommes maintenant en mesure de vivre nettement plus longtemps que nos lointains ancêtres, notre taille est d'ailleurs beaucoup plus imposante, nos aliments et nos vêtements sont plus élaborés, au point que nous sommes devenus les maîtres incontestés sur la planète Terre... Si plus grand chose ne peut venir nous contrarier (à part la nature et les maladies nouvelles), quelle sera la vie de nos descendants ? Inutile de préciser que ce débat sur l'eugénisme est vif, qu'il suscite des polémiques au sein de la communauté médicale, mais nous nous approchons à grands pas de cette étape cruciale, et il sera donc certainement possible un jour de devenir un cyborg !

Kenjutsu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Deux maîtres de Kenjutsu exécutent leur kata au temple de Itsukushima-jinja sur l'île sacrée de Miyajima. Notez leur boken spéciaux recouverts de cuir. Le kenjutsu (剣術, kenjutsu? On pratique le kenjutsu généralement sans protections même si parfois on trouve des protections de main ou de tête[2]. Une transmission de koryu[modifier | modifier le code] Au Japon, les anciennes écoles d'arts martiaux (koryū) se sont particulièrement développées au lendemain de la victoire de la dynastie Tokugawa en 1615, même si les plus anciennes remontent au XIIe siècle. Enseignement[modifier | modifier le code] L'enseignement du kenjutsu se fait uniquement par les katas. transmission de l'efficacitéefficacité de la transmission. Enseignement sur mesure[modifier | modifier le code] L'enseignement du kenjutsu se fait au sein d'un koryu. Enseignement double[modifier | modifier le code] Profondeur des bases[modifier | modifier le code]

Musashi Miyamoto Miyamoto Musashi à l'époque Edo Son nom complet était Shinmen Musashi-no-Kami Fujiwara no Harunobu (新免武蔵守藤原玄信?), Musashi-no-kami était un titre honorifique (et obsolète) dispensé par la cour impériale le rendant gouverneur de la province de Musashi (dans la région de l'actuelle Tokyo). Fujiwara est le nom de la lignée aristocratique à laquelle il appartient. Harunobu était un nom cérémoniel, similaire à un prénom composé pour gentilhomme sinisé, notamment utilisé par tous les samouraïs de haut rang et les nobles. Adepte du kenjutsu[modifier | modifier le code] Le grand-père de Miyamoto Musashi était un très bon escrimeur lié au clan Akamatsu par son seigneur Shinmen Iga-no-kami issu du clan Shinmen, qui en récompense lui permit de porter son nom de famille. Pour des raisons obscures, peut-être à cause de la jalousie qu'il avait suscitée autour de lui, Munisai s'éloigna de l'entourage du seigneur Shinmen et se retira dans le village de Miyamoto-mura situé aux alentours. « [...] Sa devise

Samouraï Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Samurai. Samouraï en armure, en 1860. Samouraï (侍, Samurai? Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme « Samouraï », mentionné pour la première fois dans un texte du Xe siècle, vient du verbe "saburau" qui signifie « servir ». On trouve aussi parfois le terme buke : il désigne la noblesse militaire attachée au bakufu (gouvernement militaire), par opposition aux kuge, la noblesse de cour attachée à l'empereur. Histoire[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Jusque-là, le Japon disposait d'une armée fondée sur la conscription, inspirée du modèle chinois. les kugutsu, des nomades qui parcouraient le Japon en vivant de spectacles de marionnettes et d'acrobaties, eux aussi réputés grands cavaliers archers. L'ère Heian[modifier | modifier le code] Premières rébellions[modifier | modifier le code] Guerres dans le nord de Honshū[modifier | modifier le code]

Hagakure Le Hagakure (Shinjitai: 葉隠, Hagakure?, littéralement « à l'ombre des feuilles » ou « caché dans le feuillage[1] ») , ou Hagakure Kikigaki (葉隠聞書, Hagakure Kikigaki?) est un guide pratique et spirituel destiné aux guerriers. Il s’agit d’une compilation des pensées et enseignements de Jōchō Yamamoto, ancien samouraï vassal de Nabeshima Mitsushige. Titre originel[modifier | modifier le code] Le titre complet serait les Paroles de maître Hagakure, peut-être en référence au fait que Jōchō Yamamoto vivait caché, reclus dans une hutte. Le Hagakure est aussi appelé Le Livre du Samouraï et est largement mentionné comme tel dans Ghost Dog, la voie du samouraï, film de Jim Jarmusch sorti en 1999. Contenu[modifier | modifier le code] Le Hagakure est composé de onze chapitres précédés d'une introduction intitulée « Une conversation tranquille au crépuscule ». Les deux premiers volumes rassemblent les préceptes du samouraï. Histoire moderne[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :

Livre des cinq anneaux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Traité des cinq roues Go rin no sho 五輪書 [1] est un traité de sabre, kenjutsu, écrit par Musashi Miyamoto vers 1645. À l'âge de 60 ans, Musashi se retire dans la grotte du Reigandō à Kumamoto pour réfléchir et écrire sur son art. Son ouvrage a acquis auprès des adeptes des arts martiaux le statut de classique de stratégie, à l'instar de L'Art de la guerre de Sun Zi. Comme son illustre prédécesseur, il est aussi étudié pour ses vues philosophiques. Musashi en appelle au sens pratique du lecteur et considère les ornements techniques comme excessifs, en opposition avec la simplicité qu'il recommande. Musashi privilégie l'usage simultané des deux sabres à contre-pied de la tradition qui préfère la tenue du sabre à deux mains[2]. Les cinq livres[modifier | modifier le code] Chapitre de la terre[modifier | modifier le code] Reigandō, la grotte où Musashi rédigea son ouvrage majeur. Réflexion et expérimentation[modifier | modifier le code]

Zen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La calligraphie de l'Enso (jap., Cercle) symbolise dans le bouddhisme zen la vacuité, ou la pratique et l'éveil qui sans cesse se renouvellent (dokan, anneau de la Voie). Le zen est une branche de bouddhisme mahāyāna qui insiste sur la méditation (dhyāna) à partir de la posture assise dite de zazen. Origines[modifier | modifier le code] La légende de l'origine de la tradition zen et de la lignée de ses maîtres remonte à un sermon du Bouddha Shākyamuni à ses disciples alors qu'ils étaient réunis sur le pic des vautours, relaté dans le Sūtra Lankavatara. Liste des patriarches du zen[modifier | modifier le code] Liste rapportée par la tradition des vingt-huit patriarches de l’école avant son arrivée en Chine et liste des sept premiers patriarches du chan chinois : De l'Inde à la Chine[modifier | modifier le code] Une représentation de Bodhidharma Le chan en Chine[modifier | modifier le code] De la Chine à la Corée[modifier | modifier le code]

Bushido Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le bushido[1] est le code des principes moraux que les samouraïs japonais étaient tenus d'observer[2]. En fait, il existe une méprise sur le terme qui désigne le code des samouraï, résidant dans la mystification de certains faits par les historiens, notamment japonais. Parmi les classes existaient les bushi, sous-officiers et officiers inférieurs, et les buke, officiers supérieurs appartenant à la noblesse. Origine du mot[modifier | modifier le code] Bushidō (武士道, Bushidō?) La première mention de ce mot est faite dans le Kōyō Gunkan, écrit aux alentours de 1616 mais l'apparition du bushido est liée à celle de la féodalité japonaise et des premiers shoguns à l'époque de Minamoto no Yoritomo au XIIe siècle. Sources du bushido[modifier | modifier le code] Un code très strict[modifier | modifier le code] La plupart des samouraïs vouaient leur vie au bushido, un code strict qui exigeait loyauté et honneur jusqu'à la mort.

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