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L’open data, made in Rennes

L’open data, made in Rennes
Comment peut-on utiliser les données libérées par Rennes? Quelques exemples sortis du concours de la communauté urbaine comme une appli pour aider les handicapés à se déplacer dans la ville ou une autre pour comparer les points forts des quartiers. Le concours de développement de services et d’applications, initié par Rennes Métropole suite à l’ouverture des données publiques sur le territoire vient de s’achever. Un premier point d’étape s’impose sur les 43 applications et services qui ont participé. Au-delà des exemples de See.Click.Fix et de “Where does my money go?” A l’origine, c’est l’histoire d’un jeu de données, l’un parmi la centaine qui ont été mis à disposition des développeurs. Un trottoir surbaissé cela peut correspondre à une sortie de véhicule (“un bateau” comme on le nomme dans le langage courant), mais aussi à un passage piéton aménagé pour les personnes en fauteuil roulant. L’emplacement des passages piétons ne figure pas dans les jeux de données ouvertes.

Thinking About Africa’s Open Data I love Afrographique, a site I just heard about today that does data visualizations on African data. It’s done by Ivan Colic, a South African designer, as a “small contribution to assist the changing perception of Africa…” What Ivan does is brilliantly delve into the data that’s freely open on the internet to show patterns and information in ways that we might not have noticed if looking at the data in its raw format. The problem that Ivan has, is there’s not always that much information about Africa to use – in fact, some of his maps show big blank spots for countries on the continent with no known data for them. Getting African Data In Kenya, Ushahidi is working on a project about public service delivery and the companies and government entities responsible for them. The entities that hold the most public and infrastructure data are always government institutions. Tonight we had the Permanent Secretary for Information and Communications, Dr.

Dis, papa, c’est quoi l’open data? Nombreux sont ceux qui estiment que le mouvement "open data" aura, à l'instar de l’apparition de l’alphabet, de l'internet ou encore de l'explosion des réseaux sociaux, des répercussions majeures dans nos sociétés. Connu pour ses logiciels non libres, Microsoft a eu la très bonne idée de demander à Regards sur le numérique (RSLN, animé par Spintank), son “laboratoire d’idées, de réflexions et d’expérimentations en ligne“, de se pencher sur la notion d’open data, et donc le partage de données publiques dans des formats ouverts, afin de libérer les données récoltées, ou produites, par les autorités publiques, et de les rendre, si possible gratuitement, à la société, ses citoyens, associations, entreprises privées et administrations publiques. Au menu, très complet, digeste et instructif : une enquête et une trentaine d’articles, que l’on retrouve sur son site ainsi que dans le n° spécial de leur magazine, suivi d’une conférence, intitulée L’Open data, et nous, et nous, et nous ?

Le blog de Réutilisation des données publiques: Comment cataloguer des données publiques ? Le Guide pratique que nous avons publié il y a quelques semaines s'enrichit petit à petit de nouveau contenus. Avant sa deuxième édition nous vous en soumettons ici certains, sous forme d'articles. Aujourd'hui il s'agit d'un article plutôt technique sur la manière de cataloguer des données (voir partie 2.3.2 du guide). C'est un sujet qui se structure progressivement avec la naissance progressive de bonnes pratiques voire de standards. Quelles données pour décrire des jeux de données ? Du point de vue réglementaire, l’article 36 du décret n° 2005-1755 du 30 décembre 2005 stipule que les répertoires des informations publiques doivent préciser, « pour chacun des documents recensés, son titre exact, son objet, la date de sa création, les conditions de sa réutilisation et, le cas échéant, la date et l'objet de ses mises à jour ». A ces critères, on peut en ajouter quelques autres à forte valeur ajoutée, qui sont d'ailleurs utilisés par la quasi totalité des catalogues de données :

Les données publiques sont gratuites par défaut Les données publiques doivent être gratuites par défaut. Séverin Naudet, directeur de la mission Etalab, l'avait annoncé en mars 2011 (lire notre article), et cette mesure vient d'être entérinée par un décret du 26 mai. Les administrations de l'État qui souhaitent “soumettre au paiement d'une redevance la réutilisation d'informations publiques contenues dans des documents produits ou reçus par l'État” devront en faire la demande, qui fera l'objet d'un avis du conseil d'orientation de l'édition publique et de l'information administrative (Coepia). Les informations payantes seront incluses dans une liste publiée sur un site Internet, qui sera fixée par décret. Le gouvernement est très clair : “À défaut d'inscription des informations concernées sur la liste mentionnée au premier alinéa ou à défaut de publication de cette liste, avant le 1er juillet 2012, les redevances instituées deviennent caduques et les titulaires de licences peuvent réutiliser les informations en cause gratuitement.”

Open Data: Empowering the Empowered or Effective Data Use for Everyone? « Gurstein's Community Informatics The open data movement in the area of access to public (and other) information is a relatively new but very significant, and potentially powerful, emerging force. It has now been widely endorsed by among others Tim Berners-Lee generally acknowledged as the Father of the World Wide Web. The overall intention is to make local, regional and national data (and particularly publicly acquired data) available in a form that allows for direct manipulation using software tools as for example, for the purposes of cross-tabulation, visualization, mapping and so on. The underlying idea is that public (and other) data, whether collected directly as part of census collection or indirectly as a secondary output of other activities (crime or accident statistics for example) should be available in electronic form and accessible via the web. There are significant initiatives in this area underway in the US , the UK and Canada among many many other jurisdictions. Like this: Like Loading...

mai « 2011 « Etalab L’Etat français s’empare de l’Open Data. Nicolas Sarkozy a évoqué le sujet en public (pour la première fois?) Inspire Le dernier décret transposant la directive européenne Inspire sur le partage des données géographiques environnementales vient d’être publié. Pour l’essentiel, la directive "Inspire" et donc le nouveau chapitre du code de l’environnement impose aux autorités publiques, d’une part de rendre leurs données géographiques environnementales accessibles au public en les publiant sur Internet, et d’autre part de les partager entre elles. Questions d’usage Question au Ministère de l’Intérieur sur l’utilisation des données des listes électorales. Questionnements sur la vente autorisée des données personnelles de carte grise. Paris Sémantique a récemment été créé afin de compléter le site opendata.paris.fr. La Communauté Urbaine de Bordeaux continue ses ateliers avec les acteurs. Données actuellement disponibles : Données à venir : Applications déjà développées avec ces données :

Open data, democracy and public sector reform A look at open government data use from data.gov.uk (Based on an MSc Dissertation by Tim Davies, July 2010) This is an online report based on an MSc Dissertation at the Oxford Internet Institute by Tim Davies submitted to the University of Oxford, July 2010. It is shared using the Digress.it platform which allows for paragraph level commenting and hyperlinking to elements of the document. A downloadable PDF copy of the report is available here. The original research, underlying data, and further work has been blogged in detail on the Open Data Impacts blog. Abstract: Governments are increasingly making their data available online in standard formats and under licenses that permit the free re-use of data. Update Log 26th August 2010 – First version published ToDo Check formatting & proof-read online copyImprove the management of references using Zotero database of references The last 18 months have seen dramatic developments in the release of open government data (OGD) across the world. 3.3.

Open Data : bientôt un portail d'accès aux données de l'Administration Lundi 4 juillet 1 04 /07 /Juil 19:20 Le 27 juin 2011 nous apprenions par Vie Publique que le portail d'accès aux données publiques déjà annoncé serait mis en place avant la fin de l'année 2011 ! Communiqué de Vie Publique: "Dans le cadre de la politique de modernisation de l’Etat et de développement de l’économie numérique, un portail internet rassemblant les données publiques de l’Etat sera créé d’ici la fin de l’année 2011. Les données publiques correspondent aux informations "contenues dans les documents produits ou reçus dans le cadre de la mission de service public des administrations de l’Etat, des collectivités territoriales et des personnes publiques ou privées chargées d’une mission de service public". Il revient à la mission "Etalab", constituée par un décret du 21 février 2011, de piloter ce projet. Le principe général sera la gratuité de réutilisation des données.

Pour un opendata des usagers » Article » OWNI, Digital Journalism Aujourd'hui, les administrations mènent la danse de l'ouverture des données. Cette politique de l'offre doit être remplacée par une démarche où les usagers demandent directement des comptes à leurs administrations - et où elles leur répondent. Depuis mai 2009 et la mise en ligne de data.gov, l’ouverture des données publiques a avancé à pas de géants. Les catalogues de données publiques se sont multipliés. Le Royaume-Uni a sorti data.gov.uk, la Suède édite opengov.se et même les gouvernements les moins transparents s’y mettent, avec, par exemple, opengovdata.ru en Russie. On compte près de 60 initiatives de ce type à travers le monde, comme le montre la carte collaborative ci-dessous : Voir World Map of Open Government Data Initiatives sur une plus grande carte. Ces catalogues ne sont pas que des concessions faites à quelques activistes. Les perspectives ouvertes par les données publiques sont vertigineuses, comme l’a rappelé Xavier Crouan lors du CapCom de Rennes.

Et la carte de votre ville devient sociale Les newyorkais peuvent maintenant partager leur vision de New York grâce au nouveau site MyBlockNYC. L’idée est de permettre de créer la carte sociale de New York, sa texture et sa culture en uploadant ses propres vidéos représentant un moment de la vie de New York. Créé par deux natifs de New York, Alex Kalman et Alex Rickard, le site propose en effet aux newyorkais résidents de partager leurs vidéos, afin de pouvoir les voir par quartier et ainsi retracer le type de vie de quartier que vous pourrez avoir ou voir. Chaque vidéo “uploadée” permet ainsi de construire le site web et donc la carte bloc par bloc de New York (pas seulement Manhattan). Vous pouvez surfer sur la carte afin de voir les quartiers qui vous intéressent, puis cliquer sur une rue pour voir une vidéo. Enfin, lorsque vous arrêtez la vidéo, vous pourrez découvrir aussi les videos qui sont proches du lieu que vous avez choisit et ainsi continuer votre visite du quartier. La map sociale et participative est en route.

écomobilité, innovation, communauté.: Daniel Delaveau sur l'Open Data à Rennes Ils sont encore peu nombreux ceux, parmi nos hommes politiques, qui prennent position sur l'ouverture des données publiques. En ayant fait confiance à son équipe, en lançant il y a un an la première opération d'ouverture des données publiques et en organisant un concours d'applications, Daniel Delaveau a permis à la ville de Rennes et à Rennes Métropole de se distinguer. Inutile d'attendre les résultats du concours pour constater qu'avec déjà plus de 40 applications proposées, dont certaines sont réellement originales et bien faites, la collectivité est la grand gagnante de l'opération. Dans la vidéo si dessous, Daniel Deleveau s'exprime personellement sur ce sujet qui est souvent considéré, à tord, comme trop technique pour un élu.

REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Bernard Stiegler : l'open data est « un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet » RSLNmag est édité par Microsoft et se consacre à l’analyse et au décryptage du monde numérique.. RSLN : Que représente le développement de l’open data dans la grande aventure du numérique ? Bernard Stiegler : C’est l’aboutissement d’une rupture majeure déjà largement entamée, et qui n’a rien à voir avec les précédentes. Toutes les technologies monopolisées par l’industrie de la culture, au sens large du terme, pendant un siècle, sont en train de passer entre les mains des citoyens. C’est un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet qui, comme technique de publication, c’est à dire de rendu public, est au fondement de la res publica, tout comme à ce qui s’est déroulé après Gutenberg et la Réforme, généralisant l’accès à l’écriture imprimée et au savoir. À présent, toutes les activités industrielles, culturelles et scientifiques laissent désormais une trace numérique que chacun peut exploiter grâce à des outils de plus en plus accessibles. RSLN : L’Open data n’est qu’un maillon de cette révolution… Des idéologies différentes Bernard Stiegler : C’est vrai.

Pourquoi la réutilisation des données publiques à des fins commerciales doit être gratuite « L’annonce de Nantes de rendre ses données publiques payantes pour les réutilisations commerciales a relancé le débat: faut-il faire payer les entreprises ? Cette question a été tranchée à l’étranger où les plateformes nationales et locales présentent des licences d’exploitation gratuites pour tous. Certains pays comme la Nouvelle-Zélande ont d’ailleurs mis en place des systèmes de licence unique gratuite. Si plusieurs licences coïncident en France, les deux initiatives Opendata françaises affichent bien des licences d’exploitation gratuites, y compris à des fins commerciales, à Rennes et à Paris. Nous soutenons que l’accès et la réutilisation des données publiques, y compris à des fins commerciales, doivent être gratuits et voici pourquoi: Le Mouvement Opendata privilégie la gratuité L’Opendata n’est pas une quelconque pratique de mise à disposition de données. Subordonner la réutilisation des données publiques à une licence payante ne relève donc pas des principes du Mouvement Opendata.

Infrastructure for Spatial Information in the European Community Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La directive INSPIRE est la directive 2007/2/CE du Parlement européen et du Conseil du établissant une infrastructure d'information géographique dans la Communauté européenne (INSPIRE). Types d'actions[modifier | modifier le code] La directive INSPIRE, approuvée par le Conseil des ministres de l'Union européenne et par le Parlement européen puis publiée au Journal officiel des Communautés européennes (JOCE) le , est entrée en vigueur le . Elle vise à favoriser l'échange des données au sein de la Communauté européenne dans le domaine de l'environnement pris dans un sens large. Cette première étape de la publication se poursuit maintenant par deux autres : la transposition dans les droits nationaux du texte de l'Union européenne (en théorie d'ici mai 2009),la définition au niveau européen de règles de mises en œuvre, qui seront ensuite directement applicables dans tous les pays de l'Union européenne. Les obligations[modifier | modifier le code]

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