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10 bonnes raisons d’aller sur les réseaux sociaux en B2B

10 bonnes raisons d’aller sur les réseaux sociaux en B2B
Ici comme ailleurs, et mis à part quelques exemples de sociétés qui ont fait cas d’école sur les réseaux sociaux, le chemin est long et difficile : comme toujours en communication, il faut se battre pour espérer un retour. Article rédigé par Cyril Laguiseray Ici comme ailleurs, et mis à part quelques exemples de sociétés qui ont fait cas d’école sur les réseaux sociaux, le chemin est long et difficile : comme toujours en communication, il faut se battre pour espérer un retour. Ceci étant, toutes les entreprises ont une bonne raison d’aller sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse – et la pertinence est différente selon les cas – de blogs, de forums, de réseaux verticaux, d’outils de microblogging, etc. 1. Aller où sont vos clients N’ayons pas honte de l’affirmer, faire plus de business doit rester la priorité numéro 1 et ne doit jamais quitter l’esprit du marketeur, car une entreprise cherche avant tout à faire du profit. 2. 3. 4. Un client qui achète une fois, c’est bien. 5. 6. 7. 8. 9.

Les critères de segmentation Le marché d'un produit ou d'un service est rarement homogène. Selon que les clients sont des particuliers, des entreprises, des collectivités, ils ont des besoins différents et possèdent des habitudes d'achat et de consommation qui leur sont propres. Vous ne pouvez donc espérer vous adresser efficacement et de façon uniforme à l'ensemble des consommateurs. Au contraire, la meilleure option est de personnaliser le plus possible votre offre afin de fidéliser votre clientèle. Pour affiner votre prospection, vous allez déterminer quels consommateurs ont suffisamment de points communs pour créer des sous-ensembles - des sous-marchés -, au sein desquels les ressortissants ont des besoins et/ou des comportements le plus homogènes possible. Mais les critères les plus évidents ne sont pas toujours les plus opportuns. > Quels critères de segmentation pour la clientèle des particuliers ? Ils sont réunis en grandes familles (seuls les moins connus sont ici commentés). Les critères comportementaux :

Which Types of Form Fields Lower Landing Page Conversions? This post is a sneak-peak preview of the upcoming Science of Lead Generation webinar where you'll learn about the real data and science behind getting more leads from your website. Register now to reserve your spot . The goal of landing pages is collect information from visitors to allow them to be potentially converted into a customer. Naturally as marketers or sales people, we want to ask for lots of information from visitors. Users on the other hand want to spend as little time as possible filling out the landing page to get access to the offer they're trying to get. Thus, the number of fields on a landing page is a balancing act between user experience and business needs. I found that as the number of form fields increases, conversion rates decrease slightly, but not as steeply as I expected. Again, to my surprise, I found that there is very little decrease in conversion rate as the number of single line text fields increases.

Social CRM : Pour parler d'ambassadeur de marque, il faut déjà... ... respecter un cercle vertueux du marketing. Aujourd'hui, avec les médias sociaux et la notion de fans sur Facebook, c'est comme si le simple fait d'entrer en conversation avec une marque de manière ponctuelle revenait, dans la tête du responsable de la page, a avoir X milliers d'ambassadeurs potentiels qui sont prêts à relayer les messages de la marque, dans une vision centrée sur la marque et sa part de voix sur Internet. Hé bien, non, ce n'est pas le bon schéma... même si c'est celui auquel certaines agences veulent vous faire croire. Il suffit de voir toutes ses opérations de communication lancées par certaines marques qui s'auto-congratulent d'avoir 100 000 ou 1 million de fans (cf Quand les marques survalorisent leurs fans Facebook) pour douter de leur compréhension de cette notion de fan. Pour en revenir au cœur du sujet, et à l'un des premiers mots de l'article, la notion de cercle vertueux me semble un point important. Pour aller plus loin :

Quand les marques survalorisent leurs fans Facebook – 1ère partie Une étude récemment révélée et relayée sur You don’t know one fifth of your Facebook Friends montrait que les utilisateurs ne connaissaient pas sur Facebook 1/5 de leur réseau d’amis qu’ils ont accepté. En effet, on le sait depuis longtemps que la notion d’amis sur Facebook peut être souvent bien éloignée de la notion première d’amitié dans la vie réelle… Au delà du chiffre, cette étude prouve que, comme pour les marques, bien souvent, les utilisateurs jouent le concours de la popularité en comparant la taille de leur réseau Cette notion fausse d’amis est la même pour les marques avec la notion de fans ou de personnes qui “like”. Depuis quelques mois, les marques multiplient les opérations de communication visant à valoriser leurs fans. Parmi les dernières, je pourrai citer Porsche, Disneyland, L’équipe, Nike…. Facebook permet à des marques de passer derrière la vitre des enquêtes quali et d’enfin rentrer en contact de force ou de gré avec leurs clients. La suite dans quelques jours…

Gestion de crise sur les médias sociaux: le cas du magazine Marie Claire | Digital Reputation Blog Social Media Management , retour sur un cas d’école en gestion de crise sur les médias sociaux. , la pigiste- blogueuse Maura Kelly publie sur le blog du magazine Marie Claire un billet où elle critique ouvertement la taille des vedettes de la série « Mike and Molly » diffusée chaque semaine sur CBS. Elle se prononce sur pour donner en se disant dégoutée de voir des obèses sur le petit écran. La parution de ce post a provoqué un tollé pour les lecteurs habituels du blog, les abonnés du magazine papier ainsi que les téléspectateurs de la série. Les commentaires sur le post de Maura Kelly ne cessent d’augmenter (on compte à ce jour plus de pour la plupart très négatifs), le mur Facebook de Marie Claire a connu les critiques et les réactions les plus virulentes reprochant à la direction de Marie Claire de cautionner les propos de la blogueuse et de ce fait, appellent au boycott du magazine. Pendant plusieurs jours, le mur Facebook de Marie Claire a fait office de mur des lamentations.

27 questions pour penser sa stratégie d'e-réputation Si le web est encore une contrée sauvage pour de nombreux communicants, développer une stratégie d'e-réputation ou d'information/communication nécessite de penser sa stratégie, de définir avant toutes choses certains objectifs à atteindre. Se lancer sans s'être interrogé sur le pourquoi du comment peut vite devenir un frein, ou pire, donner l'impression que le web n'est pas accessible à son organisation... Voici 27 questions à se poser avant de vouloir gérer sa réputation en ligne. Par expérience, l'on s'aperçoit vite que les stratégies les plus efficaces sont celles qui ont été pensées de manière structurée. On pourrait même dire que l'efficacité d'une stratégie ne peut se mesurer que par l'adéquation entre objectifs définis et résultats observés (même si, bien évidemment, le web reste encore en partie mystérieux quant à certaines stratégies qui ont marché ou non). Qui ? ==> Qui sont les récepteurs de ma communication ? ==> Qui relaiera mon message ? Des curators bien évidemment... Quoi ?

La présence des patrons sur Internet bénéficie à l'entreprise Weber Shandwick rapporte l'absence encore importante des chefs d'entreprise sur la Toile. Pourtant, engager un dialogue direct avec les internautes améliore leur image personnelle et celle de leur compagnie. Près des deux tiers des responsables des cinquante plus grandes entreprises mondiales n'engagent encore aucune conversation directe avec les utilisateurs sur le web. Et au total ce sont 90 % d'entre eux qui conservent une communication externe très traditionnelle, révèle une étude du Weber Shandwick. Selon celle-ci, la visibilité en ligne de la plupart de ces PDG reste limitée à ce qui est dit à leur sujet, notamment sur les encyclopédies collaboratives telles que Wikipédia. Des informations auxquelles ils ne contribuent même pas. La visibilité online contribue à la réputation Les PDG américains plus présents socialement sur la Toile Toutefois, seuls 10 % choisissent d'utiliser les réseaux sociaux Twitter, Facebook ou encore LinkedIn.

Petite expérience de laboratoire sur l’information d’aujourd’hui » Article » OWNI, Digital Journalism La dernière conférence de Clay Shirky a été l'occasion pour Marc Mentré d'observer et d'analyser comment l'information à l'ère de l'instantanéité se construit et se diffuse à travers les réseaux sociaux. Prenez une bonne centaine de blogueurs, de spécialistes des médias et des réseaux sociaux, enfermez-les une grosse heure avec un spécialiste des médiaux sociaux, en l’occurrence Clay Shirky, laissez-les twitter pendant la séance, attendez qu’ils interviewent, puis bloguent leurs compte-rendus, commentaires et réflexions… Vous obtenez au bout du compte une parfaite expérience en laboratoire de ce qu’est l’information aujourd’hui, comment elle se construit et se diffuse. Ce mardi 1er février 2011, vers 10 heures du matin, j’ai longuement hésité avant de cliquer sur le bouton bleu pour « publier » mon post rendant compte de la conférence de Clay Shirky, qui s’était tenue la veille chez Microsoft. Tout d’abord, le champ et le lieu de l’expérience. 69 personnes totalisent 190.000 followers

e-reputation :Créer un tableau de bord de réputation :cas pratique.L'exemple de RyanAir. | Digimind Créer un tableau de bord e-reputation:cas pratique. L’exemple de RyanAir. Le 18/02/2011 L’un des outils privilégiés de la Business Intelligence est le tableau de bord décisionnel, permettant de visualiser en un coup d’œil les principaux indicateurs, articles et analyses nécessaires au management quotidien. En Gestion de l’e-réputation, c’est la même chose ! Les tableaux de bord de Web Intelligence synthétisent tous les flux d’informations quantitatives et qualitatives nécessaires au suivi e-réputationnel d’une marque, d’une entreprise, d’une personnalité… Voici un cas pratique de constitution d’un tableau de bord d’e-réputation à travers l’exemple de la compagnie aérienne RyanAir via le logiciel d’e-réputation Digimind. Ce cas (17 pages- Téléchargement gratuit) expose ainsi quelques fonctionnalités de la plateforme Digimind dédiée à la gestion de l’e-réputation (monitoring, analyse, collaboration, diffusion). Télécharger : "Créer un Tableau de bord e-réputation-cas pratique""

Le SEO ne fait pas tout, travaillez votre notoriété Quasiment tous les jours, je trempe jusqu’au cou dans les actions visant à optimiser le positionnement de site sur Google. En revanche, je n’oublie jamais une chose, le SEO ne fait pas tout pour le trafic d’un site. Dernièrement, je lisais les commentaires de Nicolas sur le billet de Laurent Bourrelly relatif aux notions de popularité, de notoriété et d’autorité pour un site web. Je pense que la fixation que font certain sur l’obtention du trafic par Google leur fait perdre de vue d’autres points importants. Plutôt qu’écrire un énième commentaire, j’ai préféré revenir sur ce sujet au travers d’un article dont le mot de la fin pourrait être, » oubliez parfois Google « . Le trafic d’un site Internet Le trafic d’un site internet est composé de plusieurs facettes, on en dénombre généralement trois principales : Les moteurs de rechercheLe trafic directLes liens à partir d’autres sites. Histoire d’oeufs et de panier Est-il besoin de rappeler le vieil adage de nos grands-mères ? Un peu de calcul ?

Nurun - Ifop : Influence des médias sur les décisions d'achats Ces idées qui collent vos communautés Cet article a été publié il y a 3 ans 4 mois 26 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Pourquoi parlez vous d’un livre sur ce blog ? Vous vous posez sans doute la question tant une grande majorité du savoir se trouve sur la toile. Dans la même ligné que Tribus de Seth Godin, les auteurs du livre “Ces idées qui collent” apportent des lumières sur les raisons qui font qu’un message est efficace ou pas. Je vais donc vous parler du livre de 2 frères, Chip Heath, professeur de psychosociologie des organisations à Standford et son frère Dan, conseiller en formation de dirigeants. Un message qui fait mouche obéit à 6 principes. 1. On ne le répètera jamais assez, la simplicité est à la base de tout message qui se retient. Rendez un seul service/promesse identifié bien plutôt que trop de services/promesses et mal. 2. Un message prévisible, attendu, consensuel a peu de chance de susciter de l’attention. 3. 4. 5.

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