France Télécom: Pour la première fois, un suicide a été classé maladie professionnelle par la justice Paru dans leJDD Stéphane Richard, le directeur général de France Télécom. (Maxppp) Le suicide est-il une maladie du travail comme une autre? Le comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles de Besançon (Doubs) vient d’admettre que le décès par pendaison d’un salarié de France Télécom, dans la nuit du 10 au 11 août 2009, était d"origine professionnelle". Cette décision, exceptionnelle, a été notifiée à la famille par la Caisse primaire d’assurance-maladie dans un courrier du 30 mars dernier. L’entreprise, qui dispose d’un délai de deux mois pour contester cette décision, envisage très sérieusement de demander une nouvelle expertise du "cas" Grenoville. Rebondissement inattendu Après un premier classement sans suite, l’affaire Grenoville a connu un rebondissement inattendu. En septembre dernier, le juge bisontin chargé du dossier s’est dessaisi au profit du pôle judiciaire santé publique parisien. Un "crash programme" transformé en crash social M.
Bien-être au travail Sur Mesacosan, nous sommes persuadés que le développement du bien-être au travail est un enjeu majeur pour nos sociétés modernes et nos organisations. Orienté résolument vers l’humain, c’est la place même de l’Homme dans le système productif que nous interrogeons ici. Du point de vue des organisations, développer et investir dans le bien-être au travail est un chemin nécessaire et indispensable pour développer l’efficacité et la capacité d’innovation. Mais développer et investir dans le bien-être au travail c’est aussi reconnaitre et assurer le rôle social que possède chaque organisation humaine. Que ce soit pour favoriser la santé des individus face aux coûts sociaux immenses des maladies professionnelles, mais aussi pour faire du lieu de travail un lieu d’épanouissement complet pour l’être humain et les relations humaines. Ensemble, redonnons sens à cette citation de La Fontaine qui affirmait que « Le travail est pour les Hommes un trésor ».
Bonheur au travail : trois théories divergentes Les chercheurs se cassent la tête depuis des années à propos du bonheur au travail. Trois théories récentes émergent et divergent; qui a raison ? Résumé librement adapté d’un article de Lilian Polderman du journal MT Management Team. Kanter : le bonheur c’est d’être motivé Rosabeth Moss Kanter, gourou du management, professeur à la Harvard Business School et auteur entre autres de : E-voluez! Kanter identifie les trois facteurs de motivation au sein d’une entreprise : “Mastery”, “Membership” et “Meaning” (maîtrise, appartenance et sens). Rao : le bonheur c’est de se sentir responsable Srikumar Rao, auteur de Happiness at Work (Le bonheur au travail) et autrefois professeur à la Columbia Business School, a un autre point de vue. Leadership IQ : le bonheur c’est de ne rien faire Radicalement différente des deux premières théories, la troisième analyse du bonheur au travail provient du cabinet américain de conseil et de recrutement Leadership IQ.
Bien-être au travail : une affaire de management Bien-être au travail, lutte contre le stress, deux notions loin d’être nouvelles : depuis une quinzaine d’années, elles sont pleinement intégrées par les DRH. La nouveauté est dans la façon de les appréhender : cet élément clé de toute politique salariale réussie est devenu un levier stratégique impactant fortement les résultats économiques. Les managers, chevilles ouvrières des transformations, sont une fois encore au cœur de ces nouveaux enjeux.Le bien-être au travail n'est plus un simple gadget, mis en avant par les entreprises pour mieux attirer les nouveaux talents, au même titre que l'implantation d'une salle de sport ou la mise en place d'open-spaces aux couleurs acidulées. Ces dernières années, cet élément clé des ressources humaines est devenu un élément incontournable de toute politique managériale réfléchie et globale, en étant clairement identifié comme un levier potentiel de croissance et d'amélioration des résultats économiques de l'entreprise.
Pourquoi vous ne faites plus confiance à votre entreprise Malgré la multiplication des signes d'accalmie et de sortie de crise, les Français conservent un petit moral en ce début de 2011. Selon l'institut BVA, qui a réalisé du 9 au 16 février 2011 une enquête sur les relations "salariés-employeurs" auprès d'un panel de 1 000 collaborateurs représentatifs de la population active occupée, ils ne sont plus "que" 78 % à se déclarer "assez satisfaits" ou "très satisfaits" de leur emploi actuel, contre 81% en mars 2009. Et les écarts se creusent entre ceux qui semblent tirer leur épingle du jeu et ceux qui se sentent laissés pour compte. Un exemple: 82 % des salariés des catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+) sont contents de leur sort, de même que 83% des managers et 80 % des collaborateurs de PME de moins de 500 salariés. Mais cette proportion passe à 25% dans les catégories sociales les plus modestes (CSP-) et à 36% parmi ceux qui ont plus de trente ans d'ancienneté. Des perspectives d'évolution professionnelle décevantes
Améliorer l’ergonomie du lieu de travail La période estivale s’avère souvent un moment propice pour améliorer les conditions de travail de vos salariés. Des mesures simples peuvent être prises pour permettre à ceux-ci de disposer du cadre motivant pour accomplir leur mission. Dynamique a décidé, dans un volet de trois articles qui seront publiés pendant 3 jours à 16H, de vous donner les clés du bien être des salariés : l’ergonomie du lieu de travail (Partie I), l’amélioration du confort de travail (2) et de l’ambiance de votre entreprise (3) Une mise en place bénéfique La mise en place d’un meilleur cadre de travail est révélatrice de la considération que vous avez pour vos salariés. La question simple qu’il suffit de se poser est pour débuter cette amélioration est : comment aimeriez-vous être traité dans une entreprise ? Celle-ci entraine aussi d’autres avantages pour l’entreprise : moins d’absentéisme, de frais liés à l’incontournable turn-over, de stress et de tension et permet aux salariés d’être plus performants. 1. 2. 3.
C'est prouvé, être heureux au travail améliore la productivité VIE DE BUREAU - Plus un employé est heureux, plus il est efficace dans son travail. Ce n'est pas une surprise, mais c'est ce que démontre une nouvelle étude menée par le département d’économie de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni. En réalisant un certain nombre d'expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l'équipe de chercheur a déterminé que le fait d'être heureux augmentait la productivité de près de 12%. En tout, ce sont 700 participants, divisés en plusieurs groupes, qui se sont prêtés au jeu de différentes expériences. Alors que l'un des groupes s'est vu offrir du chocolat et des fruits, un autre a pu regarder un clip comique. Lire aussi : Les 10 chiffres qui confirment que les cadres vont mal Les sujets ont ensuite été soumis à des tests chronométrés de mathématiques. Travailler mieux et plus vite Quel impact concret de ces conclusions en entreprise?
Motivation au travail : les salariés français de moins en moins motivés En ce milieu d’année 2013, quel constat avons-nous de la motivation au travail en Europe ? Selon le baromètre Edenred-Ipsos, la démotivation au travail affecte toujours les salariés français depuis la crise de 2008… Comment changer la donne quand le chômage pèse sur le moral, que les opportunités de reconversions professionnelles se font rares ? La motivation au travail en France et dans les pays européens Le baromètre affiche une motivation au travail variante d’un pays à l’autre. Alors d’où proviendrait ce manque de motivation ? Un salarié sur deux a placé le niveau de salaire en tête des préoccupations. Comment remotiver les salariés ? Tandis que l’insatisfaction professionnelle gagne du terrain en Europe, le baromètre dévoile une situation plutôt stable en France depuis 2008. En effet, même s’ils sont les plus démotivés, les salariés français se disent « heureux dans leur travail » et « fiers de leur travail » ! Mais globalement, qu’attendent-ils de leur entreprise ?
"Les entreprises ne savent plus ce qu'elles font" Vous lancez une sorte de cri d'alarme dans votre livre "Lost in Management". Faut-il faire le procès du management des trente dernières années ? Non pas le procès, mais amener les entreprises à regarder les choses en face. Vous avez, dites-vous voyagé à travers une vingtaine de cas, sorte d'expédition dans le monde des entreprises. Le monde de l'entreprise n'est pas un monde blanc ou noir. Comment réconcilier les Français avec le travail et plus particulièrement avec le monde de l'entreprise ? Les Français se sont beaucoup interrogés sur la baisse de la valeur travail. Derniers ouvrages parus : "Lost in Management" (2011), "la Fatigue des élites" (2008).
Qu'est-ce qu'une entreprise performante? La performance des entreprises, dans une société industrielle et commerciale, est de savoir produire et de savoir vendre, mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur survie actuelle. Si elles n'avaient pas cette capacité, elles auraient déjà disparues. Alain Juillet, responsable français en charge de l'intelligence économique auprès du premier ministre, nous donne sa vision de la situation dans une interview pour Informatique 01 (N°1768): "Chacun doit comprendre qu'après avoir connu le marché de l'offre pendant des siècles, puis celui de la demande dans la deuxième partie du siècle dernier, nous entrons maintenant dans celui de l'information et de la connaissance. La performance des entreprises dans une société de l'information, est donc de savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients...).
Le bien-être au travail : un sujet d'actualité Qu’est-ce que le bien-être au travail ? Comment améliorer la qualité de vie au travail des salariés ? Pendant longtemps, le travail a été considéré par les salariés comme un simple gagne-pain, un moyen de subvenir à ses besoins sans aucune considération relative au bien-être. Aujourd’hui, le travail a pris une place considérable dans la société et les salariés cherchent à s’y sentir bien. Après la famille, le travail est l’une des composantes essentielles de notre identité*. Qu’est-ce que le bien-être au travail ? Pouvoir s’épanouir dans son métier est devenu une préoccupation forte de nombre d’actifs. Se sentir bien au travail passe donc par plusieurs facteurs : la santé et la sécurité, l’intérêt du travail, la rémunération, la lutte contre le stress, l’ergonomie, l’environnement de travail, les relations entre collègues et avec sa hiérarchie… Un sujet d’actualité L’agence organise chaque année une semaine pour la qualité de vie au travail. Les Français sont-ils heureux au travail ?
Le bien-être au travail, un business florissant Alors que le tabou du mal-être au travail se lève petit à petit, des entreprises s'engouffrent dans la brèche pour proposer des solutions aux entreprises. Une économie juteuse. «Dynamisez vos équipes en cuisinant.» Voici le slogan d'Eat sentive, une société qui propose des animations culinaires aux entreprises. Outre le divertissement, cette activité renforce les liens, créé de la complicité et renforce la créativité, assure son dirigeant Julien Rossello. "Afterworks", cours de sport ou de composition florale entre midi et quatorze heures… Toutes ces activités proposent aux salariés de décompresser, sur leur lieu de travail ou à l'extérieur, mais toujours ensemble. L'indice de bien-être au travail montre l'ampleur de ce problème : le mal-être a coûté en 2013 13 500 euros par salarié et par an aux entreprises, soit «une perte annuelle au niveau national de 200 milliards d’euros ", indiquent Mozart consulting et le Groupe Apici, les créateurs de cet indicateur. Laura Bayoumy