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Investir dans le bien- être au travail favorise la réussite de l'entreprise — Paroles d’entrepreneurs

Investir dans le bien- être au travail favorise la réussite de l'entreprise — Paroles d’entrepreneurs
" Les deux choses les plus importantes n'apparaissent pas au bilan de l'entreprise: sa réputation et ses hommes", affirmait Henry Ford. Florent Bonnel, consultant chez Merlane, explique pourquoi l'entreprise doit croire dans ses salariés et miser sur leur bien-être au travail. Deux ans se sont écoulés depeuis le plan d'urgence contre les risques psychosociaux en entreprise. Devrait paraître en ligne, dès ce mois-ci,un guide à destination des entreprises qui, selon le ministre du Travail Xavier Bertrand," revient dans les détails sur les principales étapes pour arriver au plan d'action antistress". Les risques, le stress, la violence. " Vous faites quoi dans la vie?". Entre les chocs médiatiques, l'effet de simplification qui s'y associe et l'observation de la dégradation d'indicateurs de santé et de sécurité au traval, se constitue la nouvelle classe des "risques psychosociaux". L'intérêt porté à la santé et à la sécurité au travail est durablement installé dans le paysage économique.

Qu'est-ce qu'une entreprise performante? La performance des entreprises, dans une société industrielle et commerciale, est de savoir produire et de savoir vendre, mieux et plus vite que ses concurrents. Aujourd'hui, la plupart des entreprises savent produire et vendre. C'est la raison de leur survie actuelle. Alain Juillet, responsable français en charge de l'intelligence économique auprès du premier ministre, nous donne sa vision de la situation dans une interview pour Informatique 01 (N°1768): "Chacun doit comprendre qu'après avoir connu le marché de l'offre pendant des siècles, puis celui de la demande dans la deuxième partie du siècle dernier, nous entrons maintenant dans celui de l'information et de la connaissance. La performance des entreprises dans une société de l'information, est donc de savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances de ses parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients...).

Conjuguer bien-être, bien faire et bien agir en entreprise Dans le contexte actuel de développement de la qualité de vie au travail (QVT) voulu par le nouveau gouvernement, le bien-être, de plus en plus sous le feu des projecteurs médiatiques, est en train de devenir un sujet à la mode en France (il était temps, cela fait plus de 30 ans que la QVT est un sujet dont on cause chez les Québécois qui comme souvent ont dans ce domaine une belle longueur d’avance sur leurs cousins français). Pourquoi et pour quoi ? Autant il est aisé de répondre à la première question (pourquoi ?) – il s’agit de préserver la santé mentale des travailleurs, trop longtemps négligée par les entreprises en France – autant il est plus délicat de répondre à la seconde (pour quoi ?), car elle suppose de connaître la finalité du bien-être – ce qui est loin d’être évident tant pour les organisations que pour les salariés eux-mêmes. Ensuite, que l’on s’interroge sur le lien éventuel entre bien-être au travail et bien faire son travail. Le syndrome du "salarié gâté"

Moins d'un salarié sur trois se dit « souvent » heureux au travail Selon les résultats du baromètre Ipsos/Edenred "Bien-être et motivation des salariés français en 2011"(*), la satisfaction professionnelle et la motivation des salariés français atteignent des scores historiquement bas. En cause, "un déficit toujours aussi massif en terme de rétribution (la question du pouvoir d'achat et niveau de salaire restent très sensibles), mais aussi la question de l'utilisation des compétences des conditions de l'accomplissement au travail", indique l'étude. Qui précise également que "les blocages structurels du marché du travail sur le long terme empêchent la plupart des salariés de se projeter dans un avenir professionnel". Antoine Solom, directeur général adjoint d'Ipsos Loyalty (photo), commente les résultats de la cinquième édition de ce baromètre. En 2011, moins d'un salarié sur trois se dit "souvent" heureux au travail. Les salariés français expriment de fortes attentes en termes de pouvoir d'achat. Les salariés attendent-ils autre chose ?

Bonheur au travail : trois théories divergentes Les chercheurs se cassent la tête depuis des années à propos du bonheur au travail. Trois théories récentes émergent et divergent; qui a raison ? Résumé librement adapté d’un article de Lilian Polderman du journal MT Management Team. Kanter : le bonheur c’est d’être motivé Rosabeth Moss Kanter, gourou du management, professeur à la Harvard Business School et auteur entre autres de : E-voluez!, a écrit récemment un essai dans la Harvard Business Review dans lequel elle explique que les salariés confrontés à des défis importants seraient de loin les plus heureux. Kanter identifie les trois facteurs de motivation au sein d’une entreprise : “Mastery”, “Membership” et “Meaning” (maîtrise, appartenance et sens). Rao : le bonheur c’est de se sentir responsable Srikumar Rao, auteur de Happiness at Work (Le bonheur au travail) et autrefois professeur à la Columbia Business School, a un autre point de vue. Leadership IQ : le bonheur c’est de ne rien faire

Bien-être au travail : une affaire de management Bien-être au travail, lutte contre le stress, deux notions loin d’être nouvelles : depuis une quinzaine d’années, elles sont pleinement intégrées par les DRH. La nouveauté est dans la façon de les appréhender : cet élément clé de toute politique salariale réussie est devenu un levier stratégique impactant fortement les résultats économiques. Les managers, chevilles ouvrières des transformations, sont une fois encore au cœur de ces nouveaux enjeux.Le bien-être au travail n'est plus un simple gadget, mis en avant par les entreprises pour mieux attirer les nouveaux talents, au même titre que l'implantation d'une salle de sport ou la mise en place d'open-spaces aux couleurs acidulées.

Améliorer l’ergonomie du lieu de travail La période estivale s’avère souvent un moment propice pour améliorer les conditions de travail de vos salariés. Des mesures simples peuvent être prises pour permettre à ceux-ci de disposer du cadre motivant pour accomplir leur mission. Dynamique a décidé, dans un volet de trois articles qui seront publiés pendant 3 jours à 16H, de vous donner les clés du bien être des salariés : l’ergonomie du lieu de travail (Partie I), l’amélioration du confort de travail (2) et de l’ambiance de votre entreprise (3) Une mise en place bénéfique La mise en place d’un meilleur cadre de travail est révélatrice de la considération que vous avez pour vos salariés. Celle-ci entraine aussi d’autres avantages pour l’entreprise : moins d’absentéisme, de frais liés à l’incontournable turn-over, de stress et de tension et permet aux salariés d’être plus performants. Les conseils simples pour améliorer l’ergonomie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Bien-être et entreprise sont-ils des oxymores ? Individualisme ambiant, concurrence acharnée, mondialisation, rigidités législatives sont autant de bonnes raisons pour lever les bras au ciel et constater qu'on n'y peut rien. Il est trop facile d'accuser l'autre et de ne pas balayer devant sa porte. Pour réfléchir au bien-être, il est nécessaire de porter son attention sur la notion d'« être » en entreprise. Ne le nions pas, il y a encore dans nos entreprises trop de comportements managériaux pervers. Dialogue instauré par le management, dialogue social dans le cadre des CHSCT ou dans les CE. Ces pistes attestent que le bien-être ne se décrète pas, il se construit dans la durée et avec constance. Bien-être au travail : clés du succès pour les entreprises où il fait bon travailler Plus les employés sont "heureux" au travail, plus l'entreprise est performante. A priori, ce lien semble évident. Sauf que le bien-être des salariés n'était, jusqu'à récemment, qu'une donnée parmi d'autres, rarement une priorité. Ce n'est plus le cas, à l'heure où les "risques psycho-sociaux" font l'objet de débats nationaux après une série de suicides d'employés de grandes entreprises comme France Télécom. Une étude menée par le cabinet de conseil Bain & Company, sur les entreprises "où il fait bon travailler", détaille le lien entre l'engagement des employés, leur enthousiasme et la performance des entreprises pour lesquelles ils travaillent. Des bénéfices deux fois plus élevés Premier constat : les entreprises du classement établi annuellement par l'institut Hay font des bénéfices jusqu'à deux fois et demi plus importants que les autres. Trouver un sens à son travail L'exemple d'Apple revient d'ailleurs fréquemment comme "modèle" de management efficace. Autonomie et considération

C'est prouvé, être heureux au travail améliore la productivité VIE DE BUREAU - Plus un employé est heureux, plus il est efficace dans son travail. Ce n'est pas une surprise, mais c'est ce que démontre une nouvelle étude menée par le département d’économie de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni. En réalisant un certain nombre d'expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l'équipe de chercheur a déterminé que le fait d'être heureux augmentait la productivité de près de 12%. En tout, ce sont 700 participants, divisés en plusieurs groupes, qui se sont prêtés au jeu de différentes expériences. Lire aussi : Les 10 chiffres qui confirment que les cadres vont mal Les sujets ont ensuite été soumis à des tests chronométrés de mathématiques. Travailler mieux et plus vite "Des entreprises comme Google investissent davantage dans le soutien des employés, et le résultat, c'est que ces derniers étaient globalement satisfaits", explique Andrew Oswald, l'un des directeurs de recherche.

Motivation au travail : les salariés français de moins en moins motivés En ce milieu d’année 2013, quel constat avons-nous de la motivation au travail en Europe ? Selon le baromètre Edenred-Ipsos, la démotivation au travail affecte toujours les salariés français depuis la crise de 2008… Comment changer la donne quand le chômage pèse sur le moral, que les opportunités de reconversions professionnelles se font rares ? La motivation au travail en France et dans les pays européens Le baromètre affiche une motivation au travail variante d’un pays à l’autre. Alors d’où proviendrait ce manque de motivation ? Un salarié sur deux a placé le niveau de salaire en tête des préoccupations. Comment remotiver les salariés ? Tandis que l’insatisfaction professionnelle gagne du terrain en Europe, le baromètre dévoile une situation plutôt stable en France depuis 2008. En effet, même s’ils sont les plus démotivés, les salariés français se disent « heureux dans leur travail » et « fiers de leur travail » ! Mais globalement, qu’attendent-ils de leur entreprise ?

Bien-être au travail Sur Mesacosan, nous sommes persuadés que le développement du bien-être au travail est un enjeu majeur pour nos sociétés modernes et nos organisations. Orienté résolument vers l’humain, c’est la place même de l’Homme dans le système productif que nous interrogeons ici. Du point de vue des organisations, développer et investir dans le bien-être au travail est un chemin nécessaire et indispensable pour développer l’efficacité et la capacité d’innovation. Mais développer et investir dans le bien-être au travail c’est aussi reconnaitre et assurer le rôle social que possède chaque organisation humaine. Que ce soit pour favoriser la santé des individus face aux coûts sociaux immenses des maladies professionnelles, mais aussi pour faire du lieu de travail un lieu d’épanouissement complet pour l’être humain et les relations humaines. Ensemble, redonnons sens à cette citation de La Fontaine qui affirmait que « Le travail est pour les Hommes un trésor ».

Les salariés aspirent au bien-être en entreprise Selon un sondage Mediaprism pour le think tank "La Fabrique Spinoza" et "Le Laboratoire de l'égalité" publié ce 18 avril, l’égalité professionnelle est un facteur important du bien-être au travail. L'épanouissement en entreprise est plébiscité tant par les hommes que par les femmes. Il passe aussi par l’égalité professionnelle, selon eux. Neuf femmes sur dix et huit hommes sur dix le reconnaissent. Mais il règne pourtant un certain scepticisme quant à l’application réelle de ce principe d’égalité. 91% des femmes interrogées qui jugent ce point "important" et 84% des hommes partagent leur avis. Selon l’étude, les hommes ont tendance à fantasmer le bien-être au travail et y croient plus que leurs homologues féminines. Dans le détail, les hommes ont tendance à être plus négatifs ou déçus que les femmes. 73% des femmes et 74% des hommes estiment que le bien-être au travail est un concept rare.

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