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Socionics

Socionics
Socionics, in psychology and sociology, is a theory of information processing and personality type, distinguished by its information model of the psyche (called "Model A") and a model of interpersonal relations. It incorporates Carl Jung's work on Psychological Types with Antoni Kępiński's theory of information metabolism. Socionics is a modification of Jung's personality type theory that uses eight psychic functions, in contrast to Jung's model, which used only four. These functions process information at varying levels of competency and interact with the corresponding function in other individuals, giving rise to predictable reactions and impressions—a theory of intertype relations.[1] The central idea of socionics is that information is intuitively divisible into eight categories, called information aspects or information elements, which a person's psyche processes using eight psychological functions. History[edit] Organizations[edit] There are several socionics organizations.

Pourquoi le rouge nous rend raides dingues Imaginons six sextuplées de 23 ans dans une petite ville isolée des Etats-Unis. Comme l'endroit manque de jeunes célibataires disponibles, les jeunes femmes s'inscrivent sur un site de rencontre. Les photos qu'elles présentent sont presque identiques, sauf que chacune porte un tee-shirt d'une couleur unie différente. En ne prenant que ces portraits en compte, on aurait tendance à croire que ces six profils susciteraient le même intérêt... et on se tromperait lourdement. Les hommes s'essayaient à l'art de la cour depuis des millénaires quand Gary Kremen jeta un pavé dans la mare avec la création, en janvier 1995, du premier site de rencontre en ligne, Match.com. publicité Loin du rythme effréné de la rencontre en face à face, les sites permettent de prendre tout son temps pour choisir des photos flatteuses, peaufiner sa présentation et confectionner de jolis messages. L'habit fait la séduction Le taux de réponse dépend beaucoup du choix des mots. Le test des auto-stoppeuses Adam Alter

Home Duality Relations INTp and ESFp by Stratiyevskaya ILI – INTp – Balzac (Ni-Te) SEE – ESFp – Napoleon/Caesar (Se-Fi) 1. ILI-SEE. SEE's main program: the power of "goodwill", the power of "the forces of good". SEE's program is evolutionary, democratic, positivist. SEE's position: "Give the power to those who are strong, kind, and successful (to those who have earned it) - let him be the leader, let him humanely and positively transform society and protect it against all possible hostile attacks." Populist ideas of this program allow it to be successful during the initial stages of its implementation, when power is being swayed, and retains its popularity until its seemingly simple and accessible "recipes" for "universal happiness" start to disappoint ...

Les deux formes d’expression du haut potentiel intellectuel chez l’enfant | Psyrene Haut potentiel intellectuel chez l’enfant Laboratoire Santé, Individu, Société, EAM-4128, Psychologue, Docteur en Psychologie, Chercheur Associé. Présenté parFanny Nusbaum « Le monde ne vaut que par les ultras et ne dure que par les modérés » Paul Valéry La littérature a longuement décrit le profil cognitivo-comportemental type de l’enfant à Haut Potentiel Intellectuel (HPI). La prise en compte d’un second profil cognitivo-comportemental inhérent au HPI nous semble ainsi primordiale. C’est pourquoi nous nous attellerons dans cet exposé à présenter en détail les deux profils relatifs au HPI : D’abord le profil le plus répandu, que nous appellerons « Complexe », puis le profil Laminaire. Outre un QI Total supérieur à 125/130, communément admis pour valider le HPI en général, c’est l’observation d’une majorité des caractéristiques décrites qui déterminera surtout l’appartenance d’un sujet à l’un ou l’autre de ces profils (Terrassier et al., 2005). HPI- Profil Complexe Cognition Comportement

SOCIONICS: Personality Types and Relationships Kazimierz Dabrowski's Theory of Positive Disintegration Introduction to Social Influence, Persuasion, Compliance & Propaganda This portion of the Working Psychology website offers a brief introduction to a big topic: social influence, the modern, scientific study of persuasion, compliance, propaganda, "brainwashing," and the ethics that surround these issues. Although these topics aren't always simple (it is, after all, science), I've done my best to make this introduction interesting. Since Aristotle recorded his principles of persuasion in Rhetoric, humans have attempted to define and refine the principles of successful influence. Persuasion has been studied as an art for most of human history. The comparatively young science of social influence, however, can trace its roots to the second world war, when a social psychologist named Carl Hovland was contracted by the U.S. Armed Forces to bolster the morale of soldiers. Social scientists attempt to support any assertion with facts. Want a few examples of how social influence works in the real world before you continue? Copyright © 2002 by Kelton Rhoads, Ph.D.

Ego Depletion The Misconception: Willpower is just a metaphor. The Truth: Willpower is a finite resource. Forever Alone by Lysgaard(Source: Lysgaard) In 2005, a team of psychologists made a group of college students feel like scum. The researchers invited the undergraduates into their lab and asked the students to just hang out for a while and get to know each other. The students divided into same-sex clusters of about six people each and chatted for 20 minutes using conversation starters provided by the researchers. The researchers – Roy F. The scientists individually told the members of one group of randomly selected people, “everyone chose you as someone they’d like to work with.” The task, the whole point of going through all of this as far as the students knew, was to sit in front of a bowl containing 35 mini chocolate-chip cookies and judge those cookies on taste, smell, and texture. This was the actual experiment – measuring cookie consumption based on social acceptance. Source: Wikimedia Commons

Notre civilisation a t-elle rendu l’humanité moins intelligente ? La simplicité de la vie moderne nous rend plus stupides, selon une théorie scientifique qui affirme que l’humanité a pu avoir atteint son pic intellectuel et émotionnel dès 4 000 avant Jésus-Christ. Depuis que les humains modernes ont émergé de l’évolution difficile de nos ancêtres antiques, nos corps et nos esprits se sont transformés sous la pression de la sélection naturelle et sexuelle. Mais que dire de l’intelligence humaine ? Notre capacité cognitive a t’elle augmenté de façon constante depuis que nos ancêtres ont taillé les premiers outils en pierre ? Ou est ce que notre plus brillante illustration de l’intelligence est maintenant derrière nous ? Gerald Crabtree, généticien à l’Université de Stanford en Californie, pari sur cette dernière hypothèse. Nos prouesses intellectuelles ont probablement régressé depuis l’invention de l’agriculture permettant la montée d’une grande densité de vie humaine, selon Crabtree. Au cœur de la pensée de Crabtree émerge une idée simple.

Quel type d’intelligence mesurent véritablement les tests de QI ? Voici une étude récente qui viendra idéalement compléter le précédent article du Guru : notre civilisation a-t-elle rendu l’humanité moins intelligente ? Tous les dix ans, le QI moyen augmente d’environ 3 points. Le psychologue James Flynn a passé des décennies à documenter ce fait étrange, qui a finalement été surnommé l’effet Flynn. La question est : l’effet Flynn veut-il dire qu’on devient plus intelligent ? Mais certains penseurs s’accrochent à l’idée que le QI mesure une intelligence innée qui transcende la culture et la scolarisation. Ainsley Mitchum du département psychologie de l’université de Floride, qui vient de publier son étude (lien plus) avec son collègue Mark Fox, a examiné l’évolution dans les performances des matrices progressives de Raven, la partie des tests de QI qui mesure notre capacité à penser de façon abstraite. Les personnes qui ont obtenu des résultats moyens il y a 50 ans seraient inférieures à la moyenne aujourd’hui. Pourquoi ? Selon Mitchum :

Les mathématiques peuvent être physiquement douloureuses pour certaines personnes Pour de nombreuses personnes, le simple fait de penser à des problèmes mathématiques est horrible et même douloureux. Une étude menée par les psychologues, Ian Lyon et Sian Beilock, a démontré que ce n’est pas une hyperbole : certaines personnes n’aiment pas pratiquer les maths parce que l’idée même de travailler avec des chiffres est vécue d’une manière semblable à la douleur physique. Pour les personnes ayant des niveaux élevés d’anxiété envers les mathématiques (HMA pour “high levels of mathematics-anxiety”), les mathématiques font mal. Le Guru remplacera les termes anglais cités dans l’étude – HMAs : “High levels of Mathematics-Anxiety” par GAM : “Grande Anxiété pour les Mathématiques” et LMAs : “Low Anxiety about Mathematics” par FAM : “Faible Anxiété face aux Mathématiques”. L’hypothèse était que le fait de s’attendre à avoir à faire des mathématiques générait de l’anxiété, ce qui à son tour entrainerait la douleur. Dans la conclusion, Lyon écrit :

Synesthésie : Pourquoi l’évolution a t’elle permis à certaines personnes de gouter les mots ? Curieusement, il y a exactement un an jour pour jour, je décrivais la synesthésie en donnant une preuve que l’aura existe pour certaines personnes. Aujourd’hui deux informations concernant ce phénomène, une étude et une sympathique expérience, se sont télescopées dans le temps… Je vous propose donc de les découvrir ensemble. Synesthésie et évolution. Un phénomène neurologique, qui emmêle les sens, par lequel certaines personnes entendent les couleurs et goutent les mots (et bien d’autres enchevêtrements) pourrait donner des indices importants afin de comprendre comment le cerveau est organisé, selon une nouvelle étude. Cette fusion sensorielle, appelée synesthésie, a d’abord été scientifiquement documentée en 1812, mais elle était largement incomprise, avec de nombreux experts pensant que cet état était une forme de folie douce. Ci-dessous : une IRM de diffusion du cerveau présentant les faisceaux de fibres nerveuses. Photo de Matt Biddulph. La présentation du projet :

| Ce manifeste est un exercice de style servant de contexte pour présenter l’articulation d’une terminologie qui permette de questionner la dimension sociale et politique d’une singularité mentale jusqu’à présent abordée avant tout sous l’angle psychologi

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