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Henri Bergson (1859-1941) philosophe français

Henri Bergson (1859-1941) philosophe français
Henri Bergson, “Camille BOS. — Psychologie de la croyance, 1 vol. in-18. Paris, Félix Alcan, 1902.” in Revue philosophique, XXVIIe année, n° 7-12, juillet-décembre 1902, pp. 529-533. Compte rendu. Henri Bergson, Durée et simultanéité. Henri Bergson, Les deux sources de la morale et de la religion (1932). Henri Bergson, L'énergie spirituelle. Henri Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience (1888). Henri Bergson, L'évolution créatrice (1907). Henri Bergson, Le rire. Henri Bergson, Matière et mémoire. Henri Bergson, La pensée et le mouvant. Henri Bergson, “La philosophie française” (1915). Related:  Bergson

Auteur:Henri Bergson La bibliothèque libre. Henri Bergson Bergson, Henri Henri Bergson 02.jpg Philosophe français, prix Nobel de littérature 1859 1941 Œuvres[modifier] Articles[modifier] De la simulation inconsciente dans l’état d’hypnotisme, in Revue philosophique, novembre 1886Guyau — La Genèse de l’idée de temps, in Revue philosophique, janvier 1891Compte rendu des Principes de métaphysique et psychologie de Paul Janet, in Revue philosophique, novembre 1897Note sur les origines psychologiques de notre croyance à la loi de la causalité, 1900La Philosophie française, La Revue de Paris, livraison du 15 mai 1915, pp. 236-256 Conférences[modifier] La Perception du changement, conférences faites à l’Université d’Oxford les 26 et 27 mai 1911 Gifford Lectures (Édimbourg, 1914) Discours[modifier] Études[modifier] Extraits de Lucrèce avec un commentaire, des notes et une étude sur la poésie, la philosophie, la physique, le texte et la langue de Lucrèce, 1884 Thèse[modifier] Quid Aristoteles de loco senserit, 1889 Philosophie

Instinct, intelligence et intuition Instinct et intelligence Si nous pouvions nous dépouiller de tout orgueil, si, pour définir notre espèce, nous nous en tenions strictement à ce que l'histoire et la préhistoire nous présentent comme la caractéristique constante de l'homme et de l'intelligence, nous ne dirions peut-être pas Homo sapiens, mais Homo faber . En définitive, l'intelligence, envisagée dans ce qui en paraît être la démarche originelle, est la faculté de fabriquer des objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils et, d'en varier indéfiniment la fabrication. Maintenant, un animal inintelligent possède-t-il aussi des outils ou des machines ? Oui, certes, mais ici l'instrument fait partie du corps qui l'utilise. Les avantages et les inconvénients de ces deux modes d'activité sautent aux yeux. [...] Les philosophes distinguent entre la matière de notre connaissance et sa forme. Il se dépassera cependant moins qu'il ne le voudrait, moins aussi qu'il ne s'imagine le faire. [...] [...]

Henri Bergson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Henri-Louis Bergson Philosophe Occidental Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Henri Bergson, normalien, avec une vie assez discrète de professeur de philosophie honoré à la carrière internationale reconnue, a également joué un rôle intellectuel et a eu une influence dans la conception de la Société des Nations. Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Henri Bergson est né à Paris, rue Lamartine. Le professeur[modifier | modifier le code] Essai sur les données immédiates de la conscience (Thèse, 1889) Quid Aristoteles de loco senserit (Thèse, 1889) Bergson dédicaça l'Essai à Jules Lachelier, alors ministre de l’instruction publique, qui était un fervent défenseur de Félix Ravaisson, et l’auteur d’un ouvrage philosophique Du Fondement de l'induction paru en 1871 (Lachelier était né en 1832, Ravaisson en 1813 et ils furent tous deux professeurs à l’École normale supérieure). Le philosophe[modifier | modifier le code]

Bergson - Homme et nature « L'homme est le seul animal dont l'action soit mal assurée, qui hésite et tâtonne, qui forme des projets avec l'espoir de réussir et la crainte d'échouer. C'est le seul qui se sente sujet à la maladie, et le seul aussi qui sache qu'il doit mourir. Le reste de la nature s'épanouit dans une tranquillité parfaite. Plantes et animaux ont beau être livrés à tous les hasards, ils ne s'en reposent pas moins sur l'instant qui passe comme ils le feraient sur l'éternité. De cette inaltérable confiance nous aspirons à nous quelque chose dans une promenade à la campagne, d'où nous revenons apaisés. Mais ce n'est pas assez dire. Henri Bergson : Les deux sources de la morale et de la religion, 1932. Introduction : Tout bien se paie au prix fort. I) Première différence. Elle se décline de trois manières. Le caractère hésitant de l'action humaine au caractère assuré de l'action animale. La conscience que l'homme a de sa finitude à l'inconscience des plantes et à l'absence de conscience de soi de l'animal.

Henri Bergson, antidote à la dépression, actualité Débats : Le Point Bergson et la nature Philosophie générale, philosophie religieuse et philosophie politique se mélangent étroitement chez Bergson (sans du tout se confondre). C'est pour cette raison qu'il en vient à parler de démocratie (et d'autres régimes politiques, comme la monarchie et l'oligarchie) dans "Les deux sources de la morale et de la religion". A propos de ce titre, ce n'est évidemment pas un hasard, si le mot "morale" précède le mot "religion". Bergson se représente la religion comme une conséquence (ou si l'on veut, une "exigence" )de la morale. Ce n'est pas tout à fait nouveau. jean-paul yves le goff démocrate utopiste républicain réaliste militant anarcho-monarchiste

Trois lettres de Henri Bergson à Gilles Deleuze C’est sans commentaire particulier que nous présentons ici le texte de trois lettres autographes inédites adressées par Henri Bergson au jeune Gilles Deleuze. Ces documents d’une densité exceptionnelle sont une contribution importante à la compréhension de la méthode philosophique de Bergson, mais ils témoignent tout autant du rôle qu’a pu jouer celle-ci dans la genèse de la pensée deleuzienne. Nous devons aux responsables du fonds Henri Bergson de l’Oxford Philosophical League l’aimable autorisation de les reproduire : qu’ils en soient vivement remerciés. Elie DURING Villa Montmorency, 18 Avenue des Tilleuls, Auteuil-Paris [sans date] Cher Monsieur, Je ne voulais pas vous remercier pour l’aimable envoi de votre ouvrage avant d’avoir trouvé le temps de le lire. Concernant l’usage du concept d’intuition, vous m’avez fort bien compris. Enfin, disais-je, le temps est réel. J’ai été tout particulièrement sensible aux passages que vous consacrez à L’Évolution créatrice. Cher ami,

La nouveauté radicale chez Bergson Une discussion récente avec une personne chouette m’a ré-aiguillé sur une lecture qui m’avait intéressé et dont j’avais souhaité extraire un article sans en trouver le courage. Ce livre c’est La pensée et le mouvant, de Bergson, ouvrage dans lequel la notion du temps et de la nouveauté qui lui est liée sont abordés d’une façon très stimulante. Bergson y revisite notamment la notion de temps en remettant fortement en cause la vision produite jusqu’alors, pour en proposer une appréhension dont il est possible de tirer beaucoup d’idées périphériques. Sa première et principale critique, dont découle les autres m’a-t-il semblé, se concentre sur une vision philosophique du temps qui le restreint à une succession d’instants. Le temps n’y est pas vu comme un flux, mais comme une suite d’évènements que l’on peut découper à l’envie en petites ou grandes parties, mais toujours en conservant cette notion de découpage et donc de succession d’instants, de photos figées en quelque sorte.

Bergson : le langage et la simplification du monde Sujet d’explication de texte proposé aux élèves de section S en DST le 21 octobre 2006 Quatre copies seulement ont examiné ce texte, qui ne présentait pourtant aucune difficulté majeure. Une connaissance correcte des cours sur la conscience et sur le langage suffisaient pour réussir. Expliquer le texte suivant : Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. 1. 1.1. Bergson expose dans ce texte comment le langage accentue l’écart entre la réalité du monde et la représentation que nous nous en faisons. 1.2. Selon l’habitude de Bergson, le texte est rédigé dans un style limpide. 1.3. 1.4. D’où nous vient cette impression que le langage échoue parfois à traduire nos pensées ou nos sentiments ? 1.5. Ensuite (à partir de « Et ce ne sont pas seulement… »), il transpose le problème au cas particulier de nos propres sentiments. 2. 2.1. 2.2. 2.3.

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