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PESTEL : outil de diagnostic stratégique

PESTEL : outil de diagnostic stratégique
Voici le premier d’une petite série d’articles sur les outils utilisés de façon courante en diagnostic stratégique. Le but sera en priorité d’illustrer l’intérêt de ces outils, plus que d’expliquer dans le détail leur utilisation. Pour nous échauffer nous allons parler de l’analyse PEST ou PESTEL. Cette analyse recense les risques et opportunités que l’entreprise peut voir surgir dans son environnement au travers de quelques grandes forces structurantes : la politique, l’économie, le social, la technologie, l’environnement et la législation. Plusieurs variantes existent, mais essentiellement ce sont là les points importants : Pour être honnête le PESTEL est souvent extrêmement sous-estimé par mes clients, avec des raisons diverses mais qui sont souvent un cocktail de ce type : “l’outil est trop simple pour être utile, et de toute façon il pourquoi perdre du temps à lister ce qui va affecter de la même façon les concurrents”. Et nous n’avons pas fait ici une analyse complète. Related:  Sciences de gestion

Le leadership clef de voûte de la démarche RSE articles liés Constant Calvo Nombreux sont les experts qui critiquent les business schools et les accusent d’être incapables de préparer les nouvelles générations à devenir les futurs leaders de la responsabilité sociétale; ou qui fustigent les lenteurs de la mise en œuvre de l’égalité hommes femmes, et les résistances individuelles, collectives et systémiques qu’elle suscite, dans la mesure où ces dernières particulièrement engagées et impliquées dans les objectifs du développement durable et de la RSE font preuve de leadership. Lorsqu’on parle de leadership on est enclin à penser qu’il s’agit nécessairement d’une personne physique, et, de ce point vue, on tend à entretenir la confusion sinon l’amalgame entre leadership et charisme. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le leadership n’est pas une qualité ou compétence seulement associée à un individu, mais aussi à l’entreprise. Les médias du groupe Finyear

Le web marketing : escroquerie ou illusion ? J’éprouve toujours une certaine méfiance quand on commence à parler de web marketing autour de moi. Honnêtement je ne crois pas au concept tel qu’il est généralement vendu aux entreprises : une opération mystérieuse qui va permettre de créer une identité « online », de générer du « buzz » et de créer in fine du « ROI ». Tout cela avec des outils technologiques hyper sensibles et à changement hyper véloce. Outils dont la nature impliquent donc que l’on saura toujours mieux faire que le client, qui lui n’a pas le temps de réapprendre les arcanes du web toutes les semaines… Au final c’est souvent l’image du pachinko qui me vient à l’esprit. Or même si le web est un terrain de jeu complexe aux règles parfois absurdes, pour les entreprises, il n’en reste pas moins que les mécanismes sous-jacents sont assez simples et n’ont que peu changé depuis des années. Je vous propose donc une présentation qui me sert assez souvent en ce moment pour des clients dans l’univers du 2.0 et du web social.

Le marché des avions grossit, le duopôle Airbus-Boeing s’effrite... - Aéronautique Les besoins en avions n’ont jamais été aussi forts, le marché aussi porteur. De quoi contenter les géants Airbus et Boeing. Mais aussi les nouveaux acteurs qui comptent bien profiter du boom... Le ciel est si bien dégagé, qu’aucun nuage ne semble le menacer. Airbus vient de publier ses prévisions de demandes mondiales d’avions pour les vingt prochaines années. Sans surprises, cette croissance sera essentiellement tirée par les émergents qui voient dans l’aviation un outil pour soutenir leur développement économique. De nouveaux entrants qui se bousculent "Un cinquième de la population des marchés émergents effectue un vol par an et, d’ici 2032, ce taux passera à deux tiers", peut-on lire dans le document d’Airbus, citant John Leahy, directeur des ventes. Quels industriels profiteront de cette envolée des commandes ? Mais les nouveaux entrants ne comptent pas faire éternellement de la figuration. Les long-courriers comme dernier rempart Olivier James

Voici comment les grandes entreprises motivent leurs salariés Travailler chez Google, Microsoft ou Facebook, ça en fait rêver plus d’un. Dans la majorité des classements sur les entreprises où il fait bon travailler, ces multinationales caracolent généralement en tête de liste. Question d’image, de moyens financiers mis à disposition, de fidélisation des employés et d’attraction des meilleurs talents de ce monde. Et oui car pour attirer les meilleurs candidats, il faut les choyer, leur proposer des avantages qu’ils ne trouveront pas ailleurs, les faire se sentir unique, leur montrer que l’entreprise est (quasiment) prête à tout pour qu’ils se sentent bien. Motivation au travail rime avec avantages! Voici une infographie très complète réalisée par NexGeneration sur la manière dont ces grandes entreprises motivent leurs collaborateurs. Avantage proposés aux salariés de Google, Airbnb ou encore Facebook (Source: Nextgeneration) La bonne réputation d’une entreprise sur son environnement de travail, élément déterminant pour les candidats

Ecommerce : Les types d'acheteurs en ligne Définition de l’acheteur en ligne Toute personne ayant effectué un acte d’achat directement sur un site web ou indirectement dans un magasin réel suite à une recherche d’informations relatives à cet achat sur le web. Que pensez-vous de cette définition ? Proposez la votre en commentaire si elle ne vous semble pas complète ! Classification des e-acheteurs Selon une étude (Mc Kinsey), les internautes, acheteurs peuvent être classés en sept groupes : - Les Accros : Ce sont les plus gros utilisateurs mais sont seulement 11% du total. « Pour eux, Internet est un loisir, ils l’utilisent pour tout et tout le temps. - Les Explorateurs : Ils représentent le segment le plus vaste avec 26% des internautes. - Les Pragmatiques : 21% du total. - Les Communicants : 22% du total. - Les Info-glaneurs : 14% du total. - Les Marchandeurs : 3% du total. - Les Monomaniaques : 3% du total.

Comment booster sa prospection ? Dans encore de (trop) nombreuses entreprises la prospection est encore gérée de manière artisanale : on confie aux nouveaux commerciaux un fichier Excel avec une liste de clients, un téléphone portable et une voiture… et après une formation sur le tas on l’envoie sur le terrain… On trouve la preuve de cet « amateurisme » dans de nombreuses études, comme par exemple celles du Mercator ou le Portail des PME menées en 2009, qui ont présentés des chiffres étonnants lorsque l’on sait que pour 85% des entreprises le développement du chiffre d’affaires est la priorité N°1 : – 50% des entreprises déclarent relancer leurs devis uniquement si elles en ont le temps. – 23% n’ont pas planifié un cadencement d’opérations commerciales dans l’année. – … Or la prospection doit être structurée et optimisée pour assurer un maximum d’efficacité à l’entreprise. Il doit y avoir un vrai travail de connaissance du client et de l’analyse de ses motivations. La Pyramide de la Prospection Cas clients : En conclusion…

Comment fidéliser ses salariés autrement que par l’argent ? Selon une étude américaine, le départ volontaire d’un salarié causerait une perte comprise entre la moitié de son salaire annuel et jusqu’à trois fois son salaire (dans le cas par exemple d’un commercial qui part avec ses clients). Ces chiffres ne prennent pas en compte les effets négatifs d’un tel départ sur le reste de l’équipe, dans les entreprises de moins de 20 salariés. La fidélisation des salariés est donc un enjeu majeur pour une entreprise, quelle que soit sa taille. Envisagez vos collaborateurs comme des clients Pour fidéliser ses salariés, il faut commencer par accepter un principe simple : les salariés sont les clients du service de ressources humaines. N’oubliez jamais que les deux critères qui priment le plus souvent pour les salariés ce sont les opportunités de carrière au sein de l’entreprise et l’équilibre vie privée/vie professionnelle. Managez vos managers Ménagez un cadre optimal de travail Prenons l’exemple de Google. Pensez aux avantages en nature défiscalisés

L'Europe veut-elle tuer le e-commerce ? Le commerce en ligne, c’est aujourd’hui environ 10% des transactions en Europe. D’après plusieurs spécialistes (notamment J.A. Granjon), le potentiel de croissance reste énorme. Cependant, l’Europe présente des règles différentes selon les pays. Une simplification est donc en cours, qui risque d’avoir des répercussions économiques fortes pour ce secteur. Article rédigé par Cyril Bladier. Le commerce en ligne, c’est aujourd’hui environ 10% des transactions en Europe. Cette différence de règles pénalise à la fois les consommateurs et les entreprises. 1 mois de réflexion Aujourd’hui, les clients ont 7 jours pour retourner un article. Remboursement anticipé Malgré ce délai d’un mois accordé aux clients, les sites marchands n’auront que 14 jours (après la notification) pour rembourser. 2 à 3 fois plus de retours Si la commande dépasse 40 €, c’est au commerçant de prendre en charge les frais de retourn en plus des frais de livraison. Rien n’est encore joué

Quand les salariés peuvent concrétiser un projet personnel sur leur temps de travail – Google Attirer des talents, c’est bien, les garder, c’est mieux. Mais comment fidéliser un nouveau collaborateur a qui l’on a demandé de ne pas hésiter à bousculer les habitudes, à être force de proposition et à prendre des initiatives lorsque le mode d’organisation cantonne chacun à un rôle bien précis et le style de management est basé sur le respect des règles, notamment celles relatives au processus décisionnel ? Si bon nombre d’entreprises, conscientes de la nécessité de se montrer attractives pour capter l’attention des talents dont ils ont besoin pour construire leur avenir, se lancent de Il est fréquent de noter un écart entre la « marque employeur » et la réalité du quotidien. Aussi, les entreprises qui veulent « capter » et « fidéliser » de nouvelles recrues qui débordent d’énergie et d’imagination n’ont d’autre choix que de créer les conditions de la « liberté d’entreprendre ». On note deux pratiques en la matière. Quels sont les avantages de cette démarche ? Pour l’entreprise :

Le M-marketing à travers le monde | Marketing Cet article a été posté par Savinien le 25 mars 2011 à 10:25 Les analystes l’avaient prévu, le web 2.0 laissera place au 3.0 ou l’Internet mobile ! Après les smartphones (représentant 27% du marché du mobile), les tablettes tactiles ont fait leur arrivée avec l’iPad. Une infographie de Microsoft Tag vient consolider la donne… En effet, nous y apprenons entre autre que, d’ici 2014, l’utilisation d’Internet sur mobile devrait passer au dessus de celle sur ordinateurs. Saviez-vous également qu’un américain passe en moyenne 2,7h sur son téléphone par jour ? Je vous laisse découvrir tous les chiffres du marketing mobile avec cette infographie ! Enfin, si vous n’étiez pas connecté sur le web ces dernières semaines, sachez que les rumeurs concernant l’iPhone 5 rapportent l’utilisation d’une puce NFC permettant le paiement sans contact, une sorte de porte-feuille électronique qui ne vous quitte jamais ! Et vous, vous êtes un adepte du surf sur mobile ?

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