background preloader

Evolution du PCG / Le PCG ou le droit comptable commun

Evolution du PCG / Le PCG ou le droit comptable commun
Le plan comptable général constitue le droit comptable commun applicable à l'ensemble des entités soumises à l'obligation d'établir des comptes annuels. Le premier plan comptable qu'ait connu la France date de 1947. Depuis cette date, il a été modifié plusieurs fois : en 1957 avec l'instauration du plan comptable 1957, en 1982, avec l'instauration du plan comptable 1982, en 1986, avec la mise à jour du plan comptable 1982. Longtemps apprécié pour sa simplicité, le PCG commençait à être de moins en moins adapté à l’environnement économique. Cette date marque le véritable point de départ de toutes les réformes suivantes : ces dernières années, le PCG a, en effet, connu des évolutions significatives, tant sur le fond que sur la forme. Le règlement CRC 99-03 présente le PCG sous la forme d’un véritable code avec des titres, des chapitres et des sections, il ne traite plus des aspects liés à la consolidation et à la comptabilité analytique. Voir aussi Grandes réformes Related:  Comptabilité approfondie

Plan Comptable Général - www.plancomptable.com Les principes comptables à appliquer | Compta-Facile La comptabilité et les résultats qui en découlent reposent sur des principes comptables. Ces derniers doivent être respectés. Il s’agit notamment du principe de prudence, du principe de séparation des exercices, du principe du coût historique… Ils revêtent une importance capitale et permettent de répondre à l’objectif de la comptabilité : transmettre une information économique et financière fiable. Compta-Facile vous présente les principes généraux édictés par le PCG (Plan Comptable Général) à appliquer en comptabilité. Le principe comptable d’indépendance des exercices Ce premier principe comptable est très important, il signifie que la vie d’une entreprise est découpée en exercices comptables d’une même durée : un an (sauf exception liées au premier exercice ou aux modifications de la date de clôture, pour plus d’informations : la durée de l’exercice comptable). Le principe comptable du coût historique Des règles de réévaluations comptables permettent toutefois d’actualiser les valeurs.

L'organisation de la comptabilité d'une entreprise Toutes les entreprises doivent s’organiser sur le plan comptable ; non seulement dans le but de respecter les obligations auxquelles elles sont soumises mais également pour connaître en temps réel l’état de leur santé financière. Compta-Facile vous propose une fiche complète répondant à la question : comment procéder à l’organisation de sa comptabilité ? Organisation générale de la comptabilité d’une entreprise La comptabilité générale est un système d’organisation de l’information financière ayant pour objectif de traduire en termes chiffrés les différents échanges d’une entreprise avec son environnement et de fournir une synthèse concernant ces derniers. Une entreprise peut s’organiser de deux façons différentes en matière de comptabilité : la gérer en interne (l’entreprise assume seule l’ensemble des travaux comptables et s’organise en conséquence)la déléguer à un tiers (elle confie la gestion de sa comptabilité en tout ou partie à un expert-comptable) Modalités d’organisation

Quels sont les principes comptables? Les principes comptables sont les règles que doit suivre la comptabilité. En France, il existe 10 principes comptables fondamentaux. C’est sur la base de ces 10 principes comptables que reposent toutes les règles comptables. Les principes comptables : à quoi ça sert ? Les principes comptables sont des règles définies par le Code de commerce. Elles sont obligatoires parce qu’elles permettent de rendre homogène la comptabilité. Ces principes comptables permettent de créer un standard pour la communication financière des entreprises. Les principes comptables sont assez stables, c’est-à-dire qu’ils sont rarement modifiés. Quelles sont les principes comptables ? 1) Le principe de continuité d’exploitation Le principe de continuité d’exploitation est un principe qui permet d’intégrer, lors de l’établissement du bilan, le fait que l’entreprise va poursuivre son exploitation au-delà de la date de clôture de l’exercice. 3) Le principe des coûts historiques 6) Le principe d’importance relative

Unité d'œuvre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les unités d'œuvre (UO) permettent en comptabilité analytique de répartir des charges indirectes en fonction de critères tel que le volume d'heures utilisé, le volume de chiffres d'affaires, le nombre de salariés... pour les imputer par la suite dans un calcul de coût de revient d'un bien ou d'un service. Histoire[modifier | modifier le code] Jean Parenteau directeur du Cegos a contribué à la définition de l'unité d’œuvre. En 1939, la revue Le Génie civil publie un document qui fait apparaître la notion d'«unité d’œuvre»[1]: « Dans son rapport sur le prix de revient, M. En 1965, le concept se comprend comme « Méthode de l'unité d'oeuvre, consistant à ramener le prix de revient total à une unité caractéristique de la production (par exemple, l'heure du travail, l'heure de transport, etc. ) : ce prix de revient ne peut, évidemment, être qu'un prix moyen »[3] En 1973, Larousse considère l'unité d’œuvre dans la comptabilité analytique. Exemple :

Leçon n° 4 : les coûts complets Cours de Comptabilité analytique - niveau L2 < retour au sommaire Leçon n° 4 : les coûts complets, principes et fondements Exposé : La méthode des coûts complets est fondée sur le principe d’une prise en compte complète des coûts directs et des coûts indirects de l’entreprise, par le biais d’une répartition préalable pour les seconds, dans des « centres d’analyse ». La méthode des coûts complets repose sur le principe d’une affectation de toutes les charges de la comptabilité analytique au coût des produits fabriqués. 1.1 Principe général Le principe général de calcul du coût d’un produit repose sur l’affectation de l’ensemble des charges incorporables de la comptabilité générale et s’il en existe, des charges supplétives, au coût du produit. Tableau 1.1‑1 : principe général d’affectation des charges incorporables de la comptabilité générale au coût des produits En revanche, l’allocation (c'est-à-dire la répartition) des charges indirectes exige un traitement préalable.

Les obligations comptables de droit commun Les personnes morales et physiques commerçantes doivent établir des comptes annuels, procéder à l'enregistrement chronologique des mouvements affectant le patrimoine de l'entreprise, vérifier l'existence et la valeur des éléments d'actifs et passifs (inventaire) et tenir les documents correspondant (un livre journal, un grand‐livre et un livre d'inventaire). Toute la comptabilité est basée sur l'existence de pièces justificatives qui peuvent être internes à l'entreprise (fiches de paies) ou externes (factures). Ces pièces justificatives seront enregistrées dans un certain nombre de documents obligatoires, avant d'être centralisés pour donner naissance aux comptes annuels et à l'annexe. Ces comptes sociaux feront ensuite l'objet d'une publication. Les documents comptables doivent être conservés dix ans (123-22 alinéa 2 du code de commerce). Les documents qui permettent l'enregistrement chronologique : les livres obligatoires Le livre journal unique, les journaux général et auxiliaires

Comptable Que fait-il ?Le comptable contrôle et enregistre toutes les opérations financières de l'entreprise. Il rend compte des flux d'argent en provenance ou à destination des salariés, des clients, des fournisseurs, du Trésor public, etc. Au final, ses livres de comptes et ses tableaux de bord constituent des outils de gestion et d'aide à la décision pour le chef d'entreprise. Comment travaille-t-il ?Le comptable travaille essentiellement sur ordinateur, mais il remplit également de nombreux formulaires administratifs. Où exerce-t-il ? Les +Le comptable est au contact de tous les services de l'entreprise et participe concrètement à la mise en place de la stratégie et des projets de développement. Les -Pas de grain de folie !

Expert-comptable / Experte-comptable Pour exercer, l'expert-comptable doit être titulaire d'un diplôme spécifique, lequel demande au total 8 années d'études. Il est possible d’accéder à cette profession en suivant soit un cycle classique universitaire, soit une formation en école privée (type École Supérieure de Commerce), soit une formation continue en alternance ou en apprentissage. Comme formations supérieures courtes, le BTS comptabilité et gestion des organisations (CGO) ou du DUT gestion des entreprises et des administrations (GEA) option finance-comptabilité est adapté. A l’université, une licence (bac + 3) mention économie-gestion, gestion et sciences de gestion ou sciences économiques de gestion constituele point de départ. A bac + 5, le master pro CCA (comptabilité, contrôle, audit) permet de préparer le DSCG (bac + 5) puis d’accéder à la formation du DEC. La voie classique consiste à préparer les diplômes nationaux.

Audit, conseil, comptabilité : indispensables aux entreprises Clé du développement de l’entreprise, les métiers de la gestion et de la comptabilité ne connaissent pas la crise. Avec des réglementations en constante évolution, les entreprises ne peuvent se passer de ces professionnels. À bac +2/3 et surtout à bac +5, ils connaissent de belles évolutions de carrière. © ALTO - Consultants en mission Comptabiliser, analyser, conseiller Contrainte légale, toute structure, privée ou publique, possède une comptabilité et doit le plus souvent certifier ses comptes : c’est le bilan. La comptabilité est souvent externalisée dans le cas des toutes petites structures. De son côté, le marché de l’audit et du conseil est dominé par 4 grands cabinets, les "big four" (Ernst & Young, PricewaterhouseCoopers, KPMG et Deloitte) qui regroupent 25 300 consultants en 2012. Par ailleurs, des milliers de cabinets de conseil, la plupart de petite taille, proposent leur expertise en finance, fiscalité, management, stratégie d’entreprise, logistique… Des comptables… aux experts

Related: