background preloader

Médecine non conventionnelle

Médecine non conventionnelle
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression médecine non conventionnelle désigne en Occident une grande variété de méthodes de traitement issues de traditions parfois séculaires ou de pratiques ayant émergé aux environs du XIXe siècle, en général avant l’avènement de la méthode scientifique. Les médecines non conventionnelles sont pour cette raison globalement considérées comme pseudo-scientifiques par une grande partie de la communauté médicale. Selon les pays, et leurs traditions et législations, elles peuvent être répandues (Danemark, Allemagne, Suisse, Angleterre...), tolérées (comme en France et certains pays de tradition latine) ou bien interdites. Origines[modifier | modifier le code] Origine de l'appellation[modifier | modifier le code] Le terme « médecine complémentaire » privilégie l’idée d’associer des traitements impliquant des « philosophies thérapeutiques » différentes mais capables de coopérer dans l’intérêt du malade[3],[4]. Donc : Une économie publique ?

Naturopathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bien que la naturopathie cherche à promouvoir l'auto-guérison, il n'existe pas de preuve scientifique que la naturopathie guérisse des maladies[3]. Cependant une étude faite par des chercheurs canadiens à Toronto, Edmonton et Vancouver sur 207 participants pendant un an démontre que « la naturopathie est un complément réalisable et potentiellement efficace aux soins médicaux habituels pour réduire l'incidence du syndrome métabolique et le risque cardiovasculaire. » Dans un éditorial associé, le Dr Matthew Stanbrook, rédacteur en chef adjoint du Canadian Medical Association Journal écrit que ces résultats « apportent la preuve que certains aspects de la prévention cardiovasculaire pourraient (…) être déléguées à des naturopathes. (…) Les éléments de base de l'intervention naturopathie incluent plusieurs recommandations sur l'alimentation et l'exercice qui individuellement ont été bien validés scientifiquement. » [4] D'après Dr.

DesMauxDesMots Aldo Naouri est un pédiatre connu et reconnu. Pour lui, il est indispensable de fixer des limites entre 0 et 4 ans, car c'est ce qui se passe dans l'enfance qui va conditionner le futur adulte. Ainsi, la répression des pulsions fait partie de cet apprentissage. A l'entendre, on pourrait penser que son plaidoyer est dénué de tendresse, et pourtant il n'en est rien, bien au contraire... Une interview passionnante, animée et sans langue de bois. DES MAUX ET DES Des Maux Et Des Mots est la première et la seule web TV en France entièrement consacrée aux médecines complémentaires et alternatives. Emissions, interviews, conférences, coaching... Homéopathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Timbre allemand célébrant les 200 ans de l'homéopathie en reprenant l'axiome édité par Hahnemann : « similia similibus curentur ». L’homéopathie ou homœopathie (du grec όμοιος / hómoios, « similaire » et πάθος / páthos, « souffrance » ou « maladie ») est une médecine non conventionnelle, proposée par Samuel Hahnemann en 1796[1]. Les composés utilisés ne deviennent homéopathiques que s'ils respectent le principe de similitude[4], selon lequel un patient devrait être traité au moyen d'une substance produisant expérimentalement chez une personne saine des symptômes semblables à ceux présentés par la personne affectée, l'usage de la substance étant adapté au patient grâce au principe d'individualisation selon lequel l'homéopathe analyse l'intégralité des symptômes de la personne et non uniquement ceux liés à la maladie. Malgré une certaine popularité, l'efficacité thérapeutique de l'homéopathie est grandement controversée[5].

Claude Bernard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Considéré comme le fondateur de la médecine expérimentale, il a en particulier laissé son nom au syndrome de Claude Bernard-Horner. On lui doit les notions de milieu intérieur et d’homéostasie, fondements de la biologie moderne. Biographie[modifier | modifier le code] Après un échec au baccalauréat, il rejoint en janvier 1832 un camarade à Lyon, et se place dans la même pharmacie que lui en tant que préparateur. Ses travaux sont récompensés par trois prix en physiologie de l'Académie des sciences, (en 1845, 1849 et 1851)[5]. Travaux scientifiques[modifier | modifier le code] Concernant l’induction du diabète par piqûre au travers du crâne du plancher du 4e ventricule par le "procédé de l'index"[8], sa découverte était l’aboutissement de recherches liées à son hypothèse quant à une origine nerveuse du diabète. Il confie la garde de son laboratoire au Collège de France à Auguste Tripier, puis plus tard à Paul Bert.

Medecine orthomoleculaire La médecine orthomoléculaire se propose de soigner les personnes par l'apport optimal de substances naturellement connues de l'organisme, par opposition à l'approche dite allopathique qui s'oriente plutôt vers les effets thérapeutiques de molécules créées par l'homme. Historique La médecine orthomoléculaire se propose de traiter par la modification des concentrations des substances naturellement connues du corps humain et supposées bénéfiques, par opposition des pratiques chimiothérapiques de la médecine conventionnelle utilisant des substances créées de novo et supposées inconnues du corps humain, et donc décrites comme potentiellement toxiques. Les différences génétiques peuvent faire en sorte que certaines substances (enzymes, protéines) soient produites en quantités inadéquates par le corps, créant par là des déséquilibres chimiques, qui pourront éventuellement être palliées par l'apport supplémentaire d'un des termes du déséquilibre. Bénéfices cliniques et seuil d'efficacité Annexes

Médecine orthomoléculaire Médecine orthomoléculaire La médecine orthomoléculaire se propose de soigner les personnes par l’apport optimal de substances naturellement connues de l’organisme, par opposition à l’approche dite allopathique qui s’oriente plutôt vers les effets thérapeutiques de molécules créées par l’homme. Le terme « orthomoléculaire » signifie « molécule correcte » au sens « qui n’est pas étrangère au corps humain, qui est biologiquement correcte », les autres molécules (les principes actifs de la plupart des médicaments) étant vues comme biologiquement incorrectes — leur ressemblance chimique à des substances légitimes leur permet d’interagir avec les molécules du corps, mais comme elles ne sont pas identiques aux molécules qu’elles imitent, elles provoquent des dysfonctionnements (les effets secondaires) et leur effets recherchés relèvent plus de la tricherie chimique que de la suppression des causes de la maladie. La vitamine C comme illustration de l’approche orthomoléculaire Est-ce la panacée ?

Renforcer son système immunitaire En biologie, l’immunité fait référence à la capacité qu’a le corps de se défendre contre des substances menaçantes pour son bon fonctionnement ou sa survie. Ces « menaces » peuvent être de 3 ordres : des microbes (virus, bactéries, champignons, parasites), des cellules devenues cancéreuses ou un corps étranger (une écharde, aussi bien qu’un organe greffé). Il est connu depuis longtemps qu’avec l’âge ou la maladie, l’immunité s’affaiblit et le corps devient plus vulnérable aux infections. Ces dernières deviennent souvent plus fréquentes et plus graves. Une grippe banale peut alors dégénérer en pneumonie et être fatale. Cela dit, on remarque aussi que certains adultes apparemment en bonne santé et possédant une quantité normale de cellules immunitaires (selon les analyses sanguines) contractent souvent des infections comme le rhume ou la gastroentérite. Ainsi, santé et immunité sont étroitement liées : prendre soin de sa santé au jour le jour permet d’améliorer son immunité, et vice-versa.

Système immunitaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le système immunitaire[1] d'un organisme est un système biologique constitué d'un ensemble coordonné d'éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le « soi » du « non-soi ». Il est hérité à la naissance, mais autonome, adaptatif et doué d'une grande plasticité, il évolue ensuite au gré des contacts qu'il a avec des microbes ou substances environnementales étrangères au corps[2]. On dénombre plusieurs types de systèmes immunitaires parmi les espèces animales, et parfois plusieurs systèmes immunitaires collaborent au sein d'un même organisme. Il existe deux grands types de mécanismes de défense : les mécanismes de défense non-spécifique ou innée ou naturelle, comme la protection de la peau et les muqueuses, l'acidité gastrique, les cellules phagocytaires ou les larmes ;les mécanismes de défense spécifique, comme l'action dirigée des lymphocytes et la production d'anticorps spécifiques. Barrières physiques[modifier | modifier le code]

Related: