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Fini le télétravail, vive le coworking

Fini le télétravail, vive le coworking
Un réalisateur grisonnant est absorbé par la lecture d'un scénario, tandis que deux tables plus loin, une artiste-peintre et un jeune créateur de start-up ont le nez plongé dans leurs ordinateurs portables. Dans ce café berlinois du très touristique quartier Mitte, le mot de passe pour se connecter à l’internet est scotché sur le comptoir, et des multiprises traînent sous les tables: les trois-quarts des clients boivent leur café face à un laptop, un iPad ou un bloc-notes. Le Sankt Oberholz est depuis son ouverture en 2005 le repaire favori des travailleurs indépendants qui fuient la solitude de leur appartement. «Autrefois, c'était le seul café où l'on pouvait apporter son ordinateur sans que tout le monde vous regarde bizarrement», explique Ansgar Oberholz, le patron. Pour être sûrs d'avoir une bonne place, certains clients sont déjà là le matin quelques minutes avant l'ouverture, à 8 heures. Structurer son quotidien D'autres préfèrent aller dans les coworking spaces. Annabelle Georgen

blog « Pas de compétition ! La compétition est toujours nuisible à l’espèce et il y a de nombreux moyens de l’éviter », Telle est la tendance de la nature, non pas toujours pleinement réalisée, mais toujours présente. C’est le mot d’ordre que nous donnent le buisson, la forêt, la rivière, l’océan. « Unissez-vous ! Pratiquez l’entraide ! C’est le moyen le plus sûr pour donner à chacun et à tous la plus grande sécurité, la meilleure garantie d’existence et de progrès physique, intellectuel et moral. » Analyse Mutine de l’oeuvre de Pierre Kropotkine sur l’entraide. Lire l'article► La communauté d’innovateurs sociaux Edgeryders se rassemblait deux semaines plus tôt au UnMonastery (Matera, Italie), un lieu d’un genre nouveau. Lire l'article► A l’heure ou Mutinerie se prépare à l’exode urbain, on s’aperçoit que l’organisation du travail numérique et l’organisation rurale traditionnelle se ressemblent étrangement. Lire l'article► Lire l'article► Lire l'article►

Un livre blanc sur les tendances de la veille en 2011 Dans un monde de plus en plus transparent, où les conversations digitales influencent le développement de son entreprise, la veille devient clé. La veille prend de multiples formes et évolue à grande vitesse avec l’arrivée des médias sociaux notamment. L’agence PowerOn, en collaboration avec la plateforme de veille SINDUP, a récemment publié un Livre blanc collaboratif sur la veille et l’e-réputation intitulé : "Quelles tendances pour la veille en 2011 ?". Pour Mickaël Réault, fondateur de SINDUP, "la veille et ses pratiques évoluent au rythme du web, la cadence s'est fortement accélérée ces dernières années avec l'émergence des réseaux sociaux et l'essor du e-commerce. Après avoir accompagné de nombreuses entreprises dans le déploiement de leur veille, il nous a semblé intéressant de faire un bilan sur les tendances de la veille en 2011 avec le concours d'experts". Voici la liste des 10 experts interrogés : Plus d'infos : www.tendances-veille.com

L'Allemagne, terre d'asile de l'Europe en crise Avec un taux de croissance de 3% en 2011 et un taux de chômage de 7,2%, le marché de l'emploi allemand affiche une santé insolente au beau milieu d'une Europe mise à genoux par la crise, où près d'un quart des actifs sont sans emploi en Espagne, un cinquième en Grèce et 15% au Portugal. Pour ces travailleurs que la crise a laissé sur le carreau, l'Allemagne est devenue une seconde chance, une terre d'asile en Europe où trouver un emploi est encore possible. Selon les derniers chiffres publiés par l'Office fédéral des statistiques, sur les 381.000 étrangers qui se sont installés en Allemagne au premier semestre 2011 –soit un cinquième de plus par rapport au premier semestre 2010–, la part de ressortissants européens a bondi de près de 30%. Et en particulier celle des Grecs, qui sont 4.880 à être venus s'installer en Allemagne sur cette période, ce qui représente une envolée de 84% par rapport à l'an passé, et des Espagnols, avec 4.890 arrivées, soit une augmentation de 49%. publicité

Le C2i, modèle de certification des compétences numériques. : Articles : Thot Cursus Le C2i (Certificat informatique et Internet) de niveau 1 atteste de la maîtrise de compétences généralistes dans l'usage des outils numériques et informatiques. Il a été créé par le Ministère de l'Education nationale et se généralise dans les universités françaises. Tout étudiant est censé obtenir ce certificat au plus tard au niveau licence. Les professeurs Gérard-Michel Cochard et Francis Rogard, dans un article du elearningpapers, soutiennent que ce certificat est essentiel non seulement pour se débrouiller dans l'utilisation de ces technologies mais également pour acquérir des compétences qui serviront aux étudiants toute leur vie, puisque les outils numériques sont omniprésents dans les univers d'étude, professionnels et personnels. Pour les auteurs du texte, il semble préférable que l'on ait développé ces compétences autour d'un certificat plutôt que d'un diplôme. Le C2i n'est plus exclusivement réservé aux étudiants de l'Hexagone.

Freikörperkultur Freikörperkultur (FKK) is a German movement whose name translates to Free Body Culture. It endorses a naturistic approach to sports and community living. Behind that is the joy of the experience of nature or also of being nude itself, without direct relationship to sexuality. History[edit] Early German nudists, 1897 Beginnings in the 18th century[edit] In many parts of central Europe up until the 18th century, people bathed naked in rivers and lakes, although often separately by sex. "Nude culture" and life reforms – up to World War I[edit] In 1898 the first Freikörperkultur club was founded in Essen. The FKK movement was based on an attitude towards life where the naked body is not a source of shame. With political liberalization, conservative circles challenged the nude baths which had become popular among urban intellectuals, seeing them as a corruption of morality. Naturism between World War I and World War II[edit] From 1945 to present[edit] Switzerland[edit] German diaspora[edit] [edit]

Stefana Broadbent : “80 % de nos échanges se font toujours avec les mêmes 4-5 personnes” L’intimité au travail (également disponible en format numérique) est un livre à mi-chemin entre le documentaire et le pamphlet. L’anthropologue Stefana Broadbent, qui travaille au Laboratoire d’anthropologie numérique du Collège universitaire de Londres, y fait une démonstration aussi puissante qu’évidente sur l’aliénation du monde du travail, plus aboutie encore qu’elle ne l’avait fait à TED Global ou à Lift France.Elle montre d’abord l’importance qu’ont acquis en quelques années nos communications personnelles. Plus que de nous relier au “Village Global”, tous les canaux de communication que nous utilisons servent avant tout à communiquer avec une poignée de gens très proches se résumant le plus souvent au cercle familial. InternetActu.net : Dans votre livre vous évoquez les évolutions de nos lieux de travail, mais assez peu les évolutions de la maison, du foyer familial… Stefana Broadbent : J’ai hésité à faire un chapitre sur le sujet.

documenta Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Palais rouge de Cassel. Histoire[modifier | modifier le code] Timbre à l’effigie d'Arnold Bode, fondateur de la documenta. La documenta est créée, en 1955, par Arnold Bode, peintre et professeur d'art. Au fil des ans, le centre d'intérêt de l'exposition s'est déplacé vers l'art contemporain. Depuis 1968, la direction artistique est confiée à une personnalité différente pour chaque édition. Se tenant à l'origine dans un seul bâtiment, le Fridericianum[2], la manifestation s'est par la suite étendue à l'Orangerie, au palais de Bellevue puis à presque toute la ville, dans des parcs ou d'anciens bâtiments désaffectés (gare, cinéma…)[2]. Elle attire désormais plus de 700 000 visiteurs dont 30 % sont étrangers[2] et 40 % sont des professionnels[2]. Éditions[modifier | modifier le code] Rahmenbau (« Encadrement »), Haus Rucker und Co., 1977. Les figures : Fremde (« Étrangers »), dans le centre de Cassel,Thomas Schütte, 1992.

Cahier d’animations multimédia : scénarios d’ateliers pour espaces publics numériques Initiative rare et à souligner, des animateurs multimédia d’EPN (espaces publics numériques) en Ille-et-Vilaine se sont regroupés pour créer le Cahier d’animations multimédia, un portail qui propose des scénarios originaux d’animations. Ces animateurs bretons ont décidé de partager leur expérience à travers des fiches de séances d’animations téléchargeables sur différents thèmes et logiciels, pour tous les publics. On peut ainsi y trouver des séquences pour ateliers sur la découverte de l’ordinateur, la bureautique, Internet, les images, le son, la vidéo, les jeux et des ressources non classées. Un espace Tutoriels d’auto-formation permet aux publics de prendre en main l’ordinateur à travers des travaux pratiques et utiles : faire une impression d’écran ; imprimer en PDF ; trouver des vidéos historiques ; mettre un mot de passe pour une session ; consulter les horaires SNCF… L’ensemble de ces ressources est mis à disposition sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Licence :

Thomas Mann Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thomas Mann Thomas Mann. Œuvres principales Signature Il est l'une des figures les plus éminentes de la littérature européenne de la première moitié du XXe siècle et est considéré comme un grand écrivain moderne de la décadence. Biographie[modifier | modifier le code] Thomas Mann naît le 6 juin 1875 à Lübeck dans une riche famille patricienne de négociants en grains. Formation[modifier | modifier le code] Dès 1892, il écrit quelques textes en prose et des articles pour le magazine Der Frühlingssturm (« la Tempête du printemps ») qu'il coédite. Premières œuvres[modifier | modifier le code] La conversion aux idées libérales[modifier | modifier le code] L'exil[modifier | modifier le code] Le retour en Europe[modifier | modifier le code] Tombe de Thomas Mann Ce n'est que dans ses Notes quotidiennes du soir à n'ouvrir que vingt ans après ma mort[3], publiées - malgré son titre - dès 1955, qu'il confesse ses attirances homosexuelles.

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