background preloader

Hermès

Hermès
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Hermès (Ἑρμῆς / Hermễs en grec, Ἑρμᾶς / Hermãs en dorien) est une des divinités de l'Olympe. Il est le messager des dieux, donneur de la chance, l'inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il guide les héros et conduit leurs âmes aux Enfers. Hermès dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Poursuivant son premier dessein, il gagne le soir même la Piérie où paissent les troupeaux divins[9]. Quand Apollon découvre son voleur, Hermès commence par prétendre être un nouveau-né sans malice, proposant même de jurer de son innocence sur la tête de Zeus[14]. Amours et descendance[modifier | modifier le code] Parmi ses autres enfants, on compte notamment : Fonctions[modifier | modifier le code] Les cultes antiques d'Hermès[modifier | modifier le code] Hermès, sur Wikimedia Commons

Hermès International Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hermès International Logotypes d'Hermès International et d’Hermès. , ou simplement Hermès, est une société française œuvrant dans la conception, la fabrication et la vente de produits de luxe, notamment dans les domaines de la maroquinerie, du prêt-à-porter, de la parfumerie, de l'horlogerie, de la maison, de l'art de vivre et des arts de la table. Fondée à Paris en 1837 par Thierry Hermès, l'entreprise, à l'origine une manufacture de harnais et de selles, appartient encore de nos jours majoritairement à ses héritiers. Histoire[modifier | modifier le code] Les origines[modifier | modifier le code] Thierry Hermès est le fondateur de l'entreprise Hermès International. Les descendants de Thierry Hermès, Adolphe (1866-1933) et Émile-Maurice Hermès (1871-1951) surent parier sur l'essor de l'industrie du bagage par le développement de l'automobile. Depuis 1950[modifier | modifier le code] Entrée du groupe LVMH[modifier | modifier le code]

Héra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle correspond à Junon dans la mythologie romaine. Mythe[modifier | modifier le code] Fille de Rhéa et de Cronos (elle est l'aînée des enfants dans l'Iliade[1] et la troisième chez Hésiode[2]), elle est dès sa naissance avalée par son père[3]. Après la Titanomachie, Héra devient l'épouse de Zeus[4]. Drachme en argent avec Héra Lakinia. Les traditions post-hésiodiques attribuent à Zeus et Héra de nombreux autres enfants absents des catalogues « traditionnels ». Dans l'Iliade encore, Homère fait mention par la bouche de Dioné, d'un tir de flèche à trois pointes décochée par Héraclès blessant Héra au sein droit. Un jour, exaspérée des incartades de Zeus, Héra décide de demander l'aide de ses fils pour punir le dieu volage. Offensée par le jugement de Pâris, qui lui préfère Aphrodite, elle se montre la plus farouche ennemie des Troyens pendant la guerre de Troie et contribue au sac de la ville. Origine et fonctions[modifier | modifier le code]

Pan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine[modifier | modifier le code] Pan serait l'un des rares noms divins attribuables à la période commune des Indo-Européens. Avant de devenir le « dieu des Pâtres », Pan est un dieu-lune, dont la spécialisation ultérieure serait peut-être due à ses cornes, qui sont initialement un croissant de lune[3][réf. à confirmer]. Ascendance et apparence[modifier | modifier le code] L’Hymne homérique qui lui est consacré[4] le nomme fils d'Hermès et d'une « fille de Dryops », qui n'est pas nommée. L'apparence de Pan aussi est sujette à caution : dans l’Hymne homérique[4], il porte barbe, cornes et pieds de chèvre, mais dans l'art figuré, il est parfois représenté sous les traits d'un jeune homme avec une tête et une courte queue de chèvre[13]. Récits[modifier | modifier le code] C'est Pan qui fournit les chiens de la meute d'Artémis. Le dieu Pan rendrait fou celui ou celle qui le verrait. Amours[modifier | modifier le code]

Prix Émile Hermès Un temps pour soi Pour la troisième édition de ce Prix, la Fondation d’entreprise Hermès a choisi une thématique qui permet une réflexion sur un besoin important : permettre un temps calme, proposer une pause, une interruption momentanée, se ménager la possibilité d’une suspension des flux dans un monde rapide, qui se nourrit du continuum ininterrompu des actes, des pensées et des obligations. > Découvrir la thématique de cette nouvelle édition > Consultez le règlement Restez informés de l’actualité du Prix Inscrivez-vous à la newsletter pour recevoir les informations essentielles dès leur parution : rappel avant clôture, annonce des lauréats...Abonnement aux e-mailings Hadès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hadès[modifier | modifier le code] Souverain des Enfers[modifier | modifier le code] Au terme de la guerre contre les Titans, Hadès reçoit en partage les « ombres brumeuses » et réside avec elles dans les Enfers[3]. Roi des morts[4], sa principale mission est d'empêcher ceux-ci de quitter les Enfers, car leur vue remplirait d'horreur les hommes comme les dieux[5]. On peut rapprocher ces mentions des propos d'Agamemnon prenant à témoin de son serment Zeus, Hélios et « vous qui, sous le sol / tirez punition des morts qui font de faux serments », c'est-à-dire Hadès et Perséphone[9]. C'est en tout cas au cours de la descente aux Enfers qu'Héraclès tue l'une des vaches qu'Hadès possède sur Érythie, l'île rouge, pour offrir un sacrifice de sang aux âmes des morts. Enlèvement de Perséphone[modifier | modifier le code] Amours[modifier | modifier le code] Culte[modifier | modifier le code] On lui sacrifie des brebis ou des taureaux noirs durant la nuit.

La Mètis et l’hybris (ou hubris ou ubris) - Ithaque - Botho Strauss - mise en scène Jean-Louis Martinelli La mètis désigne en grec, non pas l’intelligence, mais une forme particulière d’intelligence et de pensée, fondée sur la ruse, l’astuce, le stratagème, mais aussi la dissimulation, la tromperie voire même le mensonge. La mètis, rappelle Jean-Pierre Vernant, s’épanouit dans la pensée grecque archaïque qui ne fait pas de distinction entre l’être et le paraître, entre le monde des Idées et le monde sensible. Elle s’applique donc à des réalités mouvantes, instables et ambiguës, qui ne se prêtent ni au raisonnement rigoureux, ni à la mesure précise, ni à la mise en système. Elle renvoie aussi bien au savoir-faire de l’artisan, qu’à l’adresse du navigateur évitant les écueils, ou à l’habileté du sophiste. Mètis, c’est aussi le nom d’une déesse, première épouse de Zeus et future mère d’Athéna, tel que le raconte Hésiode, dans sa Théogonie. L’ hybris désigne chez les Grecs, la démesure, l’orgueil, traits que les dieux condamnent chez les humains.

Hermès Héphaïstos Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Héphaïstos ou Héphaestos (en grec ancien Ἥφαιστος / Hếphaistos) est le dieu du feu, de la forge, de la métallurgie et des volcans. Selon les sources, il est le fils d'Héra et de Zeus, ou d'Héra seule. Il est habituellement représenté sous les traits d'un forgeron boiteux, mais il est d'abord un inventeur divin et un créateur d'objets magiques. Dès Homère, son nom est utilisé par métonymie pour désigner le feu. Mythe[modifier | modifier le code] Naissance et infirmité[modifier | modifier le code] Pour se venger de sa mère, Héphaïstos fabrique un trône d'or aux bras articulés, qui emprisonne quiconque s'y assoit, et l'envoie dans l'Olympe en guise de présent[9]. Les épithètes traditionnellement attachées à Héphaïstos sont « aux pieds courbes »[17], « boiteux »[18] et « les pieds tournés vers l'arrière »[19]. Amours et descendance[modifier | modifier le code] Sa descendance est peu nombreuse.

Hybris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythologie[modifier | modifier le code] Dans la mythologie grecque, Hybris est une divinité allégorique personnifiant l’hybris. Eschyle lui attribue pour mère Dyssebia (l'Impiété)[2] tandis qu'Hygin la range parmi les enfants de la Nuit et de l'Érèbe[3]. Certains manuscrits de la Bibliothèque du pseudo-Apollodore font état de son commerce amoureux avec Zeus, qu'elle aurait rendu père du dieu Pan, mais le nom d'Hybris provient peut-être d'une mauvaise lecture de celui de la nymphe arcadienne Thymbris. La notion d'hybris[modifier | modifier le code] La déesse Némésis tenant la roue de la fortune, statue en marbre du IIe siècle, Villa Getty. La religion grecque antique ignore la notion de péché tel que le conçoit le christianisme. Le châtiment de l’hybris est la némésis, le châtiment des dieux qui fait se rétracter l'individu à l'intérieur des limites qu'il a franchies. Littérature et morale[modifier | modifier le code] « V.

Artémis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Surnommée « la Bruyante » (Κελαδεινή / Keladeinế), elle mène sa meute et la pousse de la voix. Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. La déesse sagittaire est enfin appelée par Homère Artémis khrysêlakatos, « à l’arc d’or », et par Hésiode iokhéairê, « l'archère »[12]. Déesse vierge[modifier | modifier le code]

Artémis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est la fille de Zeus et de Léto et la sœur jumelle d'Apollon (ou simplement sa sœur, selon l'hymne homérique qui lui est consacré), avec lequel elle partage beaucoup de traits communs. Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'Île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[1] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes » déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Surnommée « la Bruyante » (Κελαδεινή / Keladeinế), elle mène sa meute et les pousse de la voix. Didrachme de Ionie représentant la déesse Artémis Déesse vierge[modifier | modifier le code]

Divinités olympiennes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les divinités olympiennes sont les divinités grecques qui, selon la mythologie, résident sur le mont Olympe. Traditionnellement, le canon olympien est limité à douze, six dieux et six déesses. Homère, entre autres au chant I de l’Iliade, fait allusion à un langage des dieux différent de celui des mortels, quand il explique que l'Hécatonchire Briarée s'appelle Égéon dans la langue des dieux[1]. Portail de la mythologie grecque

Related: