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Impôt sur le revenu (France)

Impôt sur le revenu (France)
En France, l'impôt sur le revenu (IR) est un impôt direct mis en place par la loi de finances du 15 juillet 1914, parue au Journal officiel de la République française le 18 juillet 1914. La première année d'imposition est l'année 1916, par décret du 15 janvier 1916. Il a pour but de moderniser le système fiscal de l'État. En pleine Première Guerre mondiale, il est initialement destiné à financer les efforts de guerre et la reconstruction de la France. Il subit de nombreuses modifications par la suite, par exemple en 1926 pour compenser la suppression de l'impôt sur les portes et fenêtres, ou en 1945 avec l'introduction du quotient familial. L'impôt sur le revenu est calculé et recouvré par la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) depuis 2008. Initialement appelé « impôt général sur le revenu » (IGR), il prend le nom d’« impôt sur le revenu des personnes physiques » (IRPP) en 1949, par opposition à l’impôt sur le revenu des personnes morales (IRPM). Critère personnel En outre :

Taxe sur la valeur ajoutée en France Taxe sur la valeur ajoutée La taxe sur la valeur ajoutée ou TVA est un impôt indirect sur la consommation inventé par le haut fonctionnaire Maurice Lauré et institué par la loi du 10 avril 1954. Elle a ensuite été mise en place dans de nombreux pays notamment au sein des États membres de l'Union européenne, ce qui conduit alors à parler de TVA dans l'Union européenne. En France, le champ d'application de la TVA se définit de deux manières : d'une part, par les opérations imposables à la TVA et d'autre part, par les règles de territorialité. La TVA est de loin la recette fiscale la plus importante en France, représentant la moitié du prélèvement fiscal. Historique[modifier | modifier le code] C'est un impôt institué dans son principe en France par la loi du loi du 10 avril 1954[1] à l'instigation de Maurice Lauré, haut fonctionnaire de la direction générale des Impôts : celui-ci propose d'éliminer les inconvénients liés aux divers impôts sur la consommation.

Dessine-moi l'éco : Comment calcule-t-on l'impôt sur le revenu ? Les hausses d’impôts frappent plus les particuliers que les entreprises Les ménages subissent davantage que les entreprises la hausse de la fiscalité intervenue depuis 2010, montre une note publiée jeudi 22 octobre par l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), un centre de recherche rattaché à Sciences Po. Les auteurs, Mathieu Plane et Raul Sampognaro, ont analysé l’évolution des prélèvements obligatoires (PO), en s’appuyant notamment sur le projet de loi de finances pour l’année prochaine, actuellement débattu au Parlement. Les PO incluent non seulement les impôts au sens strict comme l’impôt sur le revenu, mais aussi les taxes et les cotisations sociales. Entre 2010 et 2013, « l’austérité fiscale a porté de façon relativement équilibrée sur les ménages et les entreprises », écrivent les deux économistes. Une hausse de 66 milliards € pour les ménages « Au final, sur la période 2010-2016, les PO sur les ménages augmenteraient de 66 milliards € […] et ceux sur les entreprises de 8 milliards », selon le document. Les regrets de Manuel Valls

2017, année « blanche » pour l’impôt sur le revenu ? Le basculement vers le prélèvement de l’impôt à la source en 2018 permettrait aux salariés de ne pas être imposés sur leurs revenus de 2017, mais ils paieront des impôts tous les ans malgré tout. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Patrick Roger Le prélèvement à la source, c’est pour bientôt. « Le gouvernement est convaincu – et l’opinion avec lui – que la retenue à la source représente un élément décisif de modernisation de notre système fiscal. (…) Le gouvernement considère que la retenue à la source est un élément essentiel de modernisation de notre dispositif fiscal et il est persuadé que, dans un Parlement soucieux de progrès et épris de réformes, il trouvera les concours nécessaires pour mener cet aménagement à son terme. » Celui qui s’exprime ainsi s’appelle Valéry Giscard d'Estaing, alors ministre de l’économie et des finances, lorsqu’il présente à l’Assemblée nationale, le 23 octobre 1973, le projet de loi de finances pour 1974. Lire aussi Prélever l’impôt à la source ?

Quelle est la différence entre impôts directs et impôts indirects ?  - Les grandes questions fiscales Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> La distinction entre les impôts directs et indirects est sans doute la plus importante parmi les différentes classifications envisageables, ne serait-ce que parce qu’elle a des incidences opérationnelles. Pourtant, c’est une des distinctions les plus complexes à caractériser. On perçoit aisément que l’impôt sur le revenu est le modèle type de l’impôt direct, car il est établi et collecté sur la base d’un avis d’imposition adressé à chaque contribuable ; la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est le modèle de l’impôt indirect, qui n’est pas acquitté auprès du Trésor public directement par le contribuable qui en supporte le coût : le critère serait donc celui de l’existence d’un rôle d’imposition, qui serait le marqueur des impositions directes.

Quelles sont les dates d'exigibilité en matière de TVA ? - professionnels L'entreprise peut opter pour le régime de la TVA sur les débits. La TVA est alors exigible à la date du débit (inscription du débit sur le compte client) qui correspond généralement à la date de la facturation. La TVA provenant de la vente de biens et celle provenant de la prestation de services deviennent exigibles à la même date. L'entreprise qui opte pour le régime de la TVA sur les débits doit le demander par écrit au service des impôts dont elle relève pour la TVA. L'option s'applique à toutes les opérations pour lesquelles une livraison de bien et une prestation de service sont prévues. L'entreprise peut indiquer sur ces factures que cette option a été choisie, en y ajoutant la mention Paiement de la TVA d'après les débits. Pour renoncer à l'option, l'entreprise doit demander par lettre simple au service des impôts dont elle dépend l'arrêt de cette option.

Impôts 2015 : barème de l'impôt sur le revenu Comment calculer votre impôt 2015 avec le barème de l'impôt 2015 sur les revenus 2014, qui prend en compte à la fois les tranches d'imposition, la décote et les plafonds du quotient familial. L'application du barème qui suit vous permet notamment de vérifier que les impôts n'ont pas fait d'erreur sur votre avis d'imposition 2015 reçu au mois d'août. Barème 2015 Le barème d'impôt 2015 sur les revenus 2014 est censé tenir compte de l'inflation. Mais en cette période de quasi-stagnation des prix, les tranches d'imposition 2015 définies par la Loi de finances 2015 n'ont été augmentées que de 0,5%. Le Gouvernement a également décidé de supprimer la première tranche d'imposition et d'abaisser le seuil de la deuxième tranche actuelle. Les conseils d'Eric Roig, directeur-fondateur de droit-finances.net Tranches d'imposition 2015 Jusqu'à 9 690 : 0% de 9 691 à 26 764 : 14,00% de 26 765 à 71 754 : 30,00% de 71 755 à 151 956 : 41,00% au-delà de 151 956 : 45% Décote 2015 Plafond du quotient familial

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