background preloader

Tell-all telephone

Tell-all telephone

http://www.zeit.de/datenschutz/malte-spitz-data-retention

Conjoncture : Qui détient les dettes d'État INFOGRAPHIE - Le marché de la dette est une véritable toile qui relie tous les pays entre eux. Ces liens se chiffrent en milliards de dollars. Et au centre règnent Wall Street, la City de Londres et Pékin. Précisions : • Seuls les flux les plus importants ont été retranscrits pour des raisons de lisibilité. Vous paierez bientôt vos impôts avec votre carte d’identité. Heureux ? L’Etat français est une ruche pleine d’abeilles industrieuses fort occupées à leurs petites affaires. Quand, d’un côté, certains font absolument tout pour que le status-quo perdure, en refusant obstinément de tailler dans les dépenses, de l’autre, les habiles hyménoptères entreprennent de tenir à jour les registres des petites fleurs qu’elles vont butiner aussi régulièrement que possible… Oui, je sais, la métaphore apicole, particulièrement bucolique, colle mal à l’image qu’on peut se faire de nos chères élites qui s’emploient tous les jours à consolider le budget par petites touches picturales subtiles ou tondre ras les contribuables qui passent à portée. Ou alors, il faut imaginer les abeilles, en formation serrée, descendre en piqué sur de malheureuses marguerites comme jadis les Stukas de la Luftwaffe, les pomper de tout leur nectar en quelques microsecondes vives et impitoyables et repartir aussi sec, laissant les pauvres fleurs dépenaillées et les pétales arrachées.

Prix de l’eau: Libérons nos données Quel est le prix du service de l'eau en France? Personne ne le sait. La Fondation France Liberté, 60 Millions de consommateurs et OWNI organisent un crowdsourcing citoyen pour obtenir l'info et ouvrir les données. Kadhafi espionnait sa population avec l’aide de la France Redoutant sans doute le dispositif de surveillance américain Echelon, Kadhafi s’est tourné, comme d’autres dictateurs, vers les Français pour mettre en place une gigantesque infrastructure de surveillance de sa population, et l’étendue des tehnologies mise à sa disposition commence à apparaitre au lendemain de la chute du dictateur. Le Wall Street Journal ne rate jamais une occasion de taper sur une technologie non américaine. En 2009, ils avaient largement contribué a dénoncer Nokia-Siemens et ses accointances avec le régime Iranien qui avait permis à celui-ci de traquer les malheureux twitters de la « révolution verte », et qui, encore aujourd’hui, fournit au Bahrain une large part de ses technologies de censure et de surveillance. Pièce maitresse du dispositif de repression numérique Libyen, le système Eagle de Bull/Amesys qui permet de mettre sous surveillance une nation toute entière.

[APP] Mémorial des morts aux frontières de l’Europe Plus de 14 000 réfugiés sont "morts aux frontières" de l'Europe depuis 1988. Afin de mesurer l'ampleur de cette "guerre aux migrants", OWNI propose un mémorial, sous forme de carte interactive. Plus de 5 000 réfugiés ont débarqué à Lampedusa, île italienne située entre Malte et la Tunisie, depuis le début de l’année. La situation est d’autant plus critique, souligne l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), que l’île, forte de 5 000 habitants, ne peut a priori accueillir que 800 réfugiés. Dans un communiqué, United for Intercultural Action, une ONG de défense des droits des migrants et des réfugiés, rappelle de son côté que depuis 1993, 857 réfugiés au moins sont morts en tentant de rejoindre Lampedusa. Depuis le début de l’année, United a d’ores et déjà recensé 6 morts, et 31 disparus, un bilan qui risque fort de s’aggraver, si l’on en croit ce qui s’est passé le 11 février dernier :

L’écosystème identitaire qui fait ressembler Big Brother à Bisounours Un « écosystème identitaire » est en voie de définition, qui permettra aux gouvernements et aux acteurs privés de gérer comme bon leur semblera nos « identités fiabilisées ». Un système face auquel Big Brother fait figure de petit rigolo… La lecture, hier, de l’article de Kristine Schachinger, intitulé Real Names: Google+, Government & The Identity Ecosystem, m’a fortement interpellé ! Kristine y associe de récentes déclarations d’Eric Schmidt, selon qui « Google+ is an identity service », à un document officiel du gouvernement américain, publié au mois d’avril dernier, intitulé « National Strategy For Trusted Identities In Cyberspace » (NSTIC). En clair, les États-Unis y formalisent un partenariat public-privé pour collaborer à la gestion des « identités fiabilisées » (trusted identities), afin d’accroître le niveau d’identification certaine des individus, des organisations, des réseaux, des services et des dispositifs impliqués dans les transactions en ligne : En français :

Les 300 000 morts de la guerre contre le terrorisme La guerre contre le terrorisme lancée par George W Bush aura coûté 1 283 milliards de $, et fait entre 227 000 et 300 000 morts, au moins, dont près de 120 000 civils, soit 51% des pertes recensées. Les attentats du 11 septembre 2001 avaient fait 2 996 victimes, dont 343 sapeurs-pompiers, et 59 policiers, venus secourir les victimes enfermées dans les tours du World Trade Center. La guerre contre le terrorisme lancée par George W.

renouveller sa carte d'identité pour éviter le fichage Nous vous le rappelions il y a quelques jours[1], l’été est la saison propice aux lois liberticides. L’Assemblée nationale a ainsi adopté jeudi 7 juillet 2011 le fichage généralisé de la population[2], à une "confortable" majorité de 6 députés contre 4 (1 abstention et 566 absents). Une fois la proposition de loi réécrite par une Commission mixte parlementaire et définitivement approuvée par le Parlement, les cartes d’identité contiendront deux puces électroniques. Fichiers croisés, flics infiltrés: les eurogauchistes dans le viseur (part.1) Les « fauteurs de trouble » qui sévissent lors des principaux sommets internationaux font l’objet d’une attention toute particulière de la part des vénérables institutions de l’Union européenne. Il y a quelques mois, avant le sommet du G8 de Deauville, j’avais eu l’occasion de raconter comment les pays membres, via le Conseil des ministres et ses différents groupes d’experts policiers, entendaient créer une base de données croisée pour cibler les troublemakers habitués aux rassemblements anticapitalistes. Statewatch, ONG britannique en pointe sur ce dossier, révèle aujourd’hui un autre volet de cette coopération policière.

Related: