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Gilgamesh

Gilgamesh
Gilgamesh (prononciation : /ɡil.ɡa.mɛʃ/) (en akkadien 𒄑𒂆𒈦 / Gilgameš), Bilgamesh dans les textes sumériens anciens (sans doute BÌL.GA.MÈŠ, « l'ancêtre est un héros / jeune homme »[1]) est un personnage héroïque de la Mésopotamie antique, fils de la déesse Ninsun (déesse du gros bétail). Roi de la cité d'Uruk où il aurait régné vers 2650 av. J.-C., ainsi qu'un dieu des Enfers dans la mythologie mésopotamienne. Il est le personnage principal de plusieurs récits épiques, dont le plus célèbre est l'Épopée de Gilgamesh, qui a rencontré un grand succès durant la haute Antiquité. Les sources : l'Épopée et autres textes[modifier | modifier le code] Les récits en sumérien[modifier | modifier le code] Plusieurs récits épiques rédigés en sumérien racontent les exploits de Gilgamesh en tant que héros, qui est la forme la plus courante sous laquelle il est attesté dans les textes[2]. L'Épopée[modifier | modifier le code] Les autres sources du Proche-Orient ancien[modifier | modifier le code] Related:  Religieux - TextesHistoire 2

Épopée de Gilgamesh Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La XIe tablette de la version de Ninive de l’Épopée de Gilgamesh, relatant le Déluge. Selon l’opinion commune des assyriologues, le récit du Déluge, inspiré par l’Épopée babylonienne d’Atrahasis ou « Poème du Supersage », a été ajouté vers 1200 av. J.-C., pour former le texte « standard », comprenant onze tablettes, de l’épopée assyro-babylonienne. La douzième tablette, traduction de la seconde moitié du récit sumérien « Gilgamesh, Enkidu et le séjour des morts », a dû être ajoutée vers -700[1]. De récents travaux rapprochent l’épopée de Gilgamesh des douze travaux d’Héraclès (l’homologue grec du héros romain Hercule), la légende babylonienne étant antérieure de près d'un millénaire aux écrits d’Homère[2]. Résumé[modifier | modifier le code] Gilgamesh, roi de la ville d'Uruk, est dur et intransigeant envers ses sujets. Le récit (version ninivite)[modifier | modifier le code] Tablette I : Les deux héros[modifier | modifier le code]

In hoc signo vinces La locution In hoc signo vinces apparaît sur une ancienne pièce de monnaie portugaise de l'année 1721. In hoc signo vinces est une locution latine traduite du grec ancien « ἐν τούτῳ νίκα », qui peut se traduire ainsi : « Par ce signe, tu vaincras ». La vision de Constantin[modifier | modifier le code] Lactance (vers 250 - vers 325) rapporte que Constantin Ier eut une vision du chrisme (☧) dans le ciel peu avant la bataille du pont Milvius, qui s'est déroulée en 312[1]. Eusèbe décrit alors le labarum[3], étendard militaire qui sera utilisé par Constantin dans sa guerre contre Licinius et comportant le chrisme. Selon l'idée généralement reçue, le monogramme du Christ comporterait les deux premières lettres du nom du Christ en grec : « Χριστός ». Utilisations postérieures[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) The Works of Lactantius. Articles connexes[modifier | modifier le code]

Le gros mensonge de la Bible Précédent : Avant JC Histoire et chronologie de la chrétienté De JC à l'an 1000 An1: C'est la référence officielle (choisie au VIe siècle) du calendrier chrétien Dans la province romaine de Galilée, les Esséniens annoncent la venue prochaine d'un sauveur puis la fin prochaine du monde. 6 après JCQuirinius, gouverneur de Syrie, entre en fonction (censé gouverner à la naissance de JC selon Luc 2-2). 29 à 33Cette période correspond aux écrits les plus falsifiés et surtout amputés par les clercs chrétiens: la censure est en marche: Flavius Josèphe, Tacite Suétone, Philon, Dion Cassius, Paterculus... ont été amputés ou bricolés. 33 Date officielle de la "mort" de Jésus de Nazareth, officiellement crucifié par les romains puis ressuscité (pour ceux qui croient au mythe). 55 ? 64 Mort officielle de Saint-Pierre (Simon), saint bicéphale: l'un de ses crânes est à Saint-Pierre au Vatican (en fait, il s'agit d'un crâne de femme!)

Drang nach Osten La colonisation germanique du Haut Moyen Âge (carte propagandiste de 1893). Le Drang nach Osten (« la marche vers l'Est ») ou Ostkolonisation (« la colonisation de l’Est ») était à l'origine un mouvement de colonisation germanique vers l'est, depuis la première moitié du XIIe jusqu'au XIXe siècle. Ce nom désigne aussi, dans les livres d'histoire, la politique expansionniste de la Prusse et de l'Autriche en Pologne ou dans les Balkans, à la fin du XVIIIe et au XIXe siècle. Définition[modifier | modifier le code] Soit en 1919, soit en 1945, les noms allemands des villes ont été remplacés par les noms locaux antérieurs à la colonisation germanique : Presbourg (par Bratislava), Lemberg (par Lvov), Brünn (par Brno), Karlsbad (par Karlovy Vary), Pilsen (par Plzeň), Schlackenwerth (par Ostrov nad Ohří), Stettin (par Szczecin), Breslau (par Wroclaw), Posen (par Poznań), Dantzig (par Gdansk), Klausenbourg (par Cluj), Hermannstadt (par Sibiu), Kronstadt (par Brașov), Memel (par Klaipėda).

Jésus était gay ? Secrets de nos origines, Circoncision et Excision descendez la page avant la pointe de son nez pour cacher le bas du visage Chacun est libre de croire en l’historicité de Jésus ou de le considérer comme étant le symbole d’un message caché…mais aussi falsifié. Des milliers d’auteurs se sont évertués à prouver ou à nier l’existence de Jésus. Après avoir lu de nombreux livres sur la supposée vie de Jésus, en m’étant intéressée aux différentes mythologies, religions et aux nombreuses découvertes archéologiques, en y ajoutant des recherches sur la génétique et en partant au départ de ma connaissance intuitive, il devient évident que Jésus, Moïse, Abraham et les autres ne sont que des personnages fictifs, inventés afin d’asseoir la domination des clergés patriarcaux. (Un bond en arrière, ignoré d'un grand nombre, est nécessaire avant de parler de Jésus.) Gilgamesh ayant acquis la force virile et maitrisé la force féminine C'est le secret des Templiers. Cybèle La destruction du Léviathan, ou de la Grande Déesse - gravure de Gustave Doré Neith photo

Lampégie Lampégie ou Lampegia[1] est une aristocrate aquitaine, épouse de Munuza, gouverneur de Catalogne au milieu du VIIIe siècle. Fille du duc Eudes d'Aquitaine, elle épouse en 725 Munuza, gouverneur berbère et musulman de Catalogne[2]. Lampegia scelle ainsi l'alliance entre l'Aquitaine et la Catalogne musulmane alors en révolte vis-à-vis du pouvoir central omeyyade[3]. Son mariage a aussi déclenché la guerre entre son père Eudes, le duc d'Aquitaine et Charles Martel et les francs qui profitent de ce mariage interconfessionnel pour en faire un casus belli et envahir l'Aquitaine[6]. Elle serait enterrée avec son époux sous l'actuelle église de Notre-Dame de Planés - « la mesquita » en catalan - qui aurait été une mosquée à l'époque[7].

Apocryphes : Evangile de l'Enfance. Au nom du Père, et du Fils, et de l’Esprit-Saint, Dieu unique. Avec le secours et l'assistance du Dieu tout-puissant, nous commençons à écrire le livre des miracles de notre Sauveur, maître et Seigneur Jésus-Christ, lequel s'appelle l'Évangile de l'enfance, dans la paix du Sauveur. Ainsi soit-il. CHAPITRE Ier. Nous trouvons dans le livre du grand-prêtre Joseph qui vécut du temps de Jésus-Christ (et quelques-uns disent que son nom était Caïphe) que Jésus parla lorsqu'il était au berceau et qu'il dit à sa mère Marie : moi que tu as enfanté, je suis Jésus, le fils de Dieu, le Verbe, ainsi que te l'a annoncé l'ange Gabriel et mon père m'a envoyé pour le salut du monde. L'an trois cent soixante-neuf de l'ère d'Alexandre, Auguste ordonna que chacun se fit enregistrer dans sa ville natale. Et après le coucher du soleil, Joseph arriva avec la vieille devant la caverne et ils entrèrent. chapitre X. chapitre XIX. Ils vinrent ensuite à une autre ville où ils voulaient passer la nuit. chapitre XX.

Bataille de Schéveningue La bataille de Schéveningue (bataille de Ter Heijde, parfois aussi appelée bataille de Texel) se déroula du 8 au 10 août 1653 (29 au 31 juillet selon le calendrier julien alors en usage en Angleterre). Ce fut la dernière bataille de la Première guerre anglo-néerlandaise entre la flotte du Commonwealth d'Angleterre et celle des Provinces-Unies. Le contexte[modifier | modifier le code] La bataille[modifier | modifier le code] Les Anglais rattrapèrent la flotte combinée néerlandaise aux alentours du 10 août et l'attaquèrent. La bataille fit rage, les deux flottes se rencontrant par quatre fois. Le peintre anglais William Turner en 1831, commémore l'évènement dans un tableau intitulé Barge de l'amiral van Tromp entrant dans le Texel en 1645. Les conséquences[modifier | modifier le code] Les deux côtés clamèrent leur victoire : les Anglais célèbrent leur supériorité tactique et les Néerlandais sont satisfaits de leur succès stratégique, c'est-à-dire de lever le blocus de la mer du Nord.

Les apocryphes Oeuvres numérisées par Marc Szwajcer Histoire de Joseph le charpentier. 17 Évangile de l'Enfance 57 Protévangile de Jacques le Mineur 111 Évangile de Thomas l'Israélite. 139 Evangile de la Nativité de Sainte Marie 155 Évangile de la Nativité de Marie et de l'enfance du Sauveur. 173 Évangile de Nicodème. 215 Évangiles aujourd'hui perdus; écrits attribués à Jésus-Christ, à la Vierge et aux Apôtres. 285 Histoire du combat apostolique, par Abdyas. 299 Écrits apocryphes de l'Ancien Testament 311 Livres attribués à Adam. 313 Livre d'Enoch. 325 Livres attribués à Abraham. 345 Testaments des douze Patriarches.348 Livres attribués à Joseph. 353 » à Solomon. 358 L'Ascension d'Isaïe le prophète. 360 Quatrième Livre d'Esdras. 371

Juan Ginés de Sepúlveda Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Juan Ginés de Sepúlveda Juan Ginés de Sepúlveda (Pozoblanco, 1490 - Pozoblanco, 17 décembre 1573) est un homme d'Église espagnol du XVIe siècle. Il est avant tout connu pour avoir été au cœur de la Controverse de Valladolid, opposé à Bartolomé de Las Casas qui considérait comme immorale la conquête militaire du Nouveau Monde, il considère comme justes la souveraineté et la conquête par les armes de l'Amérique par l'Espagne. Il a également écrit sur Charles Quint et sur les guerres qu'il a entreprises en Europe. Biographie[modifier | modifier le code] Epistolarum libri septem (1557). Après le sac de Rome en 1527, Sepúlveda part pour Naples aux côtés du cardinal Cajetan qui le charge de la révision du texte grec du Nouveau Testament. Revenu en Espagne, Sepulveda est nommé précepteur du prince Philippe, futur Philippe II d'Espagne. Son œuvre[modifier | modifier le code] En 1548, des théologiens sont chargés d'examiner le traité de Sepúlveda.

Épître de Barnabé Elle a été écrite après la destruction du Second Temple en 70, car elle fait référence à cet événement et avant la révolte de Bar Kochba en 132. Elle est citée par Clément d'Alexandrie et Origène la présente comme "une épître catholique », et semble la classer parmi les écrits inspirés. Eusèbe de Césarée, le premier, la range au nombre des livres contestés. 1. 2. 3. 4. 5. 1. 2. 3. 7. 8. 10. 1. 1. 2. 4. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 13. 14. 1 Si le Seigneur a souffert de livrer sa chair à la destruction, c'était pour nous purifier par la rémission des péchés qui s'opère par l'aspersion de son sang. 2 L'Écriture parle de lui à ce sujet, tantôt pour Israël, tantôt pour nous: " Il a été frappé à cause de nos péchés, écrasé à cause de nos crimes, et c'est grâce a ses plaies que nous sommes guéris. 5 Autre chose, frères: Le Seigneur a enduré de souffrir pour nos âmes, lui le Seigneur du monde entier à qui Dieu avait dit dès l'origine du monde: " Faisons l'homme à notre image et ressemblance ".

Bérenger Saunière Biographie[modifier | modifier le code] Famille et enfance[modifier | modifier le code] Château de Montazels dont Joseph Saunière, père du futur abbé, est le régisseur au service du marquis de Cazermajou Le grand-père de Bérenger se dénomme François Saunière et il exerce la profession de charpentier dans ce même village de Montazels. Avec son épouse, ils ont six enfants, dont le père du futur abbé, dénommé Joseph Saunière et un oncle dénommé Jean-Baptiste qui est également prêtre dans une paroisse située dans le Pays de la haute vallée de l'Aude à 10 km au nord-ouest de Couiza[2]. Joseph et Margueritte ont onze enfants, dont quatre décèdent en bas âge. Formations et débuts professionnels (1874 - 1885)[modifier | modifier le code] Bérenger Saunière entre en 1874 au Grand séminaire de Carcassonne où il apprend le latin, le grec ancien et, expérience plus exceptionnelle à ce niveau, des notions d'hébreu. Les vingt premières années à Rennes-le-Château (1885 - 1905)[modifier | modifier le code]

Evangile de Philippe Evangile de Philippe (1) Un HÈbreux peut faire un HÈbreux et on appelle ce dernier un prosÈlyte, mais un prosÈlyte ne peut pas faire un prosÈlyte. (Certains) sont tels qu'ils sont et font d'autres pareils ý eux parce que ceux-ci le deviennent. (2) L’esclave n’aspire qu’ý Ítre libre. (3a) Un paÔen ne meurt pas car il n’a jamais vÈcu pour pouvoir mourir. (3b) Depuis le jour o˜ le Christ est venu, le monde a ÈtÈ crÈÈ, les villes, ordonnÈes (kosmei), ce qui est mort, rejetÈ. (3c) Quand nous Ètions des HÈbreux, nous Ètions orphelins et nous n’avions qu’une mËre, mais quand nous sommes devenus chrÈtiens, nous avons eu un pËre et une mËre. (4 et 5) Ceux qui sËment en hiver rÈcoltent en ÈtÈ ; l’hiver, c’est le monde, l’ÈtÈ, c’est l’Eon. (6) Le Christ est venu en racheter quelques-uns, dÈlivrer les uns, sauver les autres. (7) La lumiËre et les tÈnËbres, la vie et la mort, la droite et la gauche sont sœurs les unes des autres ; elles sont insÈparables. (34a) Dieu est un teinturier.

Siège de Béziers Croisade des albigeois Batailles Croisade des barons (1209) Guerre du Languedoc (1209-1213) Révolte du Languedoc (1216-1223) Intervention royale (1226-1229) Coordonnées 43° 21′ nord, 3° 13′ est Plaque commémorant le siège de Béziers devant l'église de la Madeleine à Béziers Le siège de Béziers, ayant eu lieu en 1209, est une opération militaire marquante de la croisade des albigeois et de l'histoire de France. Le siège[modifier | modifier le code] Quand la croisade arrive à Montpellier, Raimond-Roger se présente et demande une entrevue avec Arnaud Amaury, abbé de Cîteaux et légat du pape. La croisade est forte d'environ 20 000 hommes. La croisade atteint la ville le 22 juillet. Pertes humaines[modifier | modifier le code] Dans le rapport que les légats adressent au Pape Innocent III, le chiffre de 20 000 morts est cité[6]. Le massacre de la ville de Béziers est entré dans la mémoire locale sous le nom de grand masèl (« grande boucherie » en occitan). Annexes[modifier | modifier le code]

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