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Paléographie - Archives départementales de la Haute-Saône

Paléographie - Archives départementales de la Haute-Saône
Lire les écritures anciennes La lecture des écritures anciennes est l'une des difficultés de la recherche en archives. Lire les textes d'avant le XVIIIe siècle nécessite souvent de se faire paléographe. C’est pourquoi, la Société d’agriculture, lettres, sciences et arts (Salsa) de la Haute-Saône, en partenariat avec les Archives départementales, organise des cours de paléographie moderne (XVe au XVIIIe siècle) afin de se familiariser avec le déchiffrage des écritures anciennes. Animés par Denis Grisel, président de la Salsa, les cours se déroulent dans les murs des Archives départementales. Chaque cours comprend une partie d’apprentissage de la lecture et des informations de caractère historique et institutionnel sur les documents étudiés. Cette formation gratuite est ouverte à tous, dans la limite des places disponibles. 1. 2. 3. Revoir certains textes travaillés pendant les cours (et leur transcription) :

Techniques pour l'Historien en Ligne (Theleme) Dictionnaire des abréviations françaises Dictionnaire des abréviations françaises Cette liste intègre et étend celle qui figure dans Maurice Prou, Manuel de paléographie latine et française, 4e éd. refondue avec la collab. d'Alain de Boüard, Paris, 1924, p. 455-474. N. B. La forme propre du signe abréviatif est ici simplifiée par nécessité. On gardera à l'esprit que dans la pratique, elle permet souvent des distinctions précises (et qui varient selon les époques), selon que le trait monte, descend, boucle, enveloppe le mot, etc. équivalences : ’ = signe générique (tilde), p = p « barré » = per/par, cp = p « barré courbe » = pro, 2 = signe ondulé ur ab’ aboutant - aboutissant - ab’d’b’ aboutissant d'un bout - about’ aca’e à cause - acau’e accoust’ accoustumé(es) - acoust’ acoustumé(es) - acqon acquisition - acqui’on ad’ a di(c)t - adeurs admodiateurs - adjo²’ adjourné(es) - adm’de admende - adrec’ adrecié(es) - adreçant(es) - aff’ affin - aff’e affaire - affere - affer affermer - affirmer - aff’on affermation - affirmation - al’ alias - al’s am’de amende - ann’ appt’

Enluminure L’enluminure est une décoration manuscrite qui est parfois présente au Moyen Âge et à l’époque moderne sur le livre manuscrit puis imprimé.La miniature est une image peinte.Au sens strict, l’enluminure décrit une représentation imagée ou une illustration élaborée, à la différence de la simple rubrication qui consiste à écrire certaines capitales en rouge d’abord, puis ensuite également en bleu, voire en vert.Pour Christopher de Hammel, l’enluminure est plus précisément une décoration comportant l’utilisation d’or ou d’argent, « which reflect and sparkle when they catch the light ».La bibliographie sur le sujet est très riche, et comprend beaucoup de monographies consacrées à un livre, un ensemble de livres ou un miniaturiste ainsi que des catalogues d’expositions. Les mots clés permettant de faire des recherches dans les catalogues : enluminure ; manuscrit à peinture. Généralités DIRE, Clarisse. HAMEL, Christopher (de). A History of Illuminated Manuscripts. 2e éd. enrichie, réimpr.

Cours de paléographie - Paleography course - Archive du cours d'Arisitum Cours de paléographie - Archive du cours d'ArisitumBonjour, la navigation sur l'ensemble de ce site se fait par le menu latéral de gauche. Ce cours en ligne a été réalisé du 1er novembre 1996 au 28 juin 1997 sur le site Arisitum par : Jean-Claude TOUREILLE, en 1997, Président de L'A.D.I.H.A.F et webmaster du serveur ARISITUM. Bonne lecture, mon adresse courriel : eric point voirin at free point fr Vous pouvez consulter aussi : Le site miroir de Stéphane Pouyllau, co-auteur de ce cours de paléographie.L’archive du site Arisitum Paléographie Généalogie - Home Abréviations paléographiques – Les carnets de l'IRHT L’abrégement des mots constitue un expédient naturel dès que l’espace vient à manquer ou que l’on veut s’épargner la répétition de mots connus du lecteur. On classe formellement les abréviations en deux types : par suspension, lorsqu’elles tronquent toute la fin du mot [ex. : praef’ = praef(ectus)], les sigles qui ne conservent que l’initiale représentant les cas limites ;par contraction lorsqu’elles suppriment un certain nombre de lettres (généralement les voyelles) à l’intérieur du mot, en laissant subsister la finale [ex. : dn’s d(omi)n(u)s ; p’p’l’s = p(o)p(u)l(u)s]. Cette distinction est historiquement fondée et correspond aux deux sources dont on s’accorde à faire dériver la pratique abréviative : sources administratives et judiciaires d’une part, textes bibliques de l’autre. Au-delà de ces classifications, il existe un certain nombre d’abréviations primordiales ; leur omniprésence leur fera jouer un rôle capital dans l’évolution du système. Principales abréviations françaises

Les Degrés de Parentés et Dispenses de Consanguinité PARENTÉS ET DISPENSES POUR CONSANGUINITÉ ou dispense d'affinité spirituelle Dans les actes de mariages, on peut parfois lire une mention de "Dispense pour consanguinité" ou dispense d'affinité spirituelle, accordée par le Pape ou par l'Évêque, avec une indication du degré de parenté. Voici dans un tableau de correspondances, ces degrés de parenté pour consanguinité : Il peut être intéressant de relever les dates de dispenses ainsi que l'instance qui les a accordées (Pape ou Évêque). LesÉvêchés (voire le Vatican) possèdent dans leurs archives les originaux de ces actes de dispenses qui, bien malheureusement, n'établissent pas la généalogie des couples dispensés pour consanguinité (Registres des insinuations ecclésiastiques). Ces actes sont en latin, rédigés toujours sur le même modèle. Il serait intéressant par contre de trouver les dossiers envoyés par les prêtres des paroisses, prouvant la consanguinité des époux.

Manuel de paléographie moderne | CDIP Boutique Impossible de faire de la généalogie sans rencontrer un jour ou l’autre des problèmes de déchiffrage d’actes anciens. La lecture régulière, répétée et surtout progressive des documents de l’Ancien Régime peut bien sûr contribuer à l’apprentissage individuel de la paléographie. Mais cela peut sembler long au chercheur impatient ou à celui qui travaille sur les archives numérisées en ligne, un peu moins faciles à lire. Vous venez d'ajouter ce produit au panier Manuel de paléographie moderne Par ailleurs, si un acte est difficile à déchiffrer sur la forme, le fond est parfois aussi dur à comprendre. Béatrice Beaucourt-Vicidomini, diplômée d’une maîtrise d’histoire moderne, généalogiste et paléographe professionnelle, est membre de la chambre syndicale des Généalogistes et héraldistes de France. Nombre de pages : 144Dimension : 21x29.7

Questions autour d’une source – Master Histoire, civilisations et patrimoine Des notes manuscrites…. Dominique DATH tous droits réservés La source est l’alpha du chercheur. Pas de source, pas d’histoire ou si peu. Un manuscrit et des questions J’utilise deux types de sources : des sources imprimées et des sources manuscrites. Mémoires affrontées, qui croire? Le temps de l’écriture est un temps complexe, ainsi que je l’ai déjà raconté. A l’imprimé: un travail de longue haleine Dominique DATH tous droits réservés Quand aux sources imprimées, certaines m’appartiennent. Mon hypothèse est-elle la bonne? Lorsque j’ai choisi mon sujet d’étude, à la frontière de l’histoire sociale et culturelle, je ne savais pas exactement comment analyser une source. L’histoire est une science, les chercheurs ont parfois utilisé des chiffres et des séries statistiques. Crédits à la une: CC Roland O’Daniel

L'écriture française des XVe - XVIIIe siècles - Archives départementales de Meurthe-et-Moselle Dans l’ancien duché de Lorraine, certains textes du XVe siècle sont appropriés pour débuter l’initiation paléographique, avec leur écriture régulière et leurs abréviations presque “normalisées”. Certes nous retrouvons quelques termes de l’époque nécessitant un recours aux dictionnaires adéquats, mais le tracé des lettres (ductus) à la plume d’oie - avec pleins et déliés - est assez régulier et les mots abrégés sont identifiables par une forme caractéristique (plus ou moins évidente) ou un tilde indiquant le manque d’une ou plusieurs lettres. En premier lieu, il est impératif de référencer chaque document afin de le classer et de le retrouver. Pour les services d'archives, les documents sont référencés de la façon suivante : cote, folio et/ou numéro. Quelques exemples : B 835 n° 152B 8861 f° 1 (ou fol. 1) pour le folio rectoB 8043 f° 23v (ou fol. 23v) pour le folio versoH 2540 pièce n° 4 Quant aux transcriptions, elles sont littérales et intégrales (erreurs d’écriture comprises).

Formation – Éditer les documents d’archives médiévaux et modernes Formation – Éditer les documents d’archives médiévaux et modernes Du mercredi 26 avril 2017 au jeudi 27 avril 2017 Lieu : École nationale des chartes, au 65, rue de Richelieu, Paris 2ᵉ – salle Informatique (3ᵉ étage) L’édition de texte est un outil précieux pour comprendre, interroger et diffuser les textes médiévaux et modernes. À ce titre, elle fait l’objet depuis plusieurs années d’un vif regain d’intérêt, stimulé par les méthodes de l’érudition et par le développement de l’édition électronique. Public : Des notions de paléographie médiévale et moderne constituent un préalable bienvenu. Contenu : 1. 2. 3. 4. Source : École nationale des Chartes WordPress: J'aime chargement… A propos RMBLF Réseau des médiévistes belges de langue française Cet article a été publié dans Enseignement.

Les abréviations par suspension Le 20 nov. 2017 par Frédéric Thébault La suspension consiste en un non achèvement de l’écriture d’un mot. La, ou les, dernières lettres du mot, ne sont pas écrites par le scribe, tandis qu’un signe abréviateur, (nommé titulus d’abréviation ou tilde) vient prévenir le lecteur qu’il se trouve face à une abréviation. Ce signe peut prendre différentes formes : 1- Le titulus d’abréviation peut se présenter sous la forme d’un trait surmontant le mot, ou la partie manquante du mot : « procureur » (1621) « laboureur habitant » (1717) « pour » (1586) 2- Le titulus d’abréviation peut prendre la forme d’un trait montant, d’un trait plongeant, d’une boucle… placé en fin de mot, dans le prolongement de la dernière lettre écrite : « troisième » (1621) « par devant » (1643) « juge ordinaire » (1643) «desdites » (1733) « dudit » (1584) «dudit » (1655)

Patrimoine numérisé de Besançon - Découverte - Tous les A la loupe - A la loupe - 2012 - Le conseil municipal date de 1290 - Le conseil municipal date de 1290 Les délibérations municipales de Besançon sont parmi les plus anciennes en France. La série est quasi complète de 1290 à nos jours, ce qui est très rare voire unique en France : 364 registres, dont celui qui vous est présenté est le tout premier. Il comporte 184 feuillets papier, avec une reliure en bois recouvert de veau ciselé (technique espagnole ou italienne), ornée sur chaque plat de cinq cabochons de cuivre. Consulter la série complète des délibérations. La Ville de Besançon est l’une des rares qui aient eu la bonne fortune de conserver la plus grande partie de ses anciennes archives municipales. Le premier registre de délibérations municipales couvre une période allant de 1290 à 1320. Voici les premiers mots de ce registre : « L'ant qui corroit par M. Quant au contenu de ce registre, ce ne sont pas à proprement parler des délibérations. Précisons que les dirigeants de la commune étaient aussi chargés de sa défense, en effet l’empereur leur en avait confié les clés dès 1290.

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