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Le sentiment de confiance accompagne l’apprentissage

Le sentiment de confiance accompagne l’apprentissage
30 juillet 2015 © Fotolia L’apprentissage est souvent accompagné du sentiment de "savoir" : il révèle la confiance que l’individu a en sa nouvelle connaissance. Un modèle de calculs probabilistes Pour parvenir à ses résultats, les chercheurs ont recruté 18 individus, plutôt jeunes et d’intelligence normale. Au terme d’une première phase d’étude, les chercheurs changeaient les probabilités régulant la diffusion des signaux sans en informer les volontaires, mettant à mal leurs calculs probabilistes. Un cerveau statisticien Les données ainsi obtenues montrent que la confiance du sujet augmente au sein des périodes stables et chute quand un changement amène à réviser ce qu'il avait appris jusque-là. Note *unité 992 Inserm/CEA, NeuroSpin, Gif-sur-Yvette Source Related:  pedagogieDe l'estime de soi, respect des autresApprendrememoire

untitled Climat scolaire - Agir en faveur de l’engagement et de la motivation des élèves Parmi les sept facteurs déterminants du climat scolaire, les stratégies pédagogiques sont favorables à l’engagement et à la motivation des élèves. S’informer “En ce qui concerne la relation pédagogique, le choix s’oriente vers un style qui promeut la coopération et évite les deux pièges bien connus de l’autoritarisme et du laisser-faire […]. “Améliorer le climat passe par l’augmentation de l’identification collective dans les établissements, celle des professionnels comme celle des élèves.” Agir Un bon climat scolaire et le bien être à l’école, au collège ou au lycée, du point de vue des élèves, reposent sur un certain nombre de principes éducatifs et pédagogiques. Les principes suivant peuvent se décliner de la manière suivante, dans ces actions et pratiques favorables à l’engagement, la coopération et la motivation, dans l'établissement, dans la classe et avec l'élève. Dans l’établissement Dans la classe Avec l’élève S'inspirer

9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants durant vos formations et présentations Comme je vous le disais dans l’article de lundi, la surcharge cognitive est un phénomène crucial qui peut menacer la digestion mentale de vos participants. Lorsque leur mémoire de travail est trop sollicitée – notamment en raison d’un contenu trop important ou trop complexe – le cerveau de vos participants peut rapidement devenir saturé en informations. Outre un tube d’aspirine, je vous invite à découvrir ci-dessous 9 manières de réduire la charge cognitive au moment de délivrer votre contenu, que ce soit dans le cadre de formations, conférences et présentations : Découvrez 9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants lors de vos prochaines formations et présentations en public. 1. Dans le cas d’une présentation, si vous avez tendance à inclure trop d’informations sur vos diaporamas, réduisez-en le contenu en privilégiant des images, photos, animations, schémas, mots-clés… Accompagnez vos slides en présentant oralement le contenu et les détails. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Psychologie cognitive pour l'enseignant/Le mythe des styles d'apprentissage — Wikilivres Certains proclament que les élèves ont des points forts et des points faibles, des méthodes d'apprentissage différentes ou des particularités autres auxquelles l'enseignement doit s'adapter. Cette hypothèse les pousse à adapter l'enseignement aux différentes manières d'apprendre, histoire de donner un enseignement plus personnalisé, individualisé. L'enseignement est alors plus varié, plus diversifié, chaque élève ayant accès à un grand nombre d'approches différentes. Cette spécialisation de l'enseignement aux différentes manières d'apprendre est ce qu'on appelle la différentiation pédagogique. Styles d'apprentissage[modifier | modifier le wikicode] Certains chercheurs et pédagogues ont supposé l'existence de préférences liées au processus d'apprentissage : certains apprendraient mieux d'une certaine manière, manière qui ne conviendrait pas à d'autres. Quelques théories sur les styles d'apprentissage[modifier | modifier le wikicode] Le modèle d'Anthony Gregorc est assez similaire.

Echec scolaire : quel mécanisme cérébral ? (Voir la 2ème partie du dossier pratique) Prenons l’exemple d’un élève qui, depuis longtemps, est en échec scolaire. Il a le sentiment qu’il ne sait rien et qu’il n’a aucune qualité. Le jour de l’examen, il est certain qu’il ne pourra jamais réussir. Il est battu d’avance. ;;;;;• Le cerveau reptilien prend le pouvoir sur l’enfant L’enfant agit par rapport aux trois comportements instinctifs dictés par le cerveau reptilien. - Le comportement instinctif de lutte induit chez cet enfant des réactions de colères et de révolte contre la difficulté du sujet d’examen. - Le comportement instinctif de fuite incite l’enfant à ne plus travailler et à quitter la salle d’examen ; - Le comportement instinctif d’inhibition empêche l’enfant de réfléchir. Tant que les lobes frontaux ne reprendront pas le contrôle de la situation pour calmer les émotions négatives du cerveau reptilien, l’enfant sera en situation d’échec scolaire. ;;;;;• Comment savoir si son enfant est stressé ? A-t-il la gorge serrée ?

MARS 2015 | e-respect Après dix ans de parcours, l’universitarisation de la médecine générale est maintenant une réalité avec la récente annonce de la création d’une sous-section pour la médecine générale au Conseil National des Universités. C’est à l’évidence une avancée significative pour la profession, reconnaissance d’un haut niveau de formation avec une recherche et des publications de médecine générale de qualité. Cette avancée n’est cependant pas un aboutissement. La médecine générale doit répondre à d’autres défis qui sont le reflet de l’évolution de la médecine en général. Le Développement Professionnel Continu (DPC) est une mission de tout médecin.

Pédagogie de la créativité : de l’émotion à l’apprentissage 1 Je remercie Nicolas Perrin pour sa lecture critique de mon texte. 1La perception que l’apprenant a de ses émotions et des manifestations physiologiques qui en découlent, a une influence très forte sur l’apprentissage et la réussite scolaire (Bandura, 1997/2007)1. Ainsi, comment construire un environnement qui induirait des émotions facilitatrices d’apprentissage et qui réduirait ainsi les émotions parasites de l’apprentissage ? Quel pourrait être le rôle de la créativité dans ce processus ? 2 Nous ne savons pas encore si le terme de paradigme est le plus approprié ou s’il serait préférable (...) 2Une pédagogie de la créativité n’implique absolument pas de modification du programme. 3Cet article se propose de définir quelques concepts-clés d’une pédagogie de la créativité que sont notamment la créativité, l’émotion et d’analyser une partie des résultats d’une recherche menée autour de cette pédagogie à partir d’un dispositif qui a permis d’identifier quelques processus en jeu.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

Neurosciences et apprentissages Les neurosciences constituent l'une des branches de la recherche médicale qui intéresse le plus le grand public. Nous fondons d'énormes espoirs dans la recherche sur le fonctionnement du cerveau, qui bénéficie de financements importants. Mais il n'est pas plus raisonnable de fonder l'espoir d'une société idéale ayant vaincu la maladie et, pourquoi pas, la mort, sur les neurosciences que sur les technologies numériques. Mais peut-on vivre et avancer sans cet espoir ? Sans doute pas. Et chaque découverte sur le fonctionnement de notre cerveau est bonne à prendre. Il ne faudrait pourtant pas confier toute sa destinée d'apprenant et, plus largement, d'être humain, à la puissance de l'esprit. Ces caractéristiques semblent aujourd'hui pouvoir se déployer dans un espace numérique moins normé que l'espace physique, qui devient le terrain de jeu sans limites de notre esprit. Illustration : Lightspring, Shutterstock.com Exige-t-on trop des neurosciences? 5 mai 2013 L'appel du ventre 6 mai 2013

Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Depuis 1996, la présence des neurones miroirs a été confirmée par nombres d’études ouvrant la voie vers une compréhension des mécanismes perceptifs ainsi que des processus cognitifs essentiels comme l’interprétation des actions perçues. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2.

Les 7 clés de la mémoire

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