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Syndrome de Stockholm

Syndrome de Stockholm
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le syndrome de Stockholm désigne un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d'empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d'identification et de survie. Le terme « syndrome de Stockholm » a été créé par le psychiatre Nils Bejerot en 1973, mais le mécanisme était déjà bien connu et avait été décrit, entre autres, par des psychanalystes comme Sandor Ferenczi – qui parle d'« identification à l'agresseur » – comme modalité psychique d'adaptation à toutes sortes de situations traumatiques[1], ou par Janine Puget[2]. Un syndrome similaire peut s'appliquer aux ravisseurs lorsque ceux-ci sont influencés par le point de vue de l'otage. Le fait divers à l'origine[modifier | modifier le code] Analyse du syndrome[modifier | modifier le code] Trois critères : Culture[modifier | modifier le code] Related:  développement professionnel

Manipulation mentale Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau. Une manipulation mentale ou manipulation psychologique est — en psychologie — une méthode délibérément mise en œuvre dans le but de contrôler ou influencer la pensée, les choix, les actions d'une personne, via un rapport de pouvoir ou d'influence (suggestions, contraintes). Les méthodes utilisées faussent ou orientent la perception de la réalité de l'interlocuteur en usant notamment d'un rapport de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Même si la manipulation mentale fait penser aux sectes ou au lavage de cerveau, elle entre en jeu dans les relations quotidiennes et concerne aussi bien les individus que les foules. Elle peut même avoir une perception positive dans le cas de la séduction amoureuse. Définition[modifier | modifier le code] « La manipulation consiste à construire une image du réel qui a l'air d'être le réel[1]. » — Philippe Breton Histoire[modifier | modifier le code]

Prise d’otages, quand faut-il craindre le syndrome de Stockholm ? A travers le monde, les prises d'otages sont devenues monnaie courante. Au cours de leur captivité, certains prisonniers développent ce qu'on appelle le syndrome de Stockholm. Mais que cache ce nom énigmatique ? Ce syndrome définit un curieux phénomène psychique qui incite les victimes d'enlèvement à manifester une certaine sympathie vis-à-vis de leurs ravisseurs. Pourquoi porte-t-il le nom de la capitale suédoise ? Parce qu'il a été observé pour la première fois en août 1973 dans cette ville chez plusieurs employés de banque du Crédit suédois. Mariages et adhésions Le syndrome de Stockholm, décrit en 1978 par le psychiatre américain F. En décembre 1999, pendant le détournement de l'avion indien, qui a connu de multiples escales imprévues entre New Delhi, Lahore et Dubaï, certains passagers semblent également avoir développé des sentiments positifs envers leurs ravisseurs. Plus fréquent chez les femmes jeunes Prendre en charge les victimes Dr Corinne Tutin

Documentaire: Le Cerveau et ses Automatismes le pouvoir de l’inconscient Le cerveau et ses automatismes 1/2: La magie de l’inconscient Des séquences animées en 3D prouvent que notre capacité de raisonnement atteint vite ses limites et peine à influencer nos comportements. Des objets banals tels que des allumettes et des chaises permettent des expériences surprenantes quand ils sont manipulés par des chercheurs.Pour prouver le bien-fondé de leurs thèses, ces derniers n’hésitent pas à s’élancer sur une planche de surf ou à étudier les méthodes des prestidigitateurs. Autant de raisons de s’inquiéter parfois, notamment quand nous apprenons que notre cerveau prend les décisions sept secondes avant que nous en ayons conscience !Un fascinant périple aux quatre coins du monde, de l’Australie à l’Allemagne en passant par les États-Unis et la Suède, pour observer nos neurones dans tous leurs états. Le cerveau et ses automatismes 2/2 – Le pouvoir de l’inconscient

Victimes et bourreaux : le syndrome de Stockholm Un otage qui adhère aux thèses de son ravisseur et qui s'interpose entre lui et les forces de l'ordre au moment de sa libération : de telles situations incompréhensibles sont décrites sous le terme de syndrome de Stockholm. Leur étude révèle certains rouages de la psychologie humaine. Éric Torres Patricia Hearst, fille de milliardaire kidnappée par un groupe politico-terroriste, a subi un syndrome de Stockholm : elle s’appropria les convictions de ses ravisseurs, les accompagnant notamment dans une attaque à main armée. © Corbis / Sygma Eric Torres est médecin commandant sapeur-pompier au Service départemental d'incendie et de secours des Bouches-du-Rhône, médecin urgentiste attaché au smur de Hyères et rédacteur en chef adjoint de la revue Urgence Pratique. Stockholm, 23 août 1973 à 10 heures 15. Les victimes de telles attaques ont passé d'innombrables entretiens psychologiques. Un étrange attachement au ravisseur

La communication non verbale La communication non verbale : silences, gestes, postures, expressions faciales, ton de la voix, rythme de l’élocution, vêtements… complètent le message auditif. Elle exprime les émotions, les sentiments, les valeurs. Cette communication renforce et crédibilise le message verbal lorsqu’elle est adaptée, mais peut décrédibiliser ce même message si elle est inadaptée. 1. Selon A. Les éléments proxémiques et kinésiques sont constitutif de la relation qui se créé entre deux acteurs de la communication : ils favorisent ou découragent le contact, ils influent sur le contenu plus ou moins intime ou familier de la conversation, ils apportent des indices sur la distance prise par l’émetteur par rapport à son message. Lire : Les signes comportementaux, kinésique et proxémique 2. Les silences font intégralement partie de la communication, car ils expriment quelque chose et qu'ils sont indispensables à l'écoute de l'autre. Certains silences sont lourds de sens. 3. 4. 5. 6. Les vêtements Les accessoires

Le syndrome de Stockholm Pourquoi ce paradoxe ? Le 23 août 1973 à 10h15, un évadé de prison, Jen Erik Olsson tente de commettre un hold-up au Crédit Suédois de Stockholm. L'intervention des forces de l'ordre l'oblige à se retrancher dans la banque où il prend en otage quatre employés. Il obtient la libération de son compagnon de cellule, Clark Olofsson, qui vient immédiatement le rejoindre. Les médias rapportent les surprenantes déclarations des personnes détenues : « nous avons pleinement confiance dans les deux bandits », « les voleurs nous protègent contre la police » (1, 2). Tableau clinique Ce comportement paradoxal des victimes de prise d'otage est décrit pour la première fois en 1978 par le psychiatre américain F. Le syndrome de Stockholm se différencie des psychoses par un caractère généralement réversible qui se manifeste dans les jours ou dans les semaines qui suivent la libération. L'adhésion des victimes à la cause de leurs agresseurs est souvent persistante. Evolution de la définition de l'otage

l'importance de la communication non-verbale De drôles de chiffres circulent sur l’importance de la communication non verbale. Les plus populaires, sans doute parce qu’ils sont les premières statistiques fournies sur ce sujet, sont les chiffres d’A. Mehrabian (7% les mots, 38 % ton, timbre intonation, 55 % le langage non verbal). Difficile de dire d’un point de vue quantitatif, ce que représente le langage non verbal, et plutôt qu’un discours quantitatif de plus, c’est plutôt à partir d'un exemple, que nous allons raisonner : Imaginez au loin, un ami avec qui vous voulez partager un évènement personnel heureux. Ce phénomène se produit chaque jour. Pourquoi à votre avis certaines personnes sont réputées pour être celles à qui toutes les confidences sont livrées, alors que d’autres ne se voient jamais confier d’informations d’ordre personnel ? Prenons maintenant un autre exemple : D’une certaine manière à son insu et au nôtre, les effets du langage corporel sont plus insidieux. (1) Mehrabian, Albert; Wiener, Morton (1967).

Le syndrome de Stockholm Partager cette page: Auteur: Jérôme Vermeulen psychologue Un hold-up à Stockholm Durant l'été 1973, un hold-up qui a lieu à Stockholm va mal tourner. Les braqueurs sont obligés de prendre en otage plusieurs employés qu'ils vont séquestrer durant plusieurs jours. Une étrange réaction des otages C'est la réaction des otages qui donne son nom au syndrome de Stockholm. Le syndrome de Stockholm a pu être ainsi observé à de nombreuses reprises, et filmé parfois dans des situations où, lors d'une prise d'otage violente et dangereuse, les otages, devant la caméra d'une équipe de télévision elle-même prise en otage, s'en prennent verbalement aux policiers. Le paradoxe du syndrome de Stockholm Le syndrome de Stockholm décrit donc une situation, fondamentalement paradoxale, où les agressés vont développer des sentiments de sympathie, d'affection, voire d'amour, de fraternité, de grande compréhension vis-à-vis de leurs agresseurs. Analyse psychologique du syndrome de Stockholm

Communication non verbale: des techniques... Comment être convaincant à l'oral, avoir plus de présence, faire des interventions plus marquantes? Il faut avant tout structurer son intervention d'une manière adaptée. Mais ensuite, ce qui fera la différence passera plus par ce qu'on appelle le "non-verbal". Apprendre à respirer Pour un grand nombre d'entre nous, apprendre à maîtriser sa voix améliore de façon étonnante l'impact à l'oral. Pour certains, le déclic viendra de la découverte du côté physique de la prise de parole en public : l'ancrage au sol, les différents appuis, la manière d'aller chercher de l'énergie en soi pour la transmettre à son public... Chez d'autres, cela passera par une meilleure utilisation du regard, du sourire, des silences. Avoir confiance en soi Mais il faut faire attention à ne pas se contenter d'accumuler des techniques en croyant que cela nous donnera du talent. Une bonne intervention orale passe toujours par une prise de confiance.

Cet exercice des couleurs vous aidera à mieux vous connaitre Notre corps entretient des rapports mystérieux avec les couleurs. Certains jours nous avons une préférence pour une telle couleur, d’autres jours elles nous insupportent. Ces rapports d’attraction ou de rejet qu’on a envers certaines couleurs sont très souvent révélateurs de notre état d’esprit et des émotions intérieures que nous avons-nous-mêmes parfois du mal à percevoir. Cet exercice des couleurs, qui est extrait du langage secret des couleurs de Dominique Bourdin vous permettra de déterminer exactement vos émotions du moment et vous aidera à faire le point dans votre vie. Instructions : Détendez-vous et respirez calmement, puis observez ces 12 couleurs. Une fois que vous aurez trouvé deux couleurs qui vous attirent, faites le même exercice en repérant les couleurs qui ne vous plaisent pas. Voici la signification des couleurs que vous avez choisies : Si vous aimez : L’écarlate : Vous avez besoin d’établir des bases solides pour vous reconstruire. Si vous n’aimez pas :

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