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Neuroanatomie - La moelle épinière

Neuroanatomie - La moelle épinière

Plasticité cérébrale - Plasticité neuronale - Neuroplasticité La plasticité cérébrale décrit la capacité du cerveau à remodeler ses connexions en fonction de l’environnement et des expériences vécues par l’individu. Dès la vie fœtale, des connexions entre neurones se mettent en place. Plus tard, après la naissance, certaines connexions sont conservées et d’autres disparaissent. Plasticité cérébrale et apprentissage La plasticité cérébrale est à l’œuvre lors des apprentissages qui nécessitent le remaniement des circuits nerveux. Un exemple de plasticité cérébrale La plasticité cérébrale est aussi possible grâce des cellules indifférenciées qui peuvent remplacer des neurones détruits accidentellement. À découvrir en vidéo autour de ce sujet : Lors de son fonctionnement, le cerveau émet des ondes cérébrales qu'il est possible de capter avec des électrodes. Lors des apprentissages, des connexions entre neurones (synapses) sont renforcées. © StudioSmart, Shutterstock Plasticité cérébrale - 1 Photo À voir aussi sur Internet connexes

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! L'information en provenance d'un stimulus externe atteint l'amygdale de deux façons différentes : par une route courte, rapide mais imprécise, directement du thalamus, et par une route longue, lente mais précise, celle qui passe par le cortex. C'est la route courte, plus directe, qui nous permet de commencer à nous préparer à un danger potentiel avant même de savoir exactement ce dont il s'agit. Ces précieuses fractions de secondes peuvent, dans certaines situations, faire la différence pour notre survie. Si le cortex avait toutefois confirmé la présence d'un serpent, vous n'auriez probablement pas simplement sursauté mais déguerpi avec toute la vigueur que les modifications physiologiques enclenchées par l'amygdale permettent. La voie rapide du thalamus à l'amygdale ne prend donc pas de chance et nous alerte de tout ce qui semble représenter un danger. Mais le cortex n'est pas le seul à venir ajouter son grain de sel en précisant la nature de l'objet.

Les aires corticales et leurs fonctions - Neuromedia jeudi, 4 mars 2021 Les aires corticales sont des zones du cerveau situées dans le cortex cérébral. Le cortex cérébral désigne la partie superficielle du cerveau et contenant la substance grise des hémisphères cérébraux. Les expériences de stimulation électrique et d’ablation du cortex ont permis de: dresser une cartographie du cortex cérébral (cette cartographie fut mise à jour grâce à la technique d’imagerie cérébrale),et ainsi de localiser les aires corticales et déterminer leurs fonctions. Les trois types d’aires corticales : Les aires motrices (ou cortex moteur) Ces aires comprennent le cortex moteur primaire, le cortex prémoteur et l’aire de Broca. Le cortex moteur primaire, situé en avant de la scissure centrale, contrôle des muscles spécifiques du corps, particulièrement ceux à l’origine de mouvements fins (doigts, pouce, lèvres, bouche). Le cortex prémoteur, situé en avant du cortex moteur, provoque des mouvements coordonnés (p. ex les mouvements engagés dans une activité sportive). 3.

Circuit de Papez et Système Limbique - Amnésie et mémoire Le circuit de Papez est un circuit qui nous permet de ressentir des émotions. C'est un circuit double (l'un se situe dans l'hémisphère gauche, l'autre dans l'hémisphère droit) qui relie des structures comme l'hippocampe(situé dans le cortex temporal interne), le gyrus cingulaire ( proche du cortex frontal) ainsi que le thalamus (noyau antérieur) et les corps mamillaires. Ce système entretient des liens (connections neuronales) avec le cortex limbique et l'amygdale, des structures qui véhiculent les émotions, mais aussi avec les cortex sensoriels qui assurent la perception en recevant des afférences périphériques(chose vues, entendues, senties...). Les afférences sensorielles, une fois traitées, convergent vers l'hippocampe puis sont acheminées, via les corps mamillaires et le thalamus, vers le gyrus cingulaire, puis reviennent se consolider par l'hippocampe qui décidera, en fonction de son intérêt et de sa charge émotionnelle, si l'information doit être stockée ou oubliée. -Le fornix

Champs récepteurs et inhibition latérale Les cellules horizontales de la rétine ont un rôle important dans le traitement rétinien de l’information. Elles reçoivent l’information des photorécepteurs situés au-dessus d’elles et elles inhibent les photorécepteurs entourant le photorécepteur éclairé. Elles génèrent donc une inhibition latérale qui augmente le contraste entre les zones éclairées et les zones sombres. Cette inhibition latérale induit un rehaussement du contraste au voisinage d’une limite entre deux zones homogènes . Elle est aussi responsable de certaines illusions d’optique comme celle de la figure ci-dessous où on voit apparaître aux intersections une zone grise, sauf en vision axiale. Dans la zone fovéale, où les champs récepteurs sont petits, à l’intersection de deux bandes blanches, on peut considérer que les champs récepteurs latéraux au point de fixation n’exercent pas d’inhibition sur la zone de croisement et celle-ci n’apparaît pas plus sombre.

Vision Champs récepteurs et inhibition latérale Ecrit par F Jauzein (enseignante de SVT, chargée d'étude INRP). Source :PERCEPTION HUMAINE DE LA COULEUR (vue par un physicien) Jean-Marc Frigerio Laboratoire d’Optique des Solides UMR 7601 du CNRS,Université Pierre et Marie Curie - 4, place Jussieu,75252 Paris cedex 05 Exploration du champ visuel L'exporation du champ visuel permet l'étude de toute la voie optique qui va de la rétine au cortex visuel occipital. Interprétation des anomalies du champ visuel Le champ visuel monoculaire est celui qui est exploré en clinique. Substitution sensorielle chez le non-voyant Ce dossier scientifique met en relation plasticité cérébrale et traitement de l'information visuelle en mettant en avant certaines techniques qui permettent de suppléer à un déficit visuel chez l'homme. contact : ternauxmi@numericable

De la rétine au Cerveau Vue gauche de l'encéphale ( Logiciel Oeil) Source : Bordas première ES/L Etude du document : Information de base à maîtriser : Le champ visuel est divisé en deux parties, le champ visuel temporal situé côté "tempe" et le champ visuel nasal situé côté nez (plus petit car le nez gène la vision). On cherche à comprendre le circuit des fibres nerveuses visuelles soit de comprendre de quelle partie de l'oeil viennent ces fibres et où elles vont dans le cerveau On constate lors de la coupure en A, que le sujet est aveugle de l'oeil droit : aucun message en provenance de l'oeil droit n'est arrivé au cerveau. On constate quand on coupe en B, que le sujet ne perçoit pas la partie temporale de son champ visuel droit (la partie extérieure, côté "tempe") ainsi que la partie temporale de son champ visuel gauche. On constate qu'il ne perçoit également pas les rais lumineux de la partie temporale de son champ visuel gauche, et donc les messages en provenance de la rétine nasale gauche .

Dictionnaire médical de l'Académie de Médecine

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