Où se trouvent les installations nucléaires en France ? - Cartographie Le Réseau Sortir du nucléaire a édité fin 2010 une carte avec l’implantation des installations nucléaires en France. Centrales, usines, sites de stockage de déchets, sites militaires... Cette carte montre l’ampleur de la présence du nucléaire en France. © Réseau Sortir du nucléaire Alors que l’Allemagne a décidé de fermer ses 7 plus vieux réacteurs et que la Suisse suspend son programme de renouvellement de centrales nucléaires suite à la catastrophe japonaise, la France, pays le plus nucléarisé au monde, poursuit son programme de construction de réacteurs dans des conditions parfois inquiétantes. Le Réseau Sortir du nucléaire demande la « fermeture immédiate des 16 réacteurs nucléaires en service depuis plus de 30 ans en France » et un référendum sur la sortie du nucléaire. La carte en grand format / Commander une version imprimée A lire, les enquêtes de Basta ! Borloo et Bachelot veulent-ils couvrir la France de matières radioactives ? Comment Bouygues exploite ses salariés du nucléaire
Book bloc à Rome Pour ceux qui ne suivraient pas l’actualité, après les manifestations des étudiants anglais s’opposant à l’augmentation dégueulasse des frais d’inscriptions aux facultés, c’est à Rome qu’ont éclatées hier de chaudes manifestations après la réélection (à trois voix près) du vulgaire et néfaste Silvio Berlusconi à la présidence du Conseil (grâce à l'achat de voix de députés, mais ça c'est une autre histoire me direz vous…). On peut voir ça ici ou là (merci à JBB pour les liens). Et voilà qu'apparait en tête de cortège cet étonnant «book bloc». L’idée est excellente : se parer de boucliers pour aller en découdre avec les «gardiens de l’ordre» mais en y mettant la forme, en déguisant ces protections en couvertures de livres «piliers» pour la pensée du mouvement. Voilà peut-être comment on peut se battre avec ses idées. D'autres photos ici. En anglais, voici un «résumé» de cette ligne de front proposé par l’incontournable collectif italien Wu Ming : Shall we summarize?
14 centimes pour le Smic, 84 milliards pour le CAC 40 Vendredi, 19 Novembre 2010 14:26 La hausse du Smic au 1er janvier, qui sera officiellement connue en décembre, se situerait autour de 1,6% s'il n'y a pas de coup de pouce gouvernemental, de sorte que le salaire horaire minimum passerait "le seuil des 9 € bruts". Actuellement, le Smic horaire brut s'élève à 8,86 €. Cette revalorisation de 1,6%, selon le calcul publié mercredi par Les Echos, représente donc une royale augmentation de 14 centimes de l'heure, soit 1 euro brut par jour. De quoi mettre du beurre discount dans les épinards en promo des millions de salariés payés à ce tarif, qu'ils soient à temps complet ou non. Combien sont-ils ? Pire : les 26 millions d'emplois comptabilisés par l'Insee en 2008 n'ont représenté que 19 millions d'emplois en équivalent temps plein, et seuls 50% des salariés ont travaillé à temps complet ! Pendant ce temps, au premier semestre 2010, les grands groupes du CAC 40 ont réalisé 41,5 milliards d'euros de bénéfices, soit une hausse de 87% sur un an.
Train d'enfer : les élus ont été tenus dans l'ignorance ! Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que les maires des nombreuses communes traversées n’ont pas été informés du passage du train radioactif qui vient de rejoindre l’Allemagne. Le "train d’enfer" a pourtant parcouru 1500 km en France à travers 12 départements. En tenant les élus du peuple dans la plus stricte ignorance de leurs activités, AREVA et le lobby nucléaire montrent tout leur mépris envers la démocratie. Un véritable Tchernobyl sur rail a circulé en France pendant 24 h d’ouest en est, et l’Etat aurait voulu que les citoyens n’en sachent rien. Le Réseau "Sortir du nucléaire" a joué son rôle de lanceur d’alerte en révélant le trajet et les horaires du train d’enfer. Le train a maintenant passé la frontière allemande. Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce le dispositif policier impressionnant, son coût pour la démocratie… et pour les contribuables !
Les premières centrales nucléaires sous-marines dès 2017 » Article Une centrale nucléaire sous-marine est à l’étude en ce moment chez DCNS, avec Areva, EDF et le CEA. La nouvelle lubie des distributeurs et producteurs d’énergie a été prévue par les ingénieurs du leader européen du naval militaire et surtout, le prototype a été validé. Ce dernier verra donc le jour en 2013 pour une mise en service en 2017, avec de fortes présomptions qu’EDF en soit le premier client. L’enjeu le plus conséquent tient avant tout la sécurité du site. Le président est optimiste mais laisse toutefois sceptique quant à un éventuel accident nucléaire: l’eau est une barrière de protection naturelle, « il suffit de noyer le réacteur ». CC Jean-Louis Zimmerman