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10 conseils pour créer votre communauté sur les réseaux sociaux.

10 conseils pour créer votre communauté sur les réseaux sociaux.
Tags: communautés, community management, community manager, Facebook, réseaux sociaux, Twitter[ × ] Si créer une communauté est une excellente idée afin d’accroître votre présence sur Internet, cette démarche doit cependant être réfléchie et nécessite un plan d’action rigoureux. Bien mené, ce projet web marketing vous apportera sans aucun doute beaucoup, mais vous ne serez pas pour autant à l’abri d’un « bad buzz » ou d’un simple échec lié à une méconnaissance des us et coutumes du web. Gérer au mieux votre e-réputation et mettre en œuvre une relation client efficace ne se fait pas à la légère ! 1. Cela peut paraître bête, mais beaucoup se lancent dans l’aventure communautaire sans l’avoir réfléchie préalablement. Exemple : si votre entreprise commercialise des produits à destination des randonneurs, rendez-vous sur les forums et blogs spécialisés en la matière. 2. Comme pour toute gestion de projet, vous devez choisir au moins un chef de projet et lui permettre de constituer son équipe.

Nombre de Dunbar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nombre de Dunbar est le nombre maximum d'amis avec lesquels une personne peut entretenir une relation stable à un moment donné de sa vie. Cette limite est inhérente à la taille de notre néocortex. Elle est estimée par Robin Dunbar à 148 personnes[1] et a une valeur admise en pratique de 150 personnes[2],[3]. Ce nombre provient d'une étude publiée en 1993 par l'anthropologue britannique Robin Dunbar. Dunbar indique par ailleurs que le langage que nous avons collectivement développé joue un rôle important dans notre capacité à entretenir des relations sociales avec environ 150 personnes. Différentes études ont retrouvé des résultats proches du Nombre de Dunbar, dans le comportement des utilisateurs de réseaux sociaux sur Internet[4]. Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Robin Dunbar, Theory of Mind and the evolution of language, Cambridge University Press [PDF]

Le Community Management version US et l’industrialisation d’une pratique Le rapport « The 2011 State of Community Management » vient d’être diffusé. On mesure à cette occasion le fossé qui sépare la France et les Etats-Unis dans ce domaine, voir à ce sujet Médias sociaux en France : l’enquête qui fait peur. Les Français s’inscrivent encore trop souvent dans un schéma où l’on se focalise encore sur les outils, surtout parce que la mutation culturelle n’est pas faite. On prend les médias sociaux par le petit bout de la lorgnette, en les réduisant à de simples moyens pour faire de la com’ ou du business. Le community management n’est pas une pratique intégrée par tous les collaborateurs, mais réservée aux spécialistes (réels ou prétendus) des médias sociaux. Les Etats-Unis ont réussi à industrialiser le community management, avec l’efficacité qu’on leur connaît. Lire aussi sur choblab.com

Six degrés de séparation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Visualisation artistique du principe des six degrés de séparation. Les six degrés de séparation (aussi appelée Théorie des 6 poignées de main) est une théorie établie par le Hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons. Avec le développement des technologies de l’information et de la communication, le degré de séparation a été mesuré de 4,74 sur le réseau social Facebook[1] à 6,6 sur l’échange de plusieurs milliards de messages instantanés étudiés en 2008 par Eric Horvitz (en) et Jure Leskovec[2], chercheurs chez Microsoft, en analysant des discussions de Windows Live Messenger[3],[4]. Cette théorie est reprise en 1967 par Stanley Milgram à travers l'étude du petit monde. Premières versions[modifier | modifier le code] « Un jeu fascinant naquit de cette discussion.

La rémunération des Community Manager Pour un nouveau métier, il est parfois compliqué de connaître, mais aussi d’appliquer une rémunération adaptée. C’est une notion difficile à déceler pour les Community Manager, car la rémunération en France reste un sujet tabou contrairement à bon nombre de nos homologues étrangers. Afin de nous aider à créer une rémunération justifiée il est important de s’inspirer des métiers de la communication et de la stratégie, véritable mission d’un Community manager. À partir de l’idée que le métier pourrait se décomposer en 3 sections par rapport aux missions et que chaque section reprend les missions des sections précédentes, on pourrait imaginer un métier divisé : Community manager Niveau 1 : Gestion de contenuCommunity manager Niveau 2 : Création de contenus et veilleCommunity manager Niveau 3 : Stratégie planeur prise de directive long terme Nous pouvons estimer la rémunération en France d’un poste de cette manière: Annexe : About Gilles MARC

Analyse des réseaux sociaux L'analyse des réseaux sociaux est une approche issue de la sociologie, qui a recours à la théorie des réseaux afin d'étudier les interactions sociales, en termes de réseau. Il existe une association internationale de chercheurs en analyse de réseaux : l'International Network for Social Network Analysis (INSNA). Les trois grandes périodes[modifier | modifier le code] « Les fondations de ces différents édifices ont été construites entre les années 1940 et les années 1960 (outre les textes de certains auteurs classiques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, comme ceux de Bouglé et de Simmel). L'analyse des réseaux se fonde sur : un cadre théorique qui repose sur une conception large de la structure sociale et de nombreuses études empiriques démontrant que « les comportements des individus sont liés aux structures dans lesquelles ils s'insèrent »[2]. En 1957, Elisabeth Bott publie son étude sur les systèmes de relations des familles. Graphes et matrices[modifier | modifier le code] .

Community Management à ne pas faire - Facebook Le community management est de plus en plus important dans les stratégies online. Le poids des réseaux sociaux étant ce qu’il est, il devient difficile de passer à côté de ce « nouveau » métier du web. Pourtant, certaines marques s’essayent encore aux réseaux sociaux sans investir un minimum dans le community management et sans prendre le temps de réfléchir à une stratégie. Et lorsque le mécontement de certains clients pointe le bout de son nez…on frôle la catastrophe, essentiellement en terme d’e-reputation. C’est pourquoi je vous propose aujourd’hui un cas concret, vu sur Facebook, de ce qu’il ne faut surtout pas faire. A lire ci-dessous, l’échange complet, sur Facebook, entre un client mécontent et une enseigne, dont j’ai effacé toute trace pour ne pas faire de mauvaise publicité, l’objectif n’étant pas là. Client XXXX est incapable d’honorer ses commandes, et encore moins d’assurer un SAV digne d’une telle enseigne. 13 janvier, 17h33 Gentille employée 13 janvier, 20h07 Client Enseigne

Quels indicateurs pour la gestion des talents ? Publié le 03/11/2010 Attention, cet article a été publié le 03/11/2010. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Quels sont les principaux indicateurs pour mesurer la gestion des talents ? Comment ces indicateurs sont-ils suivis dans le temps ? Basée sur l’analyse des informations renseignées par un millier d’entreprises de 20 pays dans l’outil d’évaluation développé par Bersin & Associates et StepStone Solutions, l’étude révèle que pour 57 % des organisations, l’implication des collaborateurs est l’indicateur le plus utilisé pour mesurer l’impact de la gestion des talents sur l’entreprise. Les salaires passés en revue L’étude montre également que tous ces indicateurs ne doivent pas être utilisés de manière isolée. Des indicateurs pas toujours suivis… Yves Rivoal Crédit photo : Fotolia.com

Community manager bio-dégradable J’ai eu le plaisir d’animer une rencontre sur le thème du community management. La richesse des échanges et des différents points de vue a permis à tous de progresser sur notre compréhension des enjeux de cette activité de community manager (CM) ou animateur en interne. Pour ma part le community management doit être assuré non seulement par vos employés( et non par des consultants externes ou pire stagiaires) mais surtout chaque manager devrait être un peu community manager. J’ai eu confirmation par plusieurs entreprises de l’intérêt de ce choix avec des formes plus ou moins poussées : Certains demandent aux managers d’assurer cette tâche «en plus», ce qui me semble présenter un réel risque,D’autres au contraire ont formalisé pour certains managers un temps spécial dédié à ce nouveau rôle. il est d’alleurs frappant comme le remarquait un participant que les qualités, compétences fixées pour un CM selon France-Télécom Orange sont à 90% celles que nous devrions attendre d’un manager!

9 outils pour surveiller et travailler son eRéputation ! Gérer sa réputation sur Internet est devenu indispensable, que l’on soit une entreprise ou un particulier. Pour une entreprise, c’est essentiel, car de plus en plus de clients se renseignent sur internet avant d’acheter, et les avis qu’ils y trouvent influencent grandement leurs achats (en effet le discours des marques est de moins en moins considéré comme crédible par les consommateurs). Selon une enquête menée par PageJaunes.fr, 1 personne sur 2 est influencée par les avis postés sur le web : Pour un particulier ou un consultant, paraît désormais impensable pour quiconque cherche à obtenir un rendez-vous professionnel, un emploi… de laisser traîner sur son profil facebook la photo de sa dernière beuverie. Il devient donc indispensable de suivre un minimum son eRéputation… Partie 1 – Faire un bilan de son eRéputation ! 1 – Le minimum vital : faire un mini audit sur Google ! Que l’on soit un particulier ou une entreprise, il faut déjà faire un bilan de son eRéputation… A noter : En conclusion…

Community management : Les règles de l'engagement Qu'une guerre apparaisse à notre pourtour, même et surtout suscitée par un mandat international, au niveau opérationnel ce sont les règles d'engagement qui vont être déterminantes. Mal préparées elle font sortir d'un mandat et mènent à l'aventure, trop rigides et contraignantes elles interdisent au pilote de frapper et d'atteindre le but.. Le community manager est un art bien moins belliqueux mais qui répond à cette même obligation qu'en déléguant à un agent le soin d'agir pour l'ensemble de l'organisation, et le laissant maitre de la décision, il lui est utile de disposer de règles qui définissent ce qu'il peut faire, ce qu'il ne doit pas faire, ce qu'il a le droit de faible. La norme naturellement n'est pas suffisante, dans le moment de la décision elle peut être trop complexe. C'est pourquoi à la norme s'ajoute un entrainement, une socialisation, certains parlent de culture commune.

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