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Comment les marques font-elles face à "l'ubérisation" ?

Comment les marques font-elles face à "l'ubérisation" ?
Ubériser ou se faire ubériser, telle est la question. Pour s'adapter et participer à l'économie de partage, les marques doivent repenser leur rapport au marché et aux consommateurs. "Ubérisation : partager ou mourir !?". L'étude menée par Monitor Deloitte, cabinet de conseils en stratégie livre ses préconisations aux entreprises "traditionnelles", afin de les aider à sauter le pas de l'économie collaborative. Au risque de disparaître, les marques devraient donc s'adapter à l'économie on-demand - synonyme d'économie collaborative - un "modèle disruptif qui appelle un nouveau regard sur l'innovation et sur le leadership", souligne le rapport publié en juillet. Innover et adopter un nouveau modèle de leadership : telle est donc la clé, selon Related:  ESS et pauvreté-exclusion

Loi Travail: les entreprises de l'ESS réclament des changements "Nous étions intéressés par les intentions de la loi, notamment développer le dialogue social et sécuriser les employeurs, et, au final, nous sommes déçus". Hugues Vidor, président de l'Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (Udes) faisait part, jeudi 19 mai, de ses récriminations contre le projet de loi Travail devant l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis). L'organisation, qui regroupe 80% des employeurs fédérés du secteur de l'ESS (associations, mutuelles, coopératives...), compte bien se faire entendre auprès des sénateurs qui l'étudieront en séance à partir du 13 juin. Impact sur le coût du travail Première des revendications, et non des moindres, le rétablissement de la capacité de régulation de la branche. L'Udes regrette donc que l'amendement du rapporteur Sirugue qui imposait un contrôle a priori des accords d'entreprise par la commission paritaire de branche n'ait pas été adopté. Oui au référendum "patronal"

Economie collaborative: les acteurs veulent aller plus loin que la loi Travail Pas question de laisser tomber l'article 27 bis du projet de loi Travail qui instaure une responsabilité sociale des plateformes de l'économie collaborative. Le Sénat l'a supprimé en commission, mais le gouvernement a déposé un amendement pour son rétablissement en séance. Myriam El Khomri recevait par ailleurs ce 10 juin au matin des représentants de l'Observatoire de l'ubérisation, rassemblant plateformes et auto-entrepreneurs. Ce dernier lui a fait part de propositions que la ministre dit vouloir étudier sérieusement. LIRE AUSSI >> Loi Travail: des droits pour les travailleurs des plateformes collaboratives Première suggestion: modifier l'article 27 bis dans son volet assurance accidents du travail/maladies professionnelles. Recouvrement des cotisations par les plateformes La seconde proposition est ambitieuse: faire que ce soit les plateformes qui versent les cotisations sociales pour le compte de leurs travailleurs. Du pain sur la planche

Économie sociale et solidaire: l'emploi progresse L'économie sociale et solidaire (ESS) a représenté un emploi privé sur huit en 2015 (12,7%) avec 2,39 millions de salariés, le Limousin arrivant en tête du classement des régions, loin devant l'Ile-de-France, selon une étude publiée lundi par l'association Recherches et Solidarités. Entre 2010 et 2015, l'emploi dans ce secteur a progressé de 26%, quand l'ensemble de l'emploi privé n'augmentait que de 7%. En 2015, l'évolution a été de +0,4% dans l'économie sociale, deux fois supérieure à celle de l'ensemble de l'emploi privé (0,2%). L'ESS représentait l'an dernier 202.700 établissements employeurs, 2,39 millions de salariés dont 13,1% sous régime agricole, et une masse salariale de près de 56 milliards d'euros. Sa "colonne vertébrale" est le secteur associatif, qui représente près de 83% des établissements employeurs, 77% des emplois et 69% de la masse salariale.

Economie collaborative: la protection sociale de l'auto-entrepreneur sur la table Avec la déconvenue des livreurs de Take Eat Easy, la situation précaire des auto-entrepreneurs utilisant des plateformes collaboratives a encore pu se vérifier récemment. C'est pour apporter à ce genre de profils un minimum de protection, même si celle-ci ne recouvrera jamais le risque chômage, que la loi Travail s'est dotée de son article 60 (ex- 27-bis). Il s'applique aux "travailleurs indépendants recourant, pour l'exercice de leur activité professionnelle, à une ou plusieurs plateformes de mise en relation par voie électronique". LIRE AUSSI >> Ce qu'il faut savoir sur l'assurance chômage du dirigeant La Fédération des auto-entrepreneurs (FAE), l'Observatoire de l'ubérisation et 22 plateformes volontaires sont en passe de participer à deux groupes de travail, avec Matignon, pour préparer le décret d'application. Plusieurs points sont encore à trancher. Une protection proportionnelle au chiffre d'affaires Les plateformes en tiers déclarants?

Plafond sécurité sociale 2016 Le 17 décembre 2015, l'arrêté portant fixation du plafond de la sécurité sociale pour 2016 a fixé les valeurs mensuelle et journalière du plafond de la sécurité sociale pour les rémunérations ou gains versés à compter du 1er janvier 2016. Il suit la présentation des comptes de la Sécurité sociale pour l'année 2014, ainsi que les prévisions pour 2015 et 2016 de la Commission des comptes de la Sécurité sociale du 23 octobre 2015. Le rapport prévoyait de revaloriser le montant du plafond de la Sécurité sociale de 1,5 % pour l'année 2016. Le plafond de la sécurité sociale passe à 38 616 euros en 2016 (contre 38 040 en 2015), soit 3 218 euros par mois et 177 euros par jour. Le plafond de la sécurité sociale sert de référence dans de nombreux calculs de cotisations sociales dites plafonnées (les cotisations d'assurance vieillesse, la contribution au FNAL, les cotisations aux régimes complémentaires de retraite, les cotisations aux complémentaires santé...). Année >>> 38 616 euros Le PASS 2015

équité Qualité consistant à attribuer à chacun ce qui lui est dû par référence aux principes de la justice naturelle ; impartialité : Manquer d'équité. Caractère de ce qui est fait avec justice et impartialité : L'équité d'un partage. Source subsidiaire de solution des conflits internationaux à laquelle le juge international peut avoir recours pour atténuer la rigueur d'une règle de droit ou combler une lacune juridique. (Le juge statue ex æquo et bono.) Le Petit Larousse 2017 sur iPhone Plus de 63 000 mots et 28 000 noms propres 2 000 photos, dessins, cartes Les célèbres pages roses Une aide aux jeux de lettres Le jeu du dictionnaire pour s’amuser à retrouver la bonne définition d’un mot. 9 000 citations d’auteurs français et étrangers 6 000 articles pratiques pour déjouer les pièges de la langue Télécharger sur l'AppStore pour 9,99 € Apple, le logo Apple, iPad, iPhone, iPod, iTunes sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États­Unis et dans d’autres pays.

La modulation des allocations familiales entre en vigueur le 1er juillet - La Croix Tous les ménages de deux enfants continueront à percevoir des allocations familiales mais le montant variera désormais en fonction des revenus. Les mêmes allocations pour tous, c’est terminé. La modulation des allocations familiales entre en vigueur ce matin. Le montant des « allocs » sera désormais divisé par deux pour les familles ayant un revenu supérieur à 6 000 € nets et par quatre pour celles gagnant plus de 8 000 € mensuels. Dans le cadre du dernier budget, le gouvernement avait d’abord proposé de réaliser des économies dans la politique familiale en coupant dans le congé parental ou en diminuant le montant de la prime de naissance pour le deuxième enfant. > Relire :Allocations familiales, le principe d’universalité écorné Une idée farouchement combattue par la droite, mais aussi les communistes et les associations familiales, au nom de la préservation de « l’universalité » de la politique familiale. Des allocations divisées par deux voire par quatre en fonction des revenus

Le Prêt Economie Sociale et Solidaire de Bpifrance L'économie sociale et solidaire a désormais un prêt qui lui est consacré spécifiquement au sein de la banque publique d'investissement. Bpifrance propose le PESS aux PME du secteur, créées depuis plus de trois ans*. Quels types de dépenses? Il finance essentiellement "les dépenses immatérielles et l'augmentation du fonds de roulement liées au développement de l'activité ou à la réalisation d'un programme d'investissement corporel ou incorporel". Quel montant? Ce crédit, d'une valeur de 10 000 euros au minimum, et 50 000 euros au maximum (voire 100 000 euros en cas d'intervention de la région), ne requiert aucune garantie. Quelle durée? Sa durée est de cinq ans, dont un an de différé en amortissement de capital. Concours bancaire, apport en fonds propres ou quasi fonds propres exigé Très important : comme la quasi-totalité des "produits" Bpifrance, le Prêt Economie Sociale et Solidaire ne peut être accordé seul. A noter : Bpifrance peut garantir le prêt bancaire.

L'économie collaborative en quête d'un modèle pérenne Ils sont réunis pour trois jours à la VIllette. Pour la troisième année consécutive, les participants du OuiShareFest vont débattre et échanger à propos de l'avènement de l'économie collaborative, plus tout à fait nouvelle, pas encore installée. C'est justement à ce moment charnière que les organisateurs ont choisi de s'intéresser en intitulant leur rendez-vous "Lost In Transition". "On est un peu au temps 2 de l'économie collaborative, pointe Marc-Arthur Gauthey, du laboratoire d'idées OuiShare. Un temps qui suit celui de l'émergence de cette ribambelle de nouveaux acteurs. Des idéaux et des mastodontes Parler des têtes d'affiche de l'économie du partage ou collaborative, c'est égrener des noms désormais aussi familiers que Airbnb ou BlabaCar ou Uber. Des chiffres à prendre avec des pincettes. La fin du salariat ? Si la croissance folle de l'économie collaborative remet également en question les liens entre les consommateurs, elle force aussi les grands groupes à s'adapter.

[Chronique] Un marketeur doit-il apprendre à partager ? Vous aimiez le capitalisme et le libre-échange ? Vous allez adorer l'économie du partage ! La " sharing economy ", dont le concept est apparu il y a quelques années dans la Silicon Valley, est en train de débarquer dans tous les compartiments de notre petite vie bien pépère. Voiture, appartement, cave, tout ce que nous possédons peut, un jour ou l'autre, devenir une source de profit, à condition qu'on accepte de le mettre en location et d'en faire bénéficier les quelques millions d'internautes qui nous entourent, et qui ne demandent qu'à en profiter. Comment un tel concept est-il apparu, et qu'est-ce que cela va modifier dans l'univers des marketeurs ? L'homme est un animal social, et très tôt, nous apprenons à partager nos biens, ou à les prêter à nos proches, certains y parvenant même mieux que leurs congénères. Mais plusieurs événements sont venus perturber cet équilibre. L'internet et le mobile ont également eu un impact. Lire la suite en page 2

Connaissez-vous le vrai visage des inégalités en France ? Grâce à notre outil, tentez de reconstituer les graphiques des inégalités entre les classes sociales françaises. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Le rapport publié jeudi 14 décembre par la World Wealth and Income Database (WID) montre que les inégalités de revenu et de patrimoine ont augmenté dans presque tous les pays depuis quarante ans. Y compris en France, en dépit de « la légende tenace » qui voudrait qu’elle soit « un pays profondément égalitaire », pour reprendre la formule de l’économiste Thomas Piketty, cocréateur du WID. Lire aussi : Les inégalités dans le monde, en hausse depuis quarante ans Pour mieux appréhender ce biais d’appréciation, nous vous proposons de vous prêter au jeu en complétant quatre graphiques sur les inégalités françaises, du début du siècle jusqu’à aujourd’hui. Quelle est l’évolution des revenus des plus riches ? Dans un premier temps, découpons la population en tranches égales et regardons la croissance de leurs revenus entre 1983 et 2014.

Amap ou Ruche qui dit oui : quel système vous correspond Qualité, proximité et pied de nez à l’industrie agroalimentaire : d’un système de distribution en circuit court à l’autre, les mots d’ordre se font écho. Pourtant, depuis la diffusion, en mars dernier sur Internet, d’une lettre dans laquelle un apiculteur explique son refus d’approvisionner la Ruche qui dit oui, les partisans de la vie sans supermarché sont divisés. Entre ripostes, rumeurs et amalgames, la saveur retrouvée des produits fermiers a pris un arrière-goût amer. Les Amapiens brocardent l’aspect « commercial » de la Ruche qui dit oui. La start-up se défend en jouant la transparence. Certains de ses adeptes, pointent quant à eux le côté « contraignant » des Amap. En deux mots, pouvez-vous rappeler le principe de votre système ? Léo Coutellec : Les Amap sont des Associations de maintien de l’agriculture paysanne. Guilhem Chéron : La Ruche qui dit oui est un système de vente directe qui s’organise via Internet. Léo Coutellec : Certainement pas « clients » ! Léo Coutellec : Oui.

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