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Le diabète

Le diabète

MUSEUM - Les aliments du monde Les aliments sont les substances nourrissantes que les Hommes acceptent de consommer. Ils leur procurent les nutriments indispensables : glucides, protides et lipides, ainsi que fibres, minéraux et vitamines. Très rares sont les aliments qui apportent une composition nutritive convenant aux besoins de l'Homme. Celui-ci doit donc combiner plusieurs aliments pour se nourrir. English Cette exposition virtuelle est optimisée en 800 X 600 pour Internet Explorer 6 et + Selon leur fonction nutritionnelle principale, les aliments sont dits : glucidiques (céréales, racines et tubercules), protidiques (légumineuses, viandes, lait, poissons) ou lipidiques (huiles et graisses végétales et animales). Les fruits et légumes fournissent fibres, minéraux et vitamines. Selon leurs caractéristiques, les aliments sont des produits de masse (blé, soja) ou des produits différenciés (produits de luxe, produits du terroir). Sucre, sel et condiments améliorent les saveurs.

Diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant (DNID) Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Christian Boitard, directeur de recherche à l’Inserm et diabétologue à l’hôpital Cochin, Paris – Avril 2014. L’incidence du diabète de type 2 augmente de façon globale, et en particulier avec l’âge. La maladie se manifeste généralement après 40 ans et elle est diagnostiquée à un âge moyen proche de 65 ans. © Inserm/U872 Îlot de Langerhans pancréatique, sécréteur d'insuline. En France, la prévalence globale du diabète était estimée à 4,6 % de la population en 2011 et le diabète de type 2 correspond à 90 % des cas. La prévalence de la maladie est par ailleurs en augmentation continue depuis plusieurs années, avec une hausse de 5,4 % par an entre 2000 et 2011. Une évolution lente et silencieuse Le diabète de type 2 se développe silencieusement pendant de nombreuses années. La maladie est favorisée par une baisse de sensibilité des cellules à l’insuline (on parle d’insulino-résistance), notamment sous l’effet de l’obésité ou de la sédentarité.

Alimentation et cancer - Prévention Date de dernière mise à jour : 06/06/2014 De nombreuses études ont mis en évidence l’influence des facteurs nutritionnels sur le risque de développer un cancer, même s’il reste des incertitudes et des débats sur le rôle exact de certains d’entre eux. Ainsi, une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, réduit votre risque de développer un cancer. L'alimentation fait partie des comportements sur lesquels on peut agir pour accroître la prévention des cancers. Elle agit à la fois comme un facteur de risque (aliments qui, consommés en excès, favorisent le développement d'un cancer) et de protection (nutriments ou aliments reconnus pour leur rôle protecteur contre certains cancers). N'hésitez pas à parler de vos habitudes alimentaires avec votre médecin. Des interrogations sur l'alimentation « bio », les pesticides, l'aspartame, les modes de cuisson... ? Limiter les aliments « à risque » Favoriser les aliments « protecteurs » Enfants et alimentation

Qu'est-ce que le diabète? Le diabète sucré, ou simplement diabète, est une maladie chronique qui survient lorsque le pancréas n’est plus capable de fabriquer de l’insuline ou lorsque l’organisme n’est pas en mesure d’utiliser correctement l’insuline qu’il produit. L’insuline est une hormone fabriquée par le pancréas. Elle agit comme une clé qui permet au glucose contenu dans les aliments que nous consommons de quitter le sang pour pénétrer dans les cellules de notre organisme afin de libérer de l’énergie. L’incapacité à produire de l’insuline ou à l’utiliser efficacement entraîne une élévation du taux de glucose dans le sang (connue sous le nom d’hyperglycémie). Types de diabète Il existe trois grands types de diabète : Le diabète de type 1 était autrefois appelé diabète juvénile. Le diabète de type 2 était autrefois appelé diabète non insulinodépendant ou diabète de l’âge mûr. Le diabète de type 1 et le diabète de type 2 sont des affections graves. Il existe également d’autres types spécifiques de diabète.

Objets connectés et santé : les données personnelles des patients naviguent. C'est risqué Les objets connectés sont de plus en plus plébiscités par le domaine de la santé (M.EVANS/AP/SIPA). Smartphone, montre, t-shirt, fourchette, lunettes, balance, brosse à dents, biberon, lentilles de contact… Plus rien n’échappe désormais à la révolution technologique des objets connectés. Un quart des Français en possédaient déjà il y a un an. On parle de 30, 50, 80, voire plus de 200 milliards de ces objets dans le monde à l’horizon 2020. Ces estimations exponentielles montrent surtout que ce marché sera très probablement la nouvelle poule aux œufs d’or des industriels. Les médecins favorables aux objets connectés Si le marché des objets connectés attise tant la convoitise, c’est qu’il est technologiquement mûr, et que, pour ne rien gâcher, les consommateurs sont en demande. Enfin, on estime que 1,3 million de vies pourraient être sauvées dans le monde d’ici à 2020 grâce à ces appareils portables (en France, ils ne sont pour l’instant prescrits qu’à 5% des patients).

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