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Une enquête illustre les méthodes managériales agressives d’Amazon

Une enquête illustre les méthodes managériales agressives d’Amazon
Une longue enquête publiée par le « New York Times » ce week-end détaillant les méthodes managériales du géant de l’e-commerce a suscité des milliers de réactions. On connaissait les conditions de travail dans les entrepôts d’Amazon, dénoncées par les employés américains et européens qui préparent et envoient en un temps record les colis commandés par les clients de l’entreprise américaine. Dans une longue enquête publiée ce week-end, le New York Times affirme que les cols blancs ne sont pas épargnés par les méthodes managériales pour le moins particulières d’Amazon. Au cours du week-end et en début de semaine, les réactions à l’enquête qui compte plus de 4 000 commentaires en ligne ont été nombreuses. « Je ne reconnais pas cet Amazon » « Pendant mes 18 mois chez Amazon, je n’ai jamais travaillé un seul week-end sans le vouloir. « Je ne reconnais pas cet Amazon, et j’espère vraiment que vous non plus.

Les conditions de travail, premier facteur de l'absentéisme Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Chaque semaine près de 680 000 personnes sont absentes de leur emploi au moins une journée pour raison de santé. Métro-boulot-dodo ? Oui, mais pas toujours boulot ! Menée sur la période 2003-2011, l'étude de la Dares (qui dépend du ministère du travail) met en lumière l'absentéisme en fonction de différents facteurs, tels que la nature du contrat de travail, l'âge et le sexe, la catégorie socioprofessionnelle ou le secteur d'activité. >> Lire aussi : "Pendant la crise, l'absentéisme au travail diminue" L'absentéisme atteint 5,5 % des salariés soumis à au moins trois contraintes physiques (exposition aux poussières, produits dangereux, port de charges lourdes, bruit, vibrations, etc.), contre 2,5 % chez ceux qui ne connaissent pas ces contraintes. Stabilité de l'emploi. Homme ou femme ? Age des salariés. Paris ou province ?

L’innovation managériale bénéficie aux salariés... et à l’entreprise Des manageurs d’entreprise ont choisi, avec succès, de révolutionner leur organisation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Rodier Dans l’atelier d’OCF, une petite entreprise vendéenne qui fabrique des vitrines réfrigérées, ça sent le bois, les outils vrombissent, et les équipes circulent sous les néons dans une ambiance bon enfant. Chaque salarié intervient dans sa spécialité sur les châssis de vitrine en cours de fabrication : la découpe, l’électricité et les tests pour la mise en forme du Krion, une résine de synthèse. Les salariés ne tarissent pas d’éloges sur la nouvelle organisation : « On nous laisse beaucoup d’autonomie », se félicite Julie Brunet, assistante commerciale. « On a vu beaucoup de changement sur l’écoute », explique Pierre-Jean Suaudeau, coordinateur responsable industriel. « L’organisation évolue avec toute l’entreprise, dans une grande transparence », dit Nicolas Brun, du service après-vente. L’innovation technologique au service du client

Polémique après un article sur les conditions de travail "blessantes" chez Amazon - Le Parisien Amazon est-il un lieu de travail qui maltraite ses salariés,ou un centre d'innovation qui les pousse pour qu'ils atteignent leur potentiel? La polémique est relancée après un article du New York Times.Le géant américain de la distribution en ligne mène "une expérience pour voir jusqu'où il peut pousser ses cols-blancs", concluait le quotidien ce week-end après avoir interrogé plus d'une centaine de salariés présents et passés.La longue enquête décrit un environnement où les salariés sont dressés les uns contre les autres pour améliorer la productivité.

(20+) Aux Etats-Unis, une enquête dénonce les conditions de travail cauchemardesques au sein d'Amazon L’enquête est accablante. Dans un long article publié dans le New York Times, des journalistes américains dénoncent les conditions de travail au sein d’Amazon, au moyen de nombreux témoignages, notamment d’anciens employés. Les auteurs dépeignent les «Amazoniens», à tous les échelons, comme une main-d’œuvre soumise à un rythme de travail effréné, et asservie aux contraintes d’une évaluation perpétuelle. Ils racontent les semaines de 80 heures, les e-mails envoyés à minuit passé et suivis de SMS ordonnant d’y répondre. Ils décrivent le calvaire de cette employée à qui on a suggéré de trouver un poste moins exigeant au sein de l’entreprise, car la maternité entraverait de toute façon sa carrière à long terme. Des «Amazoniens» aux «Amabots» Pour Jodi Kantor et David Streitfeld, auteurs de l’article, Amazon interprète le terme «employé» au sens littéral. Un «darwinisme réfléchi» Le sévère article du New York Times n’est pas resté longtemps sans réponse. La réponse cinglante de Jeff Bezos

Les conditions de travail n°065 Juillet 2015 Souffrance au travail : reprendre la parole sommaire Les maladies professionnelles La "longue marche" pour la santé au travail Le déclin du secteur industriel et l'essor des services n'ont pas aboli la pénibilité au travail : très souvent, les nouveaux métiers sont aussi pénibles physiquement que les anciens. Mode d'emploi pour accéder aux articles de ce dossier Ce dossier est constitué d'articles tirés de nos archives et certaines informations peuvent renvoyer à un contexte dépassé. Les articles sélectionnés dans ce dossier sont gratuits ou payants selon votre formule d'abonnement. Si vous êtes abonné à l'une de nos publications, veuillez vous identifier sur le site pour accéder gratuitement aux articles correspondants à votre abonnement ou pour acquérir une extension d’accès aux archives. Si vous n'êtes pas abonné, vous pouvez acheter les articles à l'unité pour 1.50 euros ou acheter un forfait de consultation de 30 articles pendant 1 semaine pour 10 euros. Vidéo Etat des lieux

La qualité de vie au travail, une démarche innovante qui peine à s’imposer Pour Aurore Blaschek, psychologue du travail et des organisations, "la QVT est un état d'esprit, un mode de vie de l'entreprise, qui interroge constamment les conditions de travail, la nature du travail, la santé au travail, la valorisation du travail, les relations de travail et le climat social, les perspectives d’avenir et enfin l’équité et l’égalité au travail". Même son de cloche chez Julien Pelletier, responsable Veille, propsective et international au sein de l’ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travai) : "La qualité de vie au travail est avant tout une démarche d’entreprise. Ce que nous évaluons, ce n’est pas la qualité du travail mais l’organisation du travail". Un défi qui peut apparaître difficile à relever, à l’heure où les entreprises opèrent des changements quasi incessants : nouvelles fonctions, nouveaux outils informatiques, nouveaux horaires, nouvelles méthodologies, etc. Tester, évaluer, améliorer Concrètement, qu'implique une telle démarche ?

Google : pourquoi les salariés aiment y travailler Google, l’une des entreprises les plus puissantes du monde. Et aussi l’une des plus attractives ! Nombreuses sont les personnes qui rêvent d’y travailler. Comment stimuler ses salariés pour les pousser à adopter pleinement la culture de l’entreprise et à être plus productif ? #1 La nourriture est gratuite et à volonté L’un des principaux avantages de travailler chez Google, c’est que vous pouvez manger tant que vous voulez et gratuitement. #2 En travaillant chez Google, vous collaborez avec la crème de la crème Chaque année, Google reçoit plus de 3 millions de candidatures. #3 Les Googlers se sentent comme s’ils vivaient dans le futur Google est l’une des entreprises technologiques les plus proactives du monde. A LIRE ► 8 secteurs d’avenir sur lesquels les recruteurs doivent garder un oeil #4 Le TechShop offre aux Googlers un support 24h sur 24, 7 jours sur 7 Google possède certainement les meilleurs spécialistes IT. #5 Pour aller au travail, Google vient vous chercher et c’est gratuit

Leroy Merlin enchante ses salariés Edition Belfort-Héricourt-Montbéliard | PSA Sochaux : « Des conditions de travail pas à la hauteur » selon la CFTC Photo de famille pour les élus de la CFTC de PSA Sochaux/Belchamp. Photo E.R. LE LANCEMENT d’un nouveau véhicule est toujours un moment particulier pour une usine terminale. « À chaque fois, c’est un peu son avenir que l’on remet en question », rappelle la CFTC du site PSA de Sochaux. Les critiques formulées par la presse spécialisée au moment de la présentation officielle, fin mai, de la nouvelle Peugeot 3008 (assemblée sur les chaînes sochaliennes et commercialisée à partir de mi-octobre) ont été plutôt positives. « Mais autant on est confiant dans le succès de ce véhicule, autant on est dubitatif, mitigé quant à l’amélioration des conditions de travail des salariés sochaliens », a souligné l’organisation syndicale, lundi, lors de sa conférence de presse de rentrée. Quel avenir pour le bi-flux ? « Externalisations rampantes » François Guillerey conclut : « Jadis, on disait aux salariés que, s’ils travaillaient fort, ils allaient progresser dans l’entreprise. Alexandre BOLLENGIER

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