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“L’Internet, c’est fini” : la technologie est devenue le soubassement de nos vies

“L’Internet, c’est fini” : la technologie est devenue le soubassement de nos vies
La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru cette semaine dans le quotidien britannique The Guardian, article qui donne une interprétation tout à fait personnelle d’un événement qui a eu lieu aussi cette semaine à Austin, au Texas, la South By SouthWest Interactive Conference. On doit ce papier à Oliver Burkeman et il s’intitule : « The internet is over » – « L’Internet, c’est fini ». « Si mes petits enfants me demandent un jour où j’ai compris que l’Internet, c’était terminé, écrit Oliver Burkeman, je serai en mesure de leur apporter une réponse assez précise : c’était dans un restaurant mexicain, en face du cimetière d’Austin, au Texas, alors que j’avais déjà avalé la moitié d’un Tacos. C’est là, selon le journaliste, l’obstacle fondamental qui empêche les néophytes de comprendre vers où regarde la culture technologique : de plus en plus, elle regarde dans toutes les directions. Le Web 3.0. La « gamification ». Le dilemme du dictateur. Le biomimétisme arrive.

Splog Non, Splog n’est pas le petit frère de Spock dans Star Trek et ne relève pas de la science fiction mais c’est un mal bien réel ! Splog est une combinaison de 2 mots "Spam" et "Blog". Le Splog est au blog ce que le spam est au mail. Il désigne tout blog qui a pour seule vocation d’augmenter la popularité des sites-blogs sur lesquels il pointe. Le splog publie des billets qui contiennent de nombreux liens (adresse de sites-blogs) avec des sites que l’auteur du splog veut promouvoir. En fait, il s’agit d’une technique pour doper le pagerank d’un site de manière artificielle. Le terme a été popularisé par le serial entrepreneur Mark Cuban en 2005 qui a dénoncé l’ampleur du problème et demandé à ce que chacun se mobilise pour neutraliser cette nouvelle forme de spam qui déstabilise voire décrédibilise la blogosphère. Certains préfèrent le terme Clog à Splog mais il est nettement moins usité et lorsque vous êtes victime d’une avalanche de splogs, on appelle cela le Spamalanche…

PHOTO DINER HIGH-TECH OBAMA 2011 | SITE GEEK et HIGH-TECH NWE Vous voulez voir à quoi ressemble une belle brochette de CEO réunis autour d’une bonne bouffe? Voici une photo prise durant le repas « Tech » organisé annuellement par la Maison Blanche avec entre autres Steve Jobs (CEO Apple), Mark Zuckerberg (CEO Facebook), Eric Schmidt (CEO Google), Carol Bartz (CEO Yahoo!), Dick Costolo (CEO Twitter) ou encore John Chambers (CEO Cisco Systems) trinquant avec le Président Obama. Bref, hier soir cette table était THE PLACE TO BE… Vous aurez sans doute noté qu’un CEO d’envergure manquait à l’appel… Et oui, Steve Ballmer (CEO Microsoft) n’était pas présent à la petite sauterie de luxe réservée aux acteurs de la Silicon Valley ce qui a inspiré la rédac de The Oatmeal… ^^ Vive les sites web à page unique ! Si je m’en tiens à la définition de Wikipedia : “Un site Web est un ensemble de pages Web hyperliées entre elles“. OK, mais qui a dit qu’un site web devait nécessairement être composé de plusieurs pages ? C’est sur cette réflexion que le blog Six Revision nous propose un article très intéressant : The Science Behind a Single Page Website. Les arguments en faveur d’un site web à page unique sont les suivants : Tout le contenu est chargé en une seule fois ;Scroller est moins compliqué et risqué que de cliquer ;La maintenance est plus simple ;La densité d’information favorise un meilleur référencement. Les arguments en défaveur des sites web à page unique sont les suivants : Le site est plus long à charger ;Le site est généralement truffé de javascript pour proposer une navigation locale (au sein de la page) ;Les utilisateurs peuvent être désorientés. Même chose pour Coda qui propose par contre un système d’onglets intérieurs pour réduire la hauteur de la page : Je suis fan, pas vous ?

Wael Ghonim: «Si vous voulez libérer une société, il suffit de lui donner l'accès à Internet» Google a trouvé en un de ses cadres égyptiens, élevé au rang de héros de la révolution par la population, un VRP en or dans le pays. Arrêté par les forces de sécurité lors des manifestations, Wael Ghonim est rapidement devenu la figure de proue du mouvement de contestation sans précédent qui s'est achevé par la démission, vendredi, du président Hosni Moubarak au pouvoir depuis près de 30 ans. «Une bonne publicité pour Google» Afin de contourner la censure d'Internet mise en place au début de la mobilisation, les ingénieurs de Google ont participé à la mise en place d'une plateforme permettant aux Egyptiens d'utiliser le site de micro-blogging Twitter en appelant un numéro de téléphone et en laissant un message vocal. Malgré cette implication, Google n'a fait aucun commentaire sur la situation politique égyptienne, préférant se concentrer sur les valeurs de liberté de l'information et d'Internet. «Ils doivent être prudents», a néanmoins ajouté Rosabeth Kanter. Rôle de Facebook et Twitter

Une France qui s'annonce terrifiante pour Internet et les libertés numériques Fabrice Epelboin nous révèle aujourd’hui que ReadWriteWeb met fin à ses éditions européennes, avec toutes les questions que cela pose quant au devenir et aux archives de la version française de RWW. C’est le risque lorsque l’on dépend d’une maison mère américaine et que les articles n’ont jamais eu l’honneur d’une licence Creative Commons (sauf justement ce dernier billet où Epelboin à décidé de s’affranchir de la tutelle dans un dernier baroud d’honneur). Notez bien que pareille mésaventure peut arriver à tous ceux qui placent du contenu sur Facebook, Twitter ou Google (autant dire à tous le monde). Puisque en vous inscrivant à ces services vous adhérez à des conditions dont il est bien stipulé qu’elles peuvent changer à tout moment si le propriétaire en décide ainsi. Merci au passage à Fabrice Epelboin[1] Mais ce qui m’a le plus marqué c’est la conclusion du billet. « Les temps qui viennent en France sont terrifiants pour internet et les libertés numériques.

2011 – Le piratage musical est maintenant insignifiant Vous le savez surement, l'un des lobbys anti-téléchargement (voire pour certains anti-Internet) le plus puissant est celui de l'industrie musicale. C'est eux qui historiquement ont réussi à se faire le plus entendre, pour au final tirer les larmes de nos politiciens, qui se sont mis au boulot pour pondre des lois rien que pour eux. Balèses les mecs ! Mais au final, savez-vous ce que représente concrètement le téléchargement illégal de musique maintenant en 2011 ? D'après une étude sûrement très très objective ^^ demandée par NBC International à Envisional (une boite anti-piratage), voici un graphique qui a retenu l'attention du site Ars Technica. Il s'agit du pourcentage des types de médias téléchargés illégalement. Les films (35%), le porno (35%) et les séries TV (14,5%) arrivent en pôle position, suivi des jeux vidéos (7%), des logiciels (4%) pour ENFIN arriver avec un pourcentage de téléchargement illégal de musique de 3%. C'est ridicule, vous ne trouvez pas ? Bref, un truc m'échappe...

Comment les médias sociaux stimulent ma mémoire  ( Jean Guitton ) La mémoire, malheureusement, ne se commande pas. Il faut reconnaître notre faible empire sur cette contrée de l’intelligence. Au mieux réussit-on à cultiver aléatoirement certains souvenirs. En amont de la pensée, le cerveau réagit principalement à des stimuli. Il aura fallu une requête de Gael Plantin , toujours pénétrant, pour susciter la réflexion sur ma méthode : D’emblée, je lui ai répondu : Poursuivant la réflexion, je constate que ces nombreuses itérations donnent lieu à une sorte de répétition espacée ([ 1 ], [ 2 ]) régulée mémétiquement par les médias sociaux. À cet apport Twitter s’ajoutent mon épluchage des quotidiens et mon agrégation de flux RSS. L’information passe donc par plusieurs cribles, dans un crescendo d’objectivation. Fondamentalement, je n’agis plus seul. La mémoire y gagne à la fois en répétition, à la fois par maillage de sens. Impossible, toutefois, de supputer les effets à long terme sur la mémoire. (Image thématique : , par Aaron Petersen )

Le PS dépose une proposition de loi sur la neutralité du Net UPDATE: C'est ce jeudi que la question de la neutralité du net sera discutée à l’Assemblée nationale.La proposition de loi portée par le PS vise à «affirmer le principe de neutralité de l’Internet et de son contenu». La neutralité du Net bientôt en débat à l’Assemblée. Le député PS de la Nièvre Christian Paul a déposé mercredi 9 février une proposition de loi qui à ce sujet qui sera débattue dans l’Hémicycle le 17 février prochain. Objectif: s’emparer d’un débat dans l’air depuis plus d’un an (un pré-rapport a été mis en ligne la semaine dernière par les députées UMP Laure de la Raudière et PS Corinne Erhel et Nathalie Kosciusko-Morizet a signé un autre rapport en août dernier) pour légiférer rapidement sur la question et «éviter ainsi de subir les événements», selon Christian Paul. Trois risques identifiés «Il nous est apparu urgent et nécessaire de garantir fermement par la loi la neutralité de l'internet. La loi Loppsi dans le viseur Sandrine Cochard

Comment observer les tendances de l'audience TV sur Twitter ? - Statosphère, les statistiques du web et d'ailleurs Seul un réseau social de microblogging en temps réel pouvait enfanter le principe du . Qu'il s'agisse de sport, d'une émission de télé réalité, d'un blockbuster, d'un débat politique ou d'un reportage, les live tweets s'immiscent dans nos timelines, au plus grand désarroi de ceux ayant rompu avec la petite lucarne et qui argueront que Twitter n'est pas fait pour ça. Dès lors, la grande quantité de commentaires et le traditionnel hashtag rendent possible une nouvelle forme de mesure d'audience. Les émissions plébiscitées par les internautes suscitent des réactions de toute sorte (curiosité, admiration, polémique, indignation, moquerie etc...) sur Twitter. Collectées et triées par un observatoire, elles permettraient de mettre en évidence des tendances. On verrait ainsi régulièrement se dessiner des pics d'intérêt. {*style:<i>Discussions du 22 décembre 2010 Diffusion de la finale de La France a un incroyable talent sur M6 </i>*} {*style:<i>Discussions du 9 janvier 2011

Dashboard Everything Jeunes journalistes: qu’est-ce qu’on attend pour ne plus suivre les règles du jeu ? » Article » OWNI, Digital Journalism Jeune journaliste web, Morgane Tual pousse un double coup de gueule contre ses confrères. Anciens ou petits nouveaux, secouez-vous ! [Préambule de Jean-Christophe Féraud, sur le blog duquel ce billet a été publié.] Cela faisait un moment que j’avais envie de savoir comment les jeunes journalistes web-natives vivaient leur entrée dans une profession qui, dans les faits, n’a plus rien d’un rêve de gosse rose bonbon : précarité institutionnalisée en forme de stages et CDD à répétition, productivisme Shiva en guise de vadémécum, règne des petits chefs sur des rédactions web organisées pour le flux et rien que pour le flux, arrogance aveugle des “newsosaures” de l’ère imprimée face à la grande mutation numérique de l’information… La condition faite à cette génération surdiplômée et bien mieux formée que nous ne l’étions est indigne. Envie d’écrire, mais manque d’inspiration. À la lecture, j’étais moyennement emballée. Les vieux cons Pas d’accord. Les jeunes cons Nous sommes la génération CPE.

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