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Transparence du service du prix de l'eau

Transparence du service du prix de l'eau

Eautarcie, la gestion durable de l'eau dans le monde water footprint and virtual water [Plus d'informations: site web anglais] Les gens utilisent beaucoup d’eau pour boire, faire la cuisine, se laver, mais ils l’utilisent encore plus pour la production de la nourriture, du papier, des vêtements en coton, etc. L’empreinte en eau est un indicateur de l’usage direct et indirect de l’eau par le consommateur ou le producteur. L’empreinte en eau d’un individu, d’une communauté ou d’un commerce est définie comme le volume total d’eau douce nécessaire pour la production de marchandises et services consommé par l’individu, la communauté, ou produit par le commerce Pour produire un kilogramme de bœuf il faut 16 mille litres d’eau. Pour produire une tasse de café il faut 140 litres d’eau.

Partenariat public-privé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir PPP. Le partenariat public-privé (PPP) est un mode de financement par lequel une autorité publique fait appel à des prestataires privés pour financer et gérer un équipement assurant ou contribuant au service public. Le partenaire privé reçoit en contrepartie un paiement du partenaire public et/ou des usagers du service qu'il gère. Toutefois on utilise en général l'expression de « partenariat public-privé » pour désigner des projets plus récents, dans la lignée des contrats d'initiative de financement privé (en) (en anglais Private Finance Initiative) apparus en Grande-Bretagne depuis 1992, contrats dont se sont inspirés de nombreux pays. Les PPP, une formule soutenue par certaines organisations internationales[modifier | modifier le code] L'importance actuelle de la dette publique dans certains États occidentaux les pousse à se tourner de plus en plus vers la formule des partenariats public-privé.

Pollution de l'eau par les produits phytosanitaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pollution de l'eau par les biocides, pesticides (dont produits phytosanitaires) fait dans de nombreux pays[1] (dont en France) l'objet d'une part de réseaux d'observation pour évaluer l'état des lieux, et d'autre part de mesures et de recommandations pour réduire cette contamination. Tous les compartiments écologiques peuvent être concernés, à des degrés divers, et souvent avec de fortes variations géographiques et temporelles ; l'eau des nappes, des mers, des estuaires, souterraine et superficielle, la rosée, les brumes et brouillards, et les eaux dites météoritiques (pluies, neige, givre..). Ces produits peuvent aussi être bioaccumulés et ingérés. On s'est d'abord intéressé aux pesticides eux-mêmes, puis aux molécules de dégradations et métabolites[1] qui sont souvent (et logiquement) présentes en quantités bien plus importantes (et notamment quand leurs durées de vies sont longues). Source des données. Qualité des eaux superficielles.

Le niveau de la source de Vittel inquiète La nappe se réduit chaque année d'un million de mètres cubes d'eau, selon une étude du Bureau de recherches géologiques et minières (BRMG). Les habitants, et les deux principales entreprises de la région qui l'exploitent sont invités à réduire leur consommation. Et si l'eau venait à manquer. La nappe de la Bonne Source située dans les Vosges et qui fournit l'eau de Vittel se réduit chaque année de plus d'un million de mètres cubes, selon une étude du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) révélée par France Info. Kits hydro-économiques, installation de douchette économique dans les campings, les citoyens sont invités à prendre des mesures et à utiliser des équipements pour préserver le niveau de la nappe dans laquelle ils puisent pour leur consommation quotidienne. «La nappe ne se tarit pas. La Commission locale de l'eau (CLE), en charge de définir le Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (Sage), estime elle-aussi que des efforts sont fournis.

Publique, privée : quelle eau boire à Saint-Pierre-des-Corps ? C’est le grand débat du moment à Saint-Pierre-des-Corps. L’eau que boivent les Corpopétrussiens – nom donné aux habitants de la ville – doit-elle être privée ou publique ? Puisée dans le Cénomanien, à 188 mètres sous terre, sa gestion est actuellement sous la coupe du groupe Veolia Environnement à travers sa division Veolia Eau. Le 2 juillet prochain, la commune doit décider si elle renouvelle pour douze ans sa délégation de service public (DSP) – quatre candidats ont répondu au nouvel appel d’offres - ou si elle bascule vers une régie municipale. Le sujet est aussi complexe que passionnel. Signature de pétition à la sortie d'une école. Petite précision d’importance : l’opposition municipale en question, dans cette ville administrée par le Parti communiste depuis 1920, n’est pas de droite mais écologiste et d’extrême gauche (NPA). ©Helene Jayet Pour communiste qu’elle soit, la ville de Saint-Pierre-des-Corps n’en a pas moins toujours confié son eau à un prestataire privé.

Nestlé et le business de l'eau en bouteille Comment transformer de l'eau en or ? Une entreprise détient la recette : Nestlé, multinationale basée en Suisse, leader mondial de l'agroalimentaire, grâce notamment au commerce de l'eau en bouteille, dont elle possède plus de soixante-dix marques partout dans le monde (Perrier, San Pellegrino, Vittel ou Poland Spring aux États-Unis). Pour le président du conseil d'administration, Peter Brabeck, l'eau, fer de lance d'une stratégie planétaire, peut " garantir encore cent quarante ans de vie" à l'entreprise. Malgré le refus de répondre de la direction de Nestlé, Res Gehriger et Urs Schnell dévoilent les coulisses de ce marché qui brasse des milliards. Bien public, gains privés À Fryeburg, dans le Maine, un tribunal a autorisé Nestlé à ouvrir une deuxième station de pompage, alors que les habitants s'étaient mobilisés pour tenter d'empêcher ce qu'ils considèrent comme un pillage de leurs ressources collectives.

Et si on (re)passait à une régie publique de l’eau? Au Parc de la Villette, à Paris, en 1995 (Gilles Coulon/TF) A mesure qu’approche l’échéance des élections municipales, des enjeux majeurs de politique locale refont surface. Ainsi en va-t-il de la gestion de l’eau. En France, 60% des municipalités ont choisi de déléguer sa distribution et son assainissement à une entreprise privée. Trois groupes se partagent actuellement ce marché : Veolia (anciennement Vivendi Environnement et Compagnie générale des eaux), Suez (ancienne Lyonnaise des eaux) et la Saur (détenue par la Caisse des Dépôts, Séché Environnement et AXA). Alors que beaucoup des contrats de délégation arrivent à échéance dans les prochaines années, des élus militent pour un retour à un système de régie, soit un système où le service public de l’eau est directement assuré par la collectivité locale. ‘Une baisse de 20% du prix ? Je suis parmi ceux qui pensent que le fait que l’on ait une délégation conduit à une surfacturation du prix de l’eau.’

Suez, Veolia : Des Fournisseurs D’eau … Pas Très Clairs | L’Oeil Du 20 Heures Vous n’y pensez pas forcément en vous rasant, mais l’eau du robinet rapporte beaucoup d’argent à ceux qui la distribuent. Des multinationales comme Suez ou Veolia. Mais pour quels services rendus ? Il y a 7 ans, la ville de Wissous a passé un contrat avec Suez pour le traitement des eaux usées. Une facture de 11 537 euros qui concerne l’entretien d’un bassin de rétention qui sert à retenir les eaux de pluie pour empêcher les inondations. 967 000 euros depuis 2011 pour un service jugé non rendu A Wissous, des bassins de rétention, il y en a huit. La ville de Wissous estime que Suez lui a facturé près de 967 000 euros depuis 2011 pour un service qu’elle juge non rendu. En Île-de-France, 150 villes se sont regroupées et ont signé avec Veolia un contrat pour la distribution de l’eau potable. Suite aux recommandations de la Cour des comptes, Veolia a baissé de 10 centimes par mètre cubes le prix de l’eau cette année, pour les usagers des 150 communes d’Île-de-France.

Marché de l'eau : quand la gestion privée dérape La France est une particularité libérale dans le monde de l'eau : 60 % du marché est privatisé, contre 1 % pour le reste de la planète. Une gestion qui révèle de nombreux abus. Depuis 10 ans, nous assistons à une re-privatisation du marché de l'eau en France. Les ingénieurs de l'état, qui conseillaient autrefois les collectivités et penchaient vers une municipalisation de l'eau n'existent plus depuis 2007. Alors que certains pays de l'Union Européenne comme l'Irlande ne font pas payer l'eau à leurs citoyens, en France, la gestion privée est majoritaire. La gestion privée révèle bien des problème et de nombreux abus, et le prix de l'eau devient une charge importante pour les citoyens. Le journaliste Thierry Gadault, dans son livre Plongée en eau trouble (éditions Michalon - à paraître le 22 février), montre que ce prix pourrait être abaissé à 1,50 € par m3, alors que le prix oscille aujourd'hui entre 3,50 € et 4,17 €.

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