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Last Week Tonight with John Oliver: Sex Education (HBO)

Last Week Tonight with John Oliver: Sex Education (HBO)
Related:  AU FOND DE L'ÊTRE CELA !Sexualités, santé, corps

Le complexe d’Œdipe : belle découverte ou perverse invention Freud, venu à Paris pour suivre les cours de Charcot, a beaucoup fréquenté aussi la Morgue. Il y a « vu des choses que la Science préfère ignorer » : des autopsies d’enfants massacrés par leurs parents. Dans sa pratique de médecin, il observe puis raconte dans des publications scientifiques que ses patientes névrosées évoquent toutes des violences sexuelles qu’elles ont subies, bien souvent de la part du père ou d’un autre parent proche... S’en suit un tollé dans le monde savant, qui lui fait comprendre qu’on n’incrimine pas impunément l’ordre familialiste et l’honneur des pères ou des oncles. « Pour découvrir, il suffit de mettre en lumière ce qui existe, mais caché. J’ai hésité longtemps avant d’entamer cette critique. Une seconde raison m’a conduit à hésiter : Malgré ma propre analyse et mon écoute de personnes en thérapie pendant 20 ans, je n’ai jamais croisé le fameux complexe que dans les livres de ma bibliothèque. Toute théorie est réductrice

Un clitoris en 3D pour «expliquer le plaisir aux élèves» Méconnu, oublié, parfois mutilé : le clitoris est aussi le grand absent des manuels de sciences de la vie et de la terre, en collège et lycée. Mais pour la première fois cette rentrée, certains élèves pourront manier en cours de SVT un modèle imprimé en trois dimensions de l’organe, le seul du corps humain uniquement dévolu au plaisir. On doit le petit objet de dix centimètres (la taille moyenne de l’organe, dont seule une petite partie est visible de l’extérieur) en plastique biodégradable, le premier modélisé à échelle réelle et en 3D, à Odile Fillod. La chercheuse française indépendante, également auteure d’un blog de vulgarisation scientifique, veut en faire un outil d’éducation sexuelle, et familiariser les élèves avec l’organe. Le modèle, libre de droit, est téléchargeable en ligne, pour que n’importe qui ayant accès une imprimante 3D, professeurs et éducateurs sexuels en tête, puisse fabriquer son propre exemplaire. Aucun schéma correct dans les manuels de SVT Juliette Deborde

How to make a kick ass feminist porno Erika Lust knows how to make great porn. With a refreshingly feminist viewpoint, a progressive and acclaimed filmography, numerous awards and great visuals, the Swedish director is pushing boundaries on and off the screen. Speaking with Dazed earlier this year she said, "We are in huge need of seeing female sexuality portrayed in a different way, and to see ourselves as protagonists of the stories, not only as vehicles that men use to get their sexuality out of it.” This defining element is key to Lust’s work, and that of feminist porn — a genre of the adult entertainment industry that condemns the objectification of women and encourages them to embrace sexual equality, diversity and, of course, their own pleasures – unashamedly. Lust’s ability to break free from the stereotypes and clichés that have plagued porn is just a slice of her manifesto. Diversity is key when trying to break the porn mould, and Lust prides herself on an ability to embrace this.

(7) Un livre pour enfants de Michel Cymes accusé de sexisme «Ras la touffe du sexisme et des tabous.» Dès les premières lignes, le ton est donné, et la colère, palpable : dans une pétition mise en ligne il y a quelques jours sur le site Change.org, un collectif de parents pointe du doigt l’inégal traitement réservé aux filles et aux garçons dans un ouvrage pour enfants publié début mars par Michel Cymes, médecin ORL et animateur télé. Intitulé Quand ça va, quand ça va pas : le corps expliqué aux enfants (et aux parents !) Oui mais voilà, tout dégénère quand il s’agit d’aborder les organes génitaux : alors que onze généreuses lignes sont consacrées au «zizi», «la zézette ou cocotte, ou minou» (selon les termes de l’auteur), est évacuée en cinq lignes à peine… «un sous-produit en quelque sorte», estiment les initiateurs de la pétition. «C’est par là qu’on fait pipi» Et le texte du livre n’équilibre pas franchement les choses. Pour Cymes, ces parents sont «très malades» Au début, on se dit que c’est une blague,en fait non ! Virginie Ballet

Manifesto for a new sexual revolution “You have to be a powerful man to be prepared to be modelling Calvin Klein underwear!” Lynne Segal is laughing. We’re in her north London kitchen, talking sex and objectification – in particular, Justin Bieber’s latest underwear shoot. A lot of the voices we hear from (those) that identify simply as feminist is paying attention to violence against women and pornography. We need to begin by understanding that we’re all vulnerable. “What I have always wanted, and what Straight Sex is about, is the possibility for broad sexual politics, which is about love, concern, joy and understanding how easily things can go wrong in sexual relationships, and also how men can bring a lot of anxiety and their past history of feeling abandoned.” “Every way of talking about sex seems to talk about men and their needs,” she notes. “To me, conquest and submission, in so far as those categories come into sexual encounters, could be played out any way.

Vasectomie, slip chauffant, pilule... Pourquoi la contraception masculine n'excite pas les hommes Pierre Colin garde un souvenir précis de ces "groupes de parole" masculins, organisés pour discuter de leur corps, de leur fertilité et de leur rapport à la paternité. Il y avait, se souvient le septuagénaire, une nette "volonté d'assumer aussi la contraception". Venus des milieux féministes "et d'autres horizons", ces hommes "trouvaient tout naturel" d'avoir, eux aussi, leur pilule quotidienne. Ces réunions, pionnières en France, ont eu lieu dans le courant des années 1970, relate Pierre Colin. Pourquoi, plusieurs décennies plus tard et alors que diverses méthodes existent, la contraception masculine, hors préservatif, reste si marginale par rapport à la contraception féminine ? La vasectomie, une pratique peu réversible qui fait encore peur C'est une méthode autorisée et pratiquée depuis 2001. Ce moyen de contraception est en principe simple et accessible, et une opération restauratrice reste "possible" même si son résultat est "aléatoire", relève la HAS. Pourquoi si peu ?

Interdiction -16, -18, X : une classification hypocrite et obsolète | Le ticket de Metro d'Ovidie (Photo : Love réalisé par Gaspar Noé, distribution Wildbunch) C’est officiel, après quelques jours de polémique, le film Love de Gaspar Noé ne sera pas interdit aux moins de 18 ans mais au moins de 16. L’occasion de se pencher sur un système de classification des oeuvres totalement obsolète et surtout très hypocrite. « Ouais allo, j’ai une question à te poser. Un décalage entre la classification du CNC et du CSA Pour bien comprendre le problème, il faut savoir qu’à l’origine, les oeuvres cinéma étaient divisées en trois catégories : -13, -18, et X. Le vrai problème est que le CSA est resté bloqué sur les deux seules catégories 4 et 5, sans créer ce que l’on pourrait appeler une « 4 bis » qui regrouperait les oeuvres qui devraient en théorie être interdites aux mineurs mais qui ont une prétention artistique et narrative quifont qu’ils ne peuvent être traités de la même manière que l’ensemble de la production pornographique mainstream. Une classification floue et hypocrite

Traitements post-cancers : des inégalités de remboursement entre hommes et femmes pour retrouver une vie sexuelle normale Céline Lis-Raoux, directrice de l'association Rose, a expliqué, mardi sur franceinfo, que les hommes bénéficient de deux traitements post-cancer remboursés par la Sécurité sociale, ce qui n'est pas le cas pour les femmes. En pleine campagne demandant l'égalité entre les femmes et les hommes, le magazine de l'association Rose, destiné aux malades du cancer et à leur entourage, dénonce une inégalité entre les deux sexes en matière de remboursement. L'association ne comprend pas pourquoi les traitements contre l'impuissance prescrits aux hommes après une opération d'un cancer de la prostate sont remboursés alors qu'ils ne le sont pas pour les femmes qui ont eu un cancer. Chaque année, 42 000 femmes qui ont eu un cancer du sein, du col de l'utérus ou de l'ovaire, souffrent de ménopause précoce et de vaginite atrophique à l'origine d'irritations et de douleurs au moment de la relation sexuelle.

Réflexion sur la norme monogame | Banane et Abricot La plupart des gens tombent amoureux plusieurs fois dans leur vie. Ils vivent donc plusieurs relations, les unes à la suite des autres. C’est ce qu’on appelle la monogamie sérielle, la monogamie « vraie » (un seul partenaire pour toute une vie) ayant plus ou moins disparu au cours du siècle dernier. Mais quand on rencontre une personne avec qui on est si bien, qui nous apporte tellement de bonheur au quotidien, qu’on se voit passer sa vie avec, comment on fait? Penser que ça nous protège de tomber à nouveau amoureux est illusoire, quand on parle d’une vie entière. Loin de moi l’idée de vouloir critiquer un mode de vie, un rêve ou un idéal. Bref, je pense qu’il est fort probable, dans un couple, que l’un ou l’autre des partenaires aie un jour envie d’une relation d’intimité avec quelqu’un d’autre. Au final je ne critique pas la monogamie elle-même, je la critique en tant que norme. Blondie

Violences gynécologiques : pour la secrétaire générale du syndicat des gynécos, "le problème, c'est l'attirance" entre médecins et patientes Les syndicats de gynécologues et obstétriciens reconnaissent les actes sexistes dans le suivi médical des femmes, mais dénoncent un "bashing" de leur profession. "Il ne s'agit pas de faits isolés" : les "actes sexistes" sont "courants" dans le suivi gynécologique et obstétrical, alerte le Haut Conseil à l'égalité (HCE) entre les femmes et les hommes, dans un rapport publié le 29 juin. Ce à quoi le Dr. Elisabeth Paganelli, secrétaire générale du Syndicat des gynécologues et obstétriciens de France (Syngof), interrogée par franceinfo, répond : "Depuis deux-trois ans, il y a un vrai 'gynéco-bashing' et je trouve cela désolant. Nous savons très bien qu'il y a des problèmes dans d'autres secteurs de la médecine. C'est connu qu'il existe aussi des risques lorsque des patientes se font masser par des kinés, par exemple. Dès 2014, de nombreuses femmes ont pourtant témoigné de faits de violence, en utilisant le hashtag #PayeTonUtérus sur les réseaux sociaux.

À la découverte des mosos, cette tribu où les femmes décident de tout Aux confins du sud-ouest de la Chine, non loin de la frontière Tibétaine, réside un peuple qui intrigue le reste du monde pour ses coutumes, mais surtout pour sa vision de l'amour et de la relation intime. Les Mosos sont le dernier peuple matriarcal et ont gagné le titre de communauté-modèle à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'ONU. Les femmes, au centre de la communauté Les Mosos vivent autour du lac Lugu, sur les rives des régions du Yunnan et Sichuan. Ce lac serait né des larmes de la déesse Gemu, que tous vénèrent. L'harmonie comme principe de vie Chez ce peuple matriarcal, le mariage n'existe pas. Aucune promesse, aucune trahison Les principes économiques d'une famille reposent sur tous les membres qui la composent. Cela ne signifie pas qu'un homme et une femme, tous deux amoureux, aillent coucher dans le lit d'autres partenaires. L'amour sans tabou Dès l'âge de 13 ans, les enfants atteignent leur majorité. Transmettre les traditions L'art de s'aimer

L'université de Lille va offrir des protections hygiéniques gratuites à ses étudiantes L'idée émane de Sandrine Rousseau, élue écologiste et professeure d'économie. L'université de Lille (Nord) s'apprête à briser un tabou. A partir de lundi, 30 000 kits de protections hygiéniques seront distribués aux étudiantes de l'université unifiée de la ville, rapporte La Voix du Nord mercredi 9 janvier. Cette décision a été prise sur les conseils de Sandrine Rousseau, ancienne élue EELV et professeure d'économie à l'université, qui souligne l'importance du budget consacré aux règles pour les étudiantes, estimé à 600 euros par an. Pour financer cette mesure, un reliquat de budget de 56 000 euros a été utilisé. Votre avis est précieux. Aidez-nous à améliorer notre site en répondant à notre questionnaire. je donne mon avis

Les dessous de la médisance Et oui, avouons-le : que c’est bon de médire ! D’abord ça crée du lien social : dire du mal ensemble, c’est avoir un point commun. Et puis c’est l’occasion de rigoler : on tourne l’autre en ridicule, on se moque de ses manquements, on se bidonne de ses travers. Des liens d’appartenance, si nous réussissons à les convaincre de penser la même chose que nous, car alors nous sommes pareils, et pas comme l’affreux sur lequel nous avons médit.Des liens de reconnaissance, puisque celui qui médit est celui qui a des informations importantes et les partage pour le bien des autres. En même temps, nous savons très bien ce que notre conscience nous souffle à l’oreille: De la même manière, nous justifions la plupart du temps nos médisances en les enveloppant dans les jolis papiers cadeaux des bonnes intentions, et en particulier celle de préserver notre interlocuteur du danger que représente celui dont nous sommes en train de dire du mal. Dans tous les cas, l’auto observation est utile: Voir aussi

"On nous a appris qu'on avait presque tous les droits sur le corps" : un gynécologue dénonce les violences obstétricales Les polémiques visant les gynécologues-obstétriciens s'accumulent depuis 2016 : débat sur l'épisiotomie, scandales liés à des pilules, maltraitances dénoncées par les patientes elles-mêmes. Les gynécologues ressentent un climat de défiance. Une phrase provenant de leur congrès en décembre dernier et dénoncée par de nombreuses associations, n'a pas arrangé les choses : "Les femmes c'est comme les juments, celles qui ont de grosses hanches ne sont pas les plus agréables à monter, mais c'est celles qui mettent bas le plus facilement". La polémique de trop pour Philippe Deruelle, gynécologue-obstétricien, qui a accepté de répondre aux attaques visant sa profession. Votre avis est précieux. Aidez-nous à améliorer notre site en répondant à notre questionnaire. je donne mon avis

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