Créez facilement un avatar 3D à partir de votre photo avec Digimi Les sites qui permettent de créer des personnages ou des animations à partir de votre portrait sont légion, comme par exemple JibJab pour ne citer que l’un des plus connus. Avec Digimi, l’expérience est différente et pousse le réalisme un cran plus loin, pour un résultat assez époustouflant. Digimi est un studio en ligne (mais aussi disponible sous forme d’un logiciel à installer pour ceux qui le souhaitent) qui permet de créer son personnage en 3D avec un parti-pris très réaliste, ou en tout cas proche du style d’un personnage de jeu vidéo. La fonction la plus étonnante est certainement celle qui consiste à modéliser votre portrait en 3D à partir d’une simple photo. Même si celui-ci est un cliché amateur avec un fond chargé, vous n’aurez rien à faire, ni détourage ni recadrage puisque Digimi s’occupe de tout : le fond est supprimé et votre visage est modélisé et redessiné pour s’intégrer parfaitement dans le corps du personnage.
Créer sa réalité augmentée avec l’application Aurasma La réalité augmentée (ou RA) est la technologie qui permet d’ajouter des éléments virtuels (texte, image, vidéo, animation, son, sensation tactile…) à notre environnement proche. Aurasma, c’est tout d’abord une application mobile permettant de « lire » la réalité augmentée réalisée spécifiquement pour cette application. Elle permet également de créer sa propre réalité augmentée. En effet, on peut facilement, depuis son smartphone ou de sa tablette, incruster une image ou une vidéo sur un élément du réel. Liens de téléchargement d’Aurasma Un peu de vocabulaire : Avec l’application Aurasma, on peut créer, partager et lire des Auras. L’élément déclencheur ou Trigger image c’est ce qui est reconnu par Aurasma pour déclencher l’incrustation de l’élément virtuel ou Overlay [1]. Il est possible de créer des canaux ou channels dans lesquels seront ajoutées les Auras. Pour bien commencer : Pour créer une Aura il n’est pas utile d’autoriser l’accès de l’application au service de géolocalisation.
Augmented reality - Réalité augmentée untitled La réalité augmentée a l’usine Un marché infini et des perspectives de croissance énormes car elle touche tous les secteurs d’activités et à tous les échelons de l’entreprise. Vont en effet en bénéficier, les postes logistique, stockage, R&D, industrialisation, production, contrôle qualité, vente, maintenance, formation sont impactés. Où en êtes vous dans votre entreprise : vous voulez mieux connaitre les possibilités et opportunités de la RA pour votre entreprise ou l’industrie, voyez ci-après.vous êtes déjà un processus de réflexion ou de développement : voyez notre page sur les prérequis pour développer une application de RA. 1- Les possibilités et opportunités de la RA pour l’entreprise : Industriels, ne ratez pas le virage, intéresser vous au plus vite à la réalité augmentée Un outil dont les industriels ne pourront plus se passer tant il promet d’apporter entre autres des gains d’efficacité sur l’ensemble de la chaîne industrielle. Bien d’autres usages sont à imaginer.
position dit blockhaus et batterie de la Lauzette - Inventaire Général du Patrimoine Culturel C'est à partir de 1885 que, dans le cadre de l'extension de la place liée à la fois à la tension politique avec l'Italie, la crise de l'obus torpille et la formation des troupes alpines, a commencé l’occupation de cette position avancée. La construction d'une route d'accès greffée sur la route de Cervières et escaladant les pentes par le ravin de la Combe de la Lause sur plus de 800 m de dénivelée constituait déjà, en soi, un exploit technique. Ce premier travail permit la construction des batteries d'artillerie, des baraques h (1886-87), g et i (1888) et du blockhaus défensif (1887-89). En 1888, avait été élaboré un projet de construction de casemates-cavernes pour artillerie et projecteur électrique : suite à un avis défavorable de la section technique du génie, soulignant la vulnérabilité d'embrasures frontales de grandes dimensions, on se contenta d'installer un projecteur électrique dont seules la machinerie et la remise étaient mises sous roc, dans « l’abri d'éclairage» (1889).