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Utilisation de Twitter à l'école Primaire : écrire pour lire

Utilisation de Twitter à l'école Primaire : écrire pour lire

Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire Après un premier article polémique (voir Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas), Matt Richtel a continué son enquête pour le New York Times sur le « pari éducatif high-tech ». Comme le montrait déjà le début de son enquête, ses derniers articles dessinent un fossé, une coupure assez radicale, entre ceux qui croient dans les vertus des technologies pour l’éducation et ceux qui n’y croient pas, avec des arguments aussi faibles dans l’un ou l’autre camp que ceux qu’on éprouve entre les tenants du livre papier et du livre électronique. La valeur des TICE dépend-elle du niveau d’argent dépensé ? Le second article de cette série s’intéressait donc au « boom des logiciels éducatifs », mais avant tout pour dénoncer leur manque de résultats effectifs. Image : Home page du programme What Works de l’Institut des sciences de l’éducation américain. Shelly Allen est la coordinatrice pour les mathématiques des écoles publiques d’Augusta en Georgie.

Idées d'utilisations Le jour où la proviseure a interdit les cours Le lycée Jean-Jaurès d’Argenteuil, c’est un établissement qui joue la polyvalence jusqu’au bout. Un lycée ZEP, dont le caractère industriel et scientifique est affirmé. 80 % de garçons, de bons résultats aux examens, un dynamisme pédagogique plutôt marqué, une assez bonne image. Tout semble bien aller et pourtant... C’est une montée de signes de non-adhésion à l’école parmi les élèves (absentéisme grandissant, agressivité en cours allant jusqu’au refus agressif de « jouer le jeu » dans certaines classes) qui nous a alertés. Et qui nous a fait émettre une hypothèse : les élèves n’ont pas de plaisir à être à l’école, celle-ci n’a pas de sens pour eux, à moins que le signe qu’elle renvoie ne soit que l’on ne veut pas d’eux ! Malaise... À partir de ce constat, nous avons organisé une demi-journée de réflexion mêlant professeurs, délégués et quelques parents, préparée par le comité de pilotage du projet d’établissement. une semaine de rupture Un sentiment de réussite Annie TobatyProviseure

Kirsten Winkler DI VousNousIls Le nouveau réseau social de Google, sérieux concurrent pour Facebook, suscite déjà l'intérêt des enseignants par ses fonctionnalités originales. Google+ est le nouveau réseau social de Google, actuellement en phase de test mais déjà plébiscité par plus de 20 millions d’internautes. Face à Facebook, Google+ met en avant une meilleure gestion de la confidentialité grâce aux « cercles », des ensembles de personnes (amis, collègues, élèves…) avec lesquels vous allez partager telle ou telle information. Par ailleurs, Google+ ne limite pas la longueur des contenus, ce qui l’avantage par rapport à Twitter. Ainsi assuré d’une bonne percée dans le milieu des réseaux sociaux, il suscite déjà l’intérêt parmi les enseignants geeks. Compléments de cours en vidéoconférence Mais la fonctionnalité la plus intéressante et la plus originale de Google+ est la possibilité de lancer très simplement des vidéoconférences de groupe (appelées hangouts) avec les membres d’un cercle. Quentin Duverger

Témoignages REGARDS SUR LE NUMERIQUE Nous vous proposons, tout au long du mois de septembre, une série intitulée : « Enseigner autrement », présentant des expériences éducatives innovantes, faisant notamment une large place au numérique. Pour débuter cette série, nous listons les quelques nouveautés technologiques « institutionnelles » de la rentrée … Et si l’on débutait par un saut dans le passé ? La scène se passe le samedi 1er octobre 1955, sur les bancs du lycée Ampère, dans le premier arrondissement de Lyon, à quelques centaines de mètres de la place des Terreaux. On y voit de (jeunes) élèves prendre possession des lieux qui, une année durant, vont les accueillir. Un tableau que l’on imagine noir, des élèves installés à des tables de deux, un « maître » déambulant dans les rangées, seul autorisé à se lever. Même sans le son, on sent l’ambiance appliquée, magistrale - ça se passe à partir de 3’00 sur la vidéo qui a capturé la scène, diffusée par l'INA : Vous avez bien cela en tête ? Quelles différences voyez-vous ?

L’intégration des réseaux sociaux dans l’enseignement au primaire Dans le cadre du cours initiation aux technologies éducatives nous avons pu aborder plusieurs sujets tels que celui du plagiat, du tableau blanc interactif, de la génération C, des blogues et plusieurs autres. Vu l’ampleur de l’utilisation des technologies dans les habitudes de vie des jeunes d’aujourd’hui, les enseignants devront un jour ou l’autre adapter leur enseignement à cette tendance. La majorité des jeunes font déjà partie d’un réseau social sur le net. Ces réseaux sont une grande préoccupation pour eux. Selon moi, il est intéressant d’aller dans le sens des intérêts de ceux-ci afin d’avoir un haut taux de motivation de leur part et d’intégrer les réseaux de clavardage dans l’enseignement au primaire. Donc, les avantages et les inconvénients de l’intégration de ces réseaux dans l’enseignement au primaire et les différents modes de gestion qui devront être mis en place par l’enseignant seront les principaux points traités dans le texte qui suit. Stéphanie B.

France : «L'école parle un langage antédiluvien» Pour Marc Prensky, l'inventeur du concept de Digital Natives («les natifs du Web»), les professeurs doivent devenir des coachs. Selon vous, l'école tourne le dos à la modernité? Lorsque les élèves passent le portail, ils font un saut dans le passé. On leur demande presque d'oublier le monde dans lequel ils vivent, d'abandonner leur téléphone portable, l'Internet… D'écouter sans participer. L'enseignement repose encore sur un système vertical, avec le professeur qui sait et les élèves qui notent. Mais aujourd'hui, toutes les connaissances du monde sont sur le Net. Wikipédia a remplacé le cours et le copier-coller l'exposé? S'il s'agit de rassembler les données, Wikipédia fait souvent l'affaire. À quoi sert l'école si elle court après les technologies? La technologie n'est pas une fin en soi. » Les parents pour l'entrée du numérique à l'école » «Génération Z»: des connaissances superficielles » Comment développer le numérique à l'école

Exemples de réseaux sociaux accessibles aux France : «Génération Z» : des connaissances superficielles Selon un rapport, les moins de 20 ans, dits «génération Z» ne sont pas si compétents avec les nouvelles technologies. Ils les utiliseraient plus dans un but récréatif que formateur. Missionné par François Fillon, le député Jean-Michel Fourgous, spécialiste UMP du numérique à l'école, vient de lui remettre un épais rapport «Apprendre autrement à l'ère du numérique». S'il est de bon ton aujourd'hui d'affirmer que la «génération Z», comprenez les moins de vingt ans, est parfaitement à l'aise avec les nouvelles technologies et dépasse de loin ses aînés, rien n'est moins sûr. Les compétences de cette «génération numérique» sont «très superficielles» selon le député. Selon une enseignante citée dans le rapport, «nos élèves utilisent les ressources informatiques de façon quantitative, non qualitative. Le numérique devrait être une «discipline à part entière» Or, à l'heure actuelle, le numérique n'est pas ou peu enseigné. » Les parents pour l'entrée du numérique à l'école

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