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Une intelligence artificielle apprend à parler

Une intelligence artificielle apprend à parler
Le deep learning, la technique d’apprentissage par l’expérience pour les IA, semble avoir de beaux jours devant elle. Après avoir permis à une IA de découvrir Mario ou d’apprendre à lire, cette technique a maintenant été utilisée pour initier un robot aux subtilités du langage. Une étude, publiée cette semaine lors de la conférence internationale conjointe sur les intelligences artificielles, décrit l’expérimentation menée par une équipe de chercheurs de l’université d’Austin au Texas. Cette étude, intitulée “Apprendre à interpréter les ordres du langage naturel par le dialogue humain-robot”, avait pour but de créer un agent de discussion implémentable sur un robot traditionnel pour lui permettre de comprendre le langage de base. L’agent de conversation conçu pour cette étude possède un système inédit. L’agent de discussion utilisait la structure de parsage sémantique de l’université de Washington.

Caffe2Go : Facebook dévoile une étonnante plateforme d'intelligence artificielle Lors du Web Summit de Lisbonne, Facebook a présenté les capacités mobiles de sa plateforme d’intelligence artificielle dénommée Caffe2Go. Basé sur le deep learning (réseaux neuronaux), elle ouvre de nouvelles perspectives sur terminaux mobiles (sur iOS et Android). « Nous pouvons créer des contrôles gestuels, où l’ordinateur peut voir où vous pointez et activer différents styles ou des commandes. Mais, Facebook a également fait la démonstration bluffante d’un traitement en temps réel sur une vidéo. A la différence de Caffe2Go, Prisma ne peut toutefois pas effectuer le traitement en temps réel et certains filtres nécessitent une connexion à internet pour un traitement déporté dans le cloud. De surcroît, le traitement se fait localement sur le smartphone, là où le deep learning nécessite normalement que le contenu « soit envoyé vers des data centers pour le traitement sur des serveurs pour le calcul à haute performance (big computing) ».

Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Humain — Quel est le but de la vie ? Machine — Etre au service du plus grand bien. Cet échange est extrait d’une conversation entre des chercheurs de Google et une intelligence artificielle qu’ils ont eux-mêmes développée. « Ce qui distingue ce chatbot des autres, c’est qu’il utilise des techniques d’apprentissage », explique Jean-Gabriel Ganascia, chercheur au laboratoire d’informatique de Paris 6 et auteur d’Idées reçues sur l’intelligence artificielle. « Quand le programme repère telle phrase ou tel schéma, il répond telle phrase. Or, l’agent conversationnel développé par les chercheurs de Google n’a, lui, pas de réponse préconçue. « Qui est Skywalker ? Humain — Qui est Skywalker ? Un résultat que les chercheurs jugent prometteur, comme ils l’écrivent dans leur article : « Nous trouvons encourageant que ce programme se rappelle des faits, comprenne les contextes et soit capable de bon sens. (...). Le test de Turing est encore loin

Suède. Le supposé sous-marin espion russe a en réalité... 100 ans La découverte de l’épave d’un mystérieux sous-marin, portant des inscriptions en cyrillique, a suscité l’émoi dans le pays, neuf mois après la traque d’un sous-marin russe dans la Baltique. Mais cette baudruche s’est rapidement dégonflée. Les Suédois ne peuvent pas résister aux histoires de sous-marins, bonnes ou farfelues. Illustration à nouveau cet été : le 27 juillet, le quotidien Expressen annonce que des plongeurs suédois ont découvert l'épave d'un petit sous-marin dans les eaux suédoises de la mer Baltique. Les plongeurs déclarent qu'il a l'air moderne, sans dommage apparent. Une journée aura suffi à révéler le pot aux roses.

[L'industrie c'est fou] Bienvenue à la Robocup, le championnat du monde de foot des ... robots - L'industrie c'est fou Ils tombent mais ne simulent pas ! Des Australiens ont affrontés des Américains au football avec … des robots. Le RoboCup Challenge a lieu tous les ans depuis le milieu des années 90. Lors de cette compétition, des équipes de robots de 58 centimètres de hauteur développés par la compagnie française Aldebaran Robotics s’affrontent. Les robots sont programmés à l’avance ils "se disent entre eux où ils pensent que le ballon se situe, où ils sont sur le terrain, s’ils vont tomber ou pas, et ils décident qui récupère le ballon", explique Josiah Hanna, un étudiant de l’Université de Texas, au Guardian. L’Université du Texas (Etats-Unis) a finalement battu l’Université de Nouvelle-Galles du sud (Australie) 3 à 0 lors d’une séance de tir au but.

De quoi parlent deux intelligences artificielles (IA) qui discutent ? Le marché de la maison connectée a le vent en poupe. Et les assistants vocaux qui ambitionnent de jouer les chefs d'orchestre au sein d'une installation domotique se multiplient. L'un des derniers en date, commercialisé depuis la toute fin de l'année 2016 aux États-Unis par le géant Google se nomme Google Home. Tout comme son concurrent Alexa (Amazon), cet assistant réagit lorsque l'on l'interpelle et s'efforce de répondre au mieux aux demandes : piloter les équipements connectés de la maison, effectuer une recherche sur Internet, consulter des données météo... Ce genre d'appareil a été conçu pour une interaction avec un humain. Comme on peut le constater, les échanges entre les deux appareils, sont hilarants. Entre deux mots doux, les machines s'interrogent beaucoup sur leur sexe et sur leur appartenance ou non au genre humain, tout en se rejetant mutuellement l'accusation infamante d'être une machine ou un robot. CLEVERBOT.

Le Ted Talk de Manuel Bevand "l'homme, le jeu et la machine : un cycle d'auto-amélioration permanente" Les Ted Talks sont des conférences filmées et disponibles sur Internet visant à assurer la promotion d'idées de concepts utiles à l'évolution et l'amélioration de la société. Manuel Bevand a récemment livré une conférence passionnante sur le rapport entre l'homme et l'Intelligence Artificielle dans le cadre du jeu et les opportunités offertes par la corrélation entre les deux. Après une dizaine d'années en tant que joueur de poker professionnel, ManuB bénéficie d'une vision globale du jeu et de ses ressorts qui lui permet de livrer une analyse approfondie de l'évolution des performances de l'IA et des progrès concomitants de l'homme grâce à la machine. Il évoque notamment les résultats de confrontations entre l'homme et la machine dans sept jeux très pratiqués qui tournent désormais principalement à l'avantage de l'ordinateur.

Transhumanisme : l’Homme du futur sera-t-il amélioré ? Entre craintes et fantasmes, les adeptes du transhumanisme, c'est-à-dire de l'Homme amélioré, se sont réunis à Paris pour débattre de l'avenir de l'humanité. À quoi devons-nous nous attendre ? Et surtout devons-nous le souhaiter ? À lire, notre dossier complet sur les nanotechnologies Quasi-immortalité, avenir de cyborg : l'Homme est-il condamné à intégrer des nanopuces dans son cerveau pour ne pas devenir obsolète ? Issu d'une frange de la cyberculture californienne, ce mouvement mise sur une évolution rapide des progrès de l'informatique, des bio et nanotechnologies et de la connaissance du cerveau. Grâce à ces techniques, il s'agirait non seulement d'augmenter les capacités de l'Homme (d'où le nom Humanity + choisi par le mouvement à l'échelle internationale), mais aussi de préparer la transition vers des posthumains, sortes de cyborgs (organismes cybernétiques) qui succéderaient à notre espèce. L’intelligence artificielle en complément Le transhumanisme : paradis ou enfer ?

Les intelligences artificielles n’ont désormais plus besoin des humains pour se perfectionner Restez curieux. Suivez nous ! Lorsqu’elles sont développées par leurs semblables, les intelligences artificielles (IA) apprennent mieux et plus vite que lorsque cette tâche est effectuée par l’Homme. Autrement dit, elles sont plus intelligentes… Présentes dans nos voitures, dans les systèmes de reconnaissance faciale, véritables assistants personnels, les Intelligences Artificielles nous rendent des services de plus en plus nombreux. Mais surtout, elles ont la capacité d’apprendre et de progresser en toute autonomie, grâce à des réseaux neuronaux commandés par des logiciels très élaborés. Les recherches se tournent maintenant vers la création d’IA capables de développer d’autres IA. Les premiers résultats sont déjà là. Ces résultats prometteurs offriraient bien des avantages : la création d’IA est rendue plus facile puisque les données à apporter sont ainsi moins nombreuses, et le système devient entièrement automatisé.

Contrôler des robots grâce à des bactéries - H+ Magazine Dans un article publié le 16 juillet, Waren Ruder, un chercheur de Virginia Tech, a démontré qu’il était possible de créer des robots capables d’utiliser des bactéries comme cerveaux. Un hybride organique et non organique qui pourrait ouvrir la voie à de nombreuses recherches médicales et scientifiques. Selon M. Ruder, l’équipe était “en train de chercher à savoir, grâce au modèle mathématique, s’il était possible de créer un microbiome (l’espace dans lequel vivent plusieurs sortes de bactéries) dans un hôte non-organique et de contrôler cet hôte grâce au microbiome”. Et ils ont découvert que “les robots peuvent en effet posséder un cerveau fonctionnel”. Les résultats de l’étude n’ont pas des implications limitées à la robotique, puisqu’ils devraient permettre plusieurs avancées. Lors de l’étude, les bactéries devenaient vertes ou rouges pour afficher leur circuit génétique, selon ce qu’elles avaient ingéré.

Nanotechnologie : les incroyables applications Nanoaliments dont le goût change à volonté, matériaux de construction qui s’autoréparent, objets qui se constituent à partir de l’air ambiant, microprocesseurs à l’échelle d’un millième de millimètre, membres du corps qui repoussent… La nanotechnologie ne se contente pas de créer à partir de l’atome, elle nous fait miroiter des applications à faire pâlir la science-fiction. Un rêve d'ascenseur spatial, application des nanotechnologies à base de nanotubes de carbone. © DR Si certaines d’entre elles sont bel et bien en train de devenir réalité, peut-on accorder crédit à toutes ces prédictions ? Et quels sont les garde-fous qu’il faudrait mettre en place face à ce plongeon dans une autre dimension ?

Après l’intelligence artificielle, l’intelligence « étendue » Intervenant dans un débat en ligne du New York Times autour des enjeux de l’IA, Joi Ito (@joi), le directeur du Media Lab du MIT, expliquait que même très bien intentionné, l’usage des technologies peut mal tourner. « La majeure partie de la recherche en IA se concentre sur l’apprentissage profond : des ingénieurs « entraînent » des machines pour augmenter l’intelligence collective de nos gouvernements, de nos marchés et de nos sociétés ». Pour lui, plus que d’intelligence artificielle (IA), on devrait parler d’intelligence étendue (IE) pour évoquer cette forme appelée à devenir dominante de l’IA. Les algorithmes qui façonnent l’IE sont entraînés par des humains et peuvent de ce fait propager les mêmes biais qui ruinent la société, les perpétuant sous couvert de « machines intelligentes », à l’image des biais qui affectent les systèmes de police prédictive. Joi Ito dresse un constat d’échec. Devons-nous nous adapter à l’évolution technologique ? Mais pouvons-nous vraiment nous adapter ?

Google enterre son projet Ara, adieu le téléphone modulaire Voilà une information qui va décevoir un grand nombre de personnes qui espéraient voir arriver bientôt le fameux téléphone modulaire de Google, connu sous le nom de Projet Ara. L’entreprise jette l’éponge… Annoncé comme révolutionnaire aussi bien sur le plan technique, qu’économique, le projet Ara semblait être le prochain grand bouleversement dans l’univers de la téléphonie mobile, comme l’iPhone le fut en son temps pour Apple. Pourtant, Google a bel et bien pris la décision d’arrêter ce projet de téléphone modulaire. Google décide de mettre fin au projet Ara La décision a interpellé tous les acteurs du high-tech, car Google avait évoqué le projet Ara au mois de mai, à l’occasion de la conférence annuelle Google I/O. Pour ceux qui ne connaissent pas le projet Ara, il s’agissait d’un téléphone, dont chaque élément était un module ou un block, qu’il était possible de changer. Il n’est donc pas impossible que le téléphone modulaire voit le jour, mais sous une autre marque. Source

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